Parution d’une biographie consacrée à Caroline Bonaparte (1782-1839), soeur de l’empereur Napoléon I, épouse de Joachim Murat, qui régna sur le royaume de Naples et de Sicile.
« Caroline Bonaparte. Soeur d’empereur, reine de Naples », Florence de Baudus, Editions Perrin, 2014, 400 p.
21 octobre 2014 @ 08:47
Je serais curieuse de savoir ce que sont devenues ces parures. Dans la descendance des Murat ?
21 octobre 2014 @ 10:10
Il est possible que ce soit la prochaine biographie que je me procure car j’ai beaucoup de lacunes sur cette famille.
21 octobre 2014 @ 10:25
Elle était ravissante, vive et très intelligente.De nos jours on l’aurait trouvée plus belle que sa soeur Pauline princesse Borguèse.Ambitieuse et…chipie ,elle avait « la tête de Cromwel sur les épaules d’une jolie femme ».
21 octobre 2014 @ 11:22
Quel joli visage? De grands yeux sombres et une toute petite bouche aux lèvres charnues… elle avait été choyée par la nature la reine de Naples. FdC
21 octobre 2014 @ 14:33
Les précédents ouvrages de Florence de Baudus (« Le lien du sang », « Le jardin de l’infante », « Le sang du prince » entre autres) étant tous passionnants, on peut augurer le meilleur de cette nouvelle biographie de Caroline Bonaparte.
21 octobre 2014 @ 18:16
Mes pages sur les bijoux impériaux !
http://diamantsdelacouronne.free.fr/1er%20et%202d%20Empire/index.html#Caroline%20Bonaparte%20-%20Reine%20de%20Naples%203.jpg
21 octobre 2014 @ 22:00
Elisa, Grande-duchesse de Toscane, et Caroline, reine de Naples, ont été des femmes intelligentes et capables.
22 octobre 2014 @ 16:23
Oui Cosmo sauf que Elisa a toujours suivi fidèlement les directives de son frère l’Empereur et Lucques par exemple ,s’en est très bien portée ainsi que le Duché de Toscane qui se voyait recevoir des libertés obtenues pour les citoyens par les lois Françaises post révolutionnaires.Le monde ne connait pas assez les bienfaits de N apoléon et les avancées qu’il a fait faire à la société Européenne.
Caroline et Murat…ont eu des velléités d’indépendance!
22 octobre 2014 @ 18:26
Elle adorait être reine de quelque chose. Me rappelle plus à qui elle écrivait « on ne règne bien qu’en Italie ! » Peut-être les Italiens faisaient-ils plus de courbettes que les Français. Ils étaient sans doute plus « ruffiani ».