Envie de déjeuner en tête-à-tête avec Joséphine de Beauharnais ? Les éditions du Cherche-Midi sortent le 9 novembre le livre « Conversations gourmandes avec Joséphine de Beauharnais » sous la plume de Michèle Villemur. Une idée d’album pertinente tant le goût français et les arts de la table portent l’empreinte de cette femme. Elle imposa à sa table un style inimitable, à la fois fastueux et simplissime.
Elle s’allia aux plus grands cuisiniers, choisit les vins les plus prestigieux et sélectionna les meilleurs produits pour des dîners inoubliables et créatifs. Et collectionna les plus belles porcelaines.
Vous aurez vous aussi envie de cuisiner le veau Marengo, des gaufres à la vanille Bourbon, un chateaubriand aux poids gourmands ou des tartelettes à la mangue. Joséphine avait un palais royal!
« Conversations gourmandes avec Joséphine de Beauharnais », Michèle Villemur, Editions du Cherche-Midi, 2017, 176 p.
1 novembre 2017 @ 06:58
On voit que Noël approche… Les auteurs et éditeurs espèrent un chiffre d’affaires, à mon avis improbable…
1 novembre 2017 @ 09:06
J’aime bien ce genre de livre aussi mais si les plats contiennent plus de 6 ingrédients et font plus de 30 mn de préparation je vais vite me lasser.
Je pense que je vais aller le feuilleter (huhuhu) avant.
1 novembre 2017 @ 10:02
Vu la dentition défectueuse de Joséphine, elle devait aimer les purées ? !
1 novembre 2017 @ 12:45
Oui effectivement sa dentition était un gros problème pour elle, elle si coquette, comment pouvait-elle plaire à Napoléon ? il n’y avait pas les spécialistes d’aujourd’hui !
1 novembre 2017 @ 18:43
Alors toutes les dames de cette époque (des jeunes femmes de nos jours) devaient toutes manger que de la purée !!!
1 novembre 2017 @ 10:05
J’adore le » chateaubriand aux poids gourmands » ! :-DD ! Pour être gourmands, ah ça, ils sont gourmands, les poids !
Merci pour l’éclat de rire du jour !
( ne pas se vexer svp, ce n’est pas l’idée; l’idée, c’est d’être joyeux).
1 novembre 2017 @ 16:02
Bien vu Léo!…ça m’avait échappé! ;-))
1 novembre 2017 @ 15:52
Pourquoi l’appeler toujours « de Beauharnais » qui n’est que le nom de son 1e mari ? soit on lui donne son nom de naissance qui est Tascher de la Pagerie , soit on devrait lui donner son nom d’impératrice des Français c’est à dire madame Bonaparte .c’est de son 2e époux après tout qu’elle tient sa célébrité et sa notoriété!
2 novembre 2017 @ 11:50
J’ai pensé exactement la même chose. Elle ne peut etre de Beauharnais après avoir été l’impératrice Josephine.
2 novembre 2017 @ 14:50
Kalistéa, Robespierre, tout à fait d’accord.
Comme l’on s’obstine aujourd’hui, à dire : Kate Middleton !
Alors qu’il s’agit de Catherine ou Katerine, bref, Duchesse de Cambridge !
3 novembre 2017 @ 21:22
AnneLise, si vous permettez, le cas est un peu différent : Beauharnais est le nom du premier époux de Joséphine née Tascher de la Pagerie tandis que Middleton est le nom de naissance de Catherine devenue par mariage Windsor et duchesse de Cambridge. Bon week end.
4 novembre 2017 @ 13:36
Je suis bien d’accord avec vous, Corsica, mais c’était sur le fond que je m’exprimais.
Il m’est difficile de toujours lire « Kate Middleton », on ne dit pas « Sylvia Sommerlath » pour la Reine de Suède.
Pour ce qui est de Joséphine, veuve de Beauharnais, elle était devenue Bonaparte, puis l’Impératrice Joséphine.
Ou alors il faudrait dire Joséphine Tascher de La Pagerie, bon bref.
Très bon week-end.
2 novembre 2017 @ 15:46
Tout le monde n’a pas votre bon sens Roby , c’est évident!
Le nom de Beauharnais (beau nom de noblesse d’extraction française) ne doit être évoqué que pour son fils Eugène , malgré que celui-ci d’ailleurs ait été adopté officiellement par son beau-père Bonaparte, et ait été également le beau-fils du roi de Bavière .Sa fille Hortense qui eût l’honneur d’être la première reine de Hollande et de régner aux côtés de son mari Louis 1e ,ne devrait être également nommée que Hortense Bonaparte ou à la rigueur, Hortense de Beauharnais -Bonaparte .
