Ces quatre lions vont dominer la scène européenne pendant un demi-siècle. Or lorsque l’on regarde de plus près le quotidien des affaires de ces empires et de ces royaumes, c’est toute une meute de conseillers qui apparaît, pas moins féroce que le chef du clan, tant il est vrai que le jeu politique est sans doute l’un des plus violents qui existe, aujourd’hui, comme jadis.
Dans le monde ultra-concurrentiel des entourages princiers, un monde rendu incertain par le règne de la faveur et désirable par les opportunités qu’il propose, ce sont l’honneur, le pouvoir, la richesse et la place dans la société qui sont en jeu.
C’est donc à entrer dans la cour des lions que ce livre invite, dans ce monde des cours de la Renaissance où tous les coups sont permis, où des ascensions à proprement parler extraordinaires côtoient des disgrâces non moins éclatantes. »
« Dans la cour des lions. Hommes et femmes de pouvoir de la Renaissance », Cédric Michon, Editions Passés composés, 2020, 352 p.
25 novembre 2020 @ 07:53
Cedric Michon reste dans ce seizième siècle qu’il affectionne mais actuellement, même si en politique tous les coups sont encore permis, , les disgraciés ont au moins la certitude de ne plus risquer leur tête.
25 novembre 2020 @ 18:33
Tout au plus une retraite ( même pas définitive ) dans leur château de province .
25 novembre 2020 @ 20:39
Quel plaisir de vous lire à nouveau Corsica !
26 novembre 2020 @ 23:12
Merci Charlotte, c’est avec plaisir que je vous lirai de nouveau. J’ai été touchée par la façon dont vous avez racontez l’histoire de la bûche de votre grand-mère.
26 novembre 2020 @ 11:53
On voit sur ce tableau , Charles Quint dans la fleur de l’âge . A sa droite son épouse , Isabelle de Portugal . Elle était d’une grande beauté . Son portrait par Titien qui est au musée du Prado , nous le prouve . L’Empereur qui avait été dans sa jeunesse fort amateur de jolies femmes , s’était calmé mais était amoureux fou de son épouse . IL ne se consola jamais de sa disparition encore bien jeune .