Parution du livre « Behind the throne. A domestic history of the royal household » sous la plume d’Adrian Tinniswood qui a réussi à collationner les confidences des personnes au service de la Cour, permettant ainsi d’en savoir plus sur les habitudes des membres de la famille royale. 5 siècles de domesticité du règne de Charles I où on comptait 2.000 personnes à celui d’Elizabeth II (1.200 personnes). (merci à Alberto)
30 septembre 2018 @ 05:08
Un vrai serviteur se tait …
30 septembre 2018 @ 10:40
Oui mais comment connaitrions nous la petite histoire, souvent savoureuse ?? ;)
30 septembre 2018 @ 06:53
Downton Abbey ou Gosford Park n’ont rien inventé!
Passionnant sûrement!
;-))
ml
30 septembre 2018 @ 07:09
La grande Histoire à travers les petites ?
30 septembre 2018 @ 08:55
Charmant petit commentaire. Menthe 😋
30 septembre 2018 @ 14:09
Belle et juste tournure,chère Menthe!…je dirais même:La véritable Histoire de ces gens-là.
30 septembre 2018 @ 07:38
Si c’est pour savoir combien de sucre dans le café : bof .Si c’est plus croustillant :bof bof .
30 septembre 2018 @ 07:51
Et la clause de confidentialité, b….l !
oubliée.
30 septembre 2018 @ 08:22
Ca m’étonnerait qu’on apprenne grand chose d’intéressant, à part savoir si la Reine prend trois toasts au lieu de quatre au petit déjeuner et quel apéritif elle prend au diner. On se lâchera peut-être pour les royaux jusque George III. Après, je crois que c’est verrouillé.
30 septembre 2018 @ 11:52
A la première lecture, ça paraissait m’intéresser. Mais ne vaut-il pas mieux la fiction. Je ne pense pas avoir envie d’en savoir plus, au risque de démystifier cette famille. Comme vous l’évoquez, restons-en à Gosford Park qui a inspiré le génial Downton Abbey, et avant eux, Maîtres et valets (j’espère ne pas me tromper de titre).
1 octobre 2018 @ 02:07
Donc les membres du personnel racontent
ce qui se passait à la cour
Cela n’est guère brillant
D’autant que ce qui se passe humainement dans une
situation donnée est toujours et surtout pour tous à peu
pres la même chose
Dommage de raconter les détails des monarques dans
leur ordinaire
Cela tue la magie et l’imagination voire l’imaginaire
Ce besoin de savoir ce qui se passe chez les autres
s’apparente à un voyeurisme profondément malsain
1 octobre 2018 @ 09:15
Je croyais qu’il existait une sorte de clause de confidentialité ?