1 novembre 2017 @ 16:18
Gourmande Josephine, c’est une plaisanterie ? Elle faisait à peine un 34 de taille et passé dix petits pois elle devait être en over-dose . Que ne ferait-on pas pour écrire des livres alléchants .
3 novembre 2017 @ 21:26
Faire un 34 n’implique pas forcément de crier famine. Et heureusement. Certaines personnes menues aiment manger et sont gourmettes. C’était peut-être le cas de la belle Joséphine.
1 novembre 2017 @ 16:21
Un livre sans doute très intéressant , car je ne connais rien des goûts de Joséphine en la matière .
1 novembre 2017 @ 16:55
Superbe idée de cadeau pour Noël.!
1 novembre 2017 @ 20:02
Unique Joséphine , nom créé par Napoléon , en fait, c’était Rose-Marie, son vrai nom , Joséphine a un côté mutin, je trouve, qui lui va bien …
2 novembre 2017 @ 15:49
Marie-Josèphe Rose , framboiz s’il vous plait .cordialement .
1 novembre 2017 @ 22:22
Rasoir tous ces livres de cuisine !
2 novembre 2017 @ 14:54
Oui et non !
Il y a des livres qui ne se contentant pas d’énumérer des recettes, y intègrent des vues, des tables, des décors, des modes de vie.
Exemple : » A la table de Monet », ou » A table avec George Sand »
Ces livres sont des témoignages de vie.
Après, les recettes on en fait ce que l’on veut ou pas…
Cordialement
2 novembre 2017 @ 18:46
Je suis incapable de me tenir à une recette de cuisine strictement. Il faut toujours que j’y ajoute mon grain de sel (c’est décidément dans mon naturel! ;-)).
3 novembre 2017 @ 21:31
Muscate, je suis comme vous ! Mais si notre créativité est bienvenue en cuisine, on ne peut pas faire la même chose en pâtisserie, »art » où il faut de la précision dans les proportions. Bon week end.
4 novembre 2017 @ 16:21
À vous aussi, chère Corsi.♡
1 novembre 2017 @ 23:41
Joséphine de Beauharnais est-elle restée mince jusqu’à la fin de sa vie? On ne connait pas de photos d’elle depuis son divorce de Napoléon.
2 novembre 2017 @ 11:52
La duchesse d’Abrantès qui était allée la voir plusieurs fois après son divorce disait qu’elle avait beaucoup grossi. Pourtant elle avait un consolateur, le comte de Turpin. Donc ce n’était pas l’ennui qui était en cause.
2 novembre 2017 @ 18:32
Robespierre,
Merci pour votre commentaire ! ?
2 novembre 2017 @ 19:18
Pas gourmande, peut-être, mais mangeuse d’hommes, certainement !
3 novembre 2017 @ 17:15
Et croqueuse de diamants…;-))…de l’appétit pour la vie!
3 novembre 2017 @ 21:50
Des photos de l’impératrice Joséphine ? C’était une femme en avance sur son temps mais pas à ce point là.
Amicalement
Cosmo
2 novembre 2017 @ 15:51
Il devait avoir sur lui de saintes amulettes , cher Rob ;(« le cor » Vigny).
3 novembre 2017 @ 14:24
Qui devait avoir de saintes amulettes ?
4 novembre 2017 @ 17:23
Turpin , voyons! souvenez-vous Roby;
« Roland gardait les monts; tous passaient sans effort
assis nonchalamment sur un noir palefroi
qui marchait revêtu de housses violettes,
Turpin disait, tenant les saintes amulettes:
« Sire on voit dans le ciel des nuages de feu
suspendez votre marche … »
2 novembre 2017 @ 15:57
Napoléon choisit son 2e prénom car il aimait le nom de Joseph , très donné dans sa famille ; ses deux grands-pères le portaient , ainsi que son frère ainé et son oncle le cardinal Fesch .
(Mais je ne crois pas que ce soit ce qui a motivé le duc de Vendôme pour prénommer son 2e fils …à moins que Charles ne me contredise!)
3 novembre 2017 @ 14:26
Eh bien, j’ai un point commun avec Napoléon : mes deux grands-pères se prénommaient Joseph. C’est pour cela que ce prénom aura toujours pour moi la connotation d’un vieux monsieur.
4 novembre 2017 @ 16:33
Quatre générations de Joseph chez moi aussi,cher Rob.Maman étant une fille, et pas de fils dans la fratrie,dernière née,en désespoir de cause, on la prénomma Josette.Y’a des parents qui ont de la suite dans les idées. ..j’aime beaucoup ce prénom indémodable.
3 novembre 2017 @ 17:16
;’)).