Parution du livre « Das Haus Wittelsbach im ersten weltkrieg » fait un gros plan sur l’importance politique de la famille royale de Bavière lors de la Première Guerre Mondiale. (Merci à Alberto)
Parution du livre « Das Haus Wittelsbach im ersten weltkrieg » fait un gros plan sur l’importance politique de la famille royale de Bavière lors de la Première Guerre Mondiale. (Merci à Alberto)
framboiz07
23 mai 2021 @ 03:27
Quel fut leur rôle ?
Charlotte de L G
23 mai 2021 @ 07:54
framboiz07, c’est justement le but du livre …
Naucratis
23 mai 2021 @ 07:14
Attention, on écrit « Première Guerre mondiale » (et « Seconde Guerre mondiale ») et non « Première Guerre Mondiale ».
Leonor
23 mai 2021 @ 09:15
Oui, certes. Mais c’est tellement plus pratique d’écrire WW 1 ou WW 2 comment font les Anglo-Saxons ( World War 1 or World War 2). Impossible évidemment lorsqu’on écrit à destination de Français. Mais quand on prend des notes pour soi, ça va tellement plus vite.
Précision : ce n’est évidemment pas une marque d’irrespect. C’est juste pratique.
Philppe Gain d'Enquin
23 mai 2021 @ 08:01
La ville de Douai, durant la période précitée a »reçu » Ruprecht Kronprinz de Bavière, qui n’y laissa aucun souvenir (s) particulièrement plaisant (s). Pour gagner le parc public – jardin à l’anglaise – le badaud ignorant de l’Histoire passe sans le savoir devant la résidence qu’il s’y était choisie, une demeure patricienne dont le bunker sous-terrain aurait conservé ses décors. Je n’ai hélas pas encore pu y accéder…
Philppe Gain d'Enquin
23 mai 2021 @ 12:25
En ajout à ma précédente intervention, je vous suggère, si encore disponible (ebay, Amazon et autres etc.) l’ouvrage suivant : « Survivre dans le Nord 1914/1917 » Éditions Sutton, 2006, sous la signature de Roland Allender. Le Kronprinz bavarois y est l’un des « personnages » essentiel. »Pge
Gérard
23 mai 2021 @ 23:49
Cher Philippe le prince héritier Rupprecht de Bavière a dirigé le groupe d’armées du front de 1916 à 1918 et il reste un certain nombre de ses bunkers qui étaient parfois assez bien aménagés et qui ont pu être construits avec des pierres récupérées comme près de Pierrefonds dans l’Oise où l’on voit sur l’une de ces pierres les armoiries de la famille de La Treille anoblie en Bavière à la fin du XVIIIe siècle.
Cet abri peut se visiter.
Près de Lunéville en forêt de Parroy se trouve un bunker à Emberménil et d’autres construits depuis décembre 1914 à Varennes-en- Argonne.
Il y a aussi le terrier du kronprinz à Villiers-au-Vent qui fut construit pour la bataille de la Marne.
Gérard
24 mai 2021 @ 00:14
Douay fut occupée par les forces allemandes de 1914 à 1918 et reçut la visite du roi et du prince héritier de Bavière.
Gérard
24 mai 2021 @ 10:41
Douai…
Leonor
23 mai 2021 @ 09:48
Alberto, vous ne vous vexerez pas, je vous en prie, si j’écris que ce livre est paru en 2013 déjà. Ceci dit, je ne l’ai pas lu.
Ceci dit, l’histoire de la Bavière dans la Première Guerre mondiale, C’est un peu compliqué. pas le temps de détailler ce matin. Grosso modo, le roi de Bavière avait dans l’idée de retirer quelques marrons du feu lors de la victoire escomptée.
Entre autres, d’annexer définitivement à la Bavière des morceaux de la Lorraine et de l’Alsace, en vertu des liens ancestraux du Palatinat et de la Bavière ( je résume à l’extrême), et pourquoi pas la ville de Strasbourg elle-même pendant qu’on y était .
Avec la défaite allemande de 1918, inattendue pour tous les Etats allemands, cela ne s’est pas fait, comme on sait. ( Hitler n’oubliera pas l’idée, et annexera purement et simplement).
D’où entre autres, après le titre, le sous-titre du livre :
» Das Haus Wittelsbach im ersten Weltkrieg
Chance und Zusammenbruch monarschicher Herrschaft »
= Trad° :
La Maison Wittelsbach dans la Première Guerre mondiale
Chance et effondrement du pouvoir monarchique «
PATRICIA
23 mai 2021 @ 10:27
Merci Leonor, vous n’avez « pas le temps de détailler ce matin » mais votre résumé répond à mon interrogation sur ce rôle. Bon dimanche à vous
Jean Pierre
23 mai 2021 @ 15:07
Le seul roi né à Strasbourg était Louis I.
Wittelsbach descendant des Ribeaupierre.
Gérard
24 mai 2021 @ 22:30
En effet Jean Pierre.
Le roi Louis Ier de Bavière naquit à Strasbourg le 25 août 1786 « die vigesima quinta Augusti ao 1786 […] Argentinae [Strasbourg] […] Ludovicus-Carolus-Augustus »
La naissance eut lieu à l’hôtel des Deux-Ponts qui existe toujours place Broglie et qui est aujourd’hui la résidence du gouverneur militaire de Strasbourg. Cet hôtel avait été acheté par Maximilien Joseph des Deux-Ponts-Birkenfeld, le futur roi Maximilien Ier de Bavière qui a l’époque était major général. Et l’enfant fut prénommé Louis pour le roi régnant Louis XVI qui était son parrain.
Ce roi eut l’originalité de naître et de mourir en France. Il s’éteignit à Nice le 29 février 1868 dans la principale des trois villas Lyon qu’il louait l’hiver. Il mourut après quelques jours de souffrance d’un problème artériel. La vaste et somptueuse villa n’existe plus, elle était située à deux pas de la mer sur ce qui deviendra la promenade des Anglais et on accédait à la villa principale par la rue de France.
Leonor
23 mai 2021 @ 18:48
Pour ceux qui voudraient en savoir davantage, plus en détail, sur le sujet .
Suit ici une traduction bibi rapide comme d’habitude ( càd quasi-littérale et sans fioritures ) d’une partie du texte trouvé sur le site
» Haus der bayerischen Geschichte, Königreich Bayern, 1806-1918 » = Maison de l’histoire bavaroise, Royaume de Bavière 1806-1918) https://www.hdbg.eu/koenigreich/index.php/themen/index/herrscher_id/4/id/
Les notes marquées ( * x) sont de moi; je ne pouvais pas les écrire en italique, ce qui aurait été plus clair.
» L’ARMEE BAVAROISE DANS LA PREMIERE GUERRE MONDIALE
L’armée bavaroise était composée en tout d’une force d’un demi-million d’hommes. Dans le cadre de la 6e Armée [ du Reich] et sous le commandement du prince héritier Rupprecht, fils du roi Louis III, sa formation opérationnelle monta en ligne en Lorraine. Le 24 août 1914 y commencèrent les combats : les troupes bavaroises remportèrent la « Bataille de Metz ». Mais début septembre,le prince Rupprecht se retira de la « bataille de Nancy », en raison de la supériorité des forces françaises .
Bientôt, les grandes formations allaient être dissoutes, conséquence de la guerre moderne. Les contingents bavarois furent intégrés aux autres troupes allemandes, et dès lors réparties sur tous les champs de bataille, de la Scandinavie au Caucase, des Flandres au Proche-Orient.
Pendant cette même année, l’armée allait continuellement croître en effectifs. L’armée bavaroise en opération en 1918 comptait 550.000 hommes sur le terrain, l’ensemble de l’armée bavaroise en comprenait environ 910.000, ce qui représentait au moins 13% de la population.
» LES WITTELSBACH, OFFICIERS PENDANT LA PREMIERE GUERRE MONDIALE
En tant que Generalfeldmarschall [ Tr.°~ : Chef d’Etat-Major] de l’armée bavaroise, le roi Louis III, dès le début de la guerre, avait le commandement de l’armée de réserve en Bavière . En 1915, il obtint le titre de Generalfeldmarschall prussien. Cette fonction ne lui permettait cependant que des tâches de représentation, telles que des visites aux troupes ou dans des entreprises d’armement.
Son fils le prince héritier Rupprecht (1869-1955) servait au front en tant que commandant en chef (Oberbefehlshaber) de la 6e Armée allemande. Dès août 1914, il obtint, en Lorraine, la toute première victoire allemande. En été 1916, il renonça à ce commandement, pour devenir général en chef royal bavarois et prussien (königlich bayerischer und preußischer Generalfeldmarschall) ,. Il demeura jusqu’à la fin de la guerre le chef d’un groupe d’armées propre, avec plusieurs armées sous ses ordres.
Leopold (1846-1930), le frère de Louis III, militaire haut gradé en retraite, reprit du service actif en 1915. Il combattit d’abord sous les ordres du général en Chef Paul von Hindenburg (1847-1934), en tant que chef de la 9e Armée, à l’Est. Lorsque celui-ci obtint le commandement suprême des forces armées à l’été 1916, il devint commandant suprême adjoint. En raison de quoi il participa aux négociations de paix avec la Russsie à Brest-Litovsk. Leopold monta en grade jusqu’à devenir Général en Chef (Generalfeldmarschall ), et obtint de nombreuses décorations militaires.
(…)
» Espoirs pour l’après-guerre .
PLANS D’ANNEXION et radicalisation de la guerre du point de vue bavarois.
« Le roi Louis III prévoyait une issue de la guerre favorable pour le Reich allemand, et revendiqua dès le début de la guerre des extensions territoriales en faveur de la Bavière.
Comme il ne voulait pas échanger le Palatinat Rhénan (*1) en compensation d’autres territoires , il songea à des parties du Reichsland (*2) d’Alsace-Lorraine , qui devaient selon lui être rattachées au Palatinat bavarois (*3) .
Selon son idée, la Basse-Alsace (*4) et Strasbourg seraient devenus bavarois