Livre « Cabinet of curiosities »
8 Comments
Laisser un commentaire
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
22 décembre 2020 @ 06:37
J’ignorais qu’il en existait encore de si bien conservés ! (et de si beaux)
A moins qu’ils n’aient été reconstitués ?
On voit que les ” coquilles ” sont très bien représentées.
22 décembre 2020 @ 08:45
Le maniériste Arcimboldo en couverture , tout un programme
encore un livre qui doit être passionnant .
22 décembre 2020 @ 10:22
Le premier est mon préféré, une déclinaison de l’été en trompe l’œil. Est-ce Giuseppe Arcimboldo qui l’a peint? Il ne manque plus que Vivaldi. Les autres sont très beaux mais tellement plus conventionnels.
22 décembre 2020 @ 13:04
Un album sur Arcimboldo serait peut-être plus apprécié que ce ramassis de coquillages et bric à brac. Chaque invention du peintre est intéressante, tandis que les coquillages, on en a vu un, on les a vus tous.
22 décembre 2020 @ 15:34
Ce livre me plairait.
22 décembre 2020 @ 17:43
Ils devraient venir chez moi , les auteurs…
Le problème, c’est que je n’ai pas autant de place et donc, pas autant de placards et vitrines.
En vertu de quoi, mes fils nomment mes cabinets de curiosités à moi » les tas de bazars à Maman » , pour ne pas dire autre chose … ;-)
22 décembre 2020 @ 19:38
Me interesa ojalá lo consiga
23 décembre 2020 @ 12:19
Ces cabinets étaient souvent constitués par des personnes ( le plus souvent fortunées) qui manifestaient un très vif intérêts pour les sciences .
Il s’y mêlait sans doute le goût des choses belles et rares mais ils sont aussi à mon avis la marque qu’on a besoin de concret pour fixer son attention et sa réflexion.
Certains qui étaient moins fortunés ou qui avaient de nombreuses envies se servaient de leurs ressources locales pour faire des échanges , ainsi le très célèbre Nicolas -Claude Fabri de Pereisc , conseiller au parlement de Provence proposait des flamants roses (empaillés) ou des chats angoras (alors rares et qu’il élevait ) en échange d’autres curiosités avec ses multiples correspondants .