Livre « Chasses à travers le monde » selon les récits de l’explorateur anglais Sir Samuel Baker (1821-1893) qui fut l’un des premiers à découvrir le lac Victoria et les sources du Nil. Il narre ses chasses (avec l’accent sur la faue sauvage) en compagnie de son épouse et de chasseurs indigènes au Sri Lanka, en Ecosse, en Amérique du Nord ou encore en Afrique.
« Chasses à travers le monde », Sir Samuel Baker, Montbel, 2018, 400 p.
Opaline
18 juillet 2018 @ 08:11
Autant Sir qu’il soit, je ne l’achetetais pas.
val
18 juillet 2018 @ 08:32
Beurk ces maisons décorées de trophés de chasse c’est moche , chez mes grands parents il y avait une galerie ou il y avait des têtes de chevreuils , cerfs , etc je courrais lorsque j’étais petite j’avais très peur d’y passer ……………..
Cosmo
18 juillet 2018 @ 09:23
Voilà qui va faire du bruit dans N&R !
J’étais invité, il y a quelques années chez des amis d’amis en Louisiane. Grands chasseurs devant l’Eternel, leur salon était divisé en deux : d’un côté les trophées de l’hémisphère nord et de l’autre ceux de l’hémisphère sud, des bêtes magnifiques. Je dois dire que mon coeur s’est soulevé devant tant de sauvagerie satisfaite d’elle-même.
Je connais également à Paris deux dames, dont l’une porte un très grand nom et l’autre dispose d’une immense fortune, dont la passion est la chasse au gibier rare. Ces dames peuvent dépenser 100 000€ pour quelques jours de chasse au Kamtchaka ou ailleurs. Là aussi, voir le plaisir de tuer élevé en institution mondaine est révoltant.
A la différence de certains, je comprends la chasse « vivrière », le gibier que l’on tue et que l’on mange, mais la chasse aux grand fauves ou aux oiseaux rares, qui en aucun cas, ne peuvent être mangés, relève de la barbarie.
Nos ancêtres chasseurs ne tuaient jamais pour le plaisir mais pour se nourrir et nourrir leurs familles.
Cycy de Montjay
18 juillet 2018 @ 12:31
Voici un avis que je partage amplement.
Cet étalage de trophées, tous plus rares les uns que les autres, me glace.
L’un de nos voisins en Suisse possède une collection du même genre: peaux de zèbres, têtes de zébus et d’antilopes, et le pire de tout: les défenses d’éléphant trônant fièrement dans le salon d’apparat! C’est d’un goût!
Gérard
20 juillet 2018 @ 15:22
Les rencontres d’animaux sont souvent poussiéreuses, sinistres et désolantes mais en mémoire de ces animaux et de ceux qui les ont tués on comprend qu’elle soient souvent conservées et de même les défenses d’éléphant car qu’en faire sinon, les livrer au commerce illicite et favoriser encore la diffusion de ce commerce certainement pas.
Rappelons-nous tout de même également que les animaux naturalisés ont permis le développement de la zoologie et un intérêt accru pour le règne animal et nos musées font bien d’entretenir ce patrimoine souvent historique. Je pense naturellement au Museum de Paris, avec notamment les collections du duc d’Orléans qui les lui a léguées.
Laurent
18 juillet 2018 @ 13:22
Un livre pour lequel je ne dépenserai pas un euro
La chasse est utile uniquement pour réguler le trop plein d’animaux pas pour le plaisir de tuer
Mayg
18 juillet 2018 @ 14:08
Oh la, voilà un livre qui va susciter de nombreux commentaires sur N&R…
L'Alsacienne
18 juillet 2018 @ 19:17
Quelle horreur que cette exposition de trophées ! En fait une exposition plutôt macabre. Animaux tués pour la frime.
Gérard
20 juillet 2018 @ 15:24
Les animaux n’étaient pas tués uniquement pour la frime, ils étaient tués aussi dans un premier temps pour se nourrir, pour le sport, pour la connaissance des animaux, naturellement pour la régulation du gibier.
Caroline
18 juillet 2018 @ 23:05
Ce livre plairait beaucoup aux jeunes en quête d’aventures dans le monde !
Je n’ ai qu’une tête de cerf naturalisée amenée de Suisse , accrochée à un mur de mon salon. Les miens ne l’ apprécient pas beaucoup !
aubert
19 juillet 2018 @ 12:43
Ma femme étant une vraie gazelle j’ai bien mes propres cornes à accrocher aux murs du salon mais tant qu’elles continuent de pousser je les garde.
clement
19 juillet 2018 @ 13:17
Quelle horreur des animaux au mur ,ce ne sont jamais que des cadavres qui auparavant étaient des bêtes heureuses ; voilà bien là le sadisme et l’orgueil humains que j’appellerai de la bêtise ; j’aurais ça chez moi , j’en ferais des cauchemars toutes les nuits !
Ghislaine-Perrynn
19 juillet 2018 @ 18:13
Caroline , revenant d’un voyage en Norvège , j’avais cru bon de ramener des bois d’élan C’est vraiment volumineux et notre voiture n’était pas immense, nous étions jeune . Nous avions posé ce trophée qui n’était pas de notre fait sur la banquette arrière au dessus de tout ce que nous ramenions de nos vacances dans le grand nord .
Nous passons plusieurs douanes sans problème , nous arrivons en Belgique et nous sommes arrêtés . Mon mari freine un peu brusquement et ce maudit trophée ,atterrit sur l’arrière de la tête.
J’en ris encore en mettant ces mots ici , car je revois la tête effarée du brave douanier . devant le spectacle .
Désolée nous sommes loin de kierkegaard (rire)
Caroline
20 juillet 2018 @ 12:02
Ghislaine-Perrynn,
J’ ai bien ri à la lecture de votre commentaire ‘original’ !
C’était autre chose avec l’ employé surpris à la vue de mon trophée soigneusement enveloppé dans une boîte passée par les rayons X à la douane à l’aéroport de Zürich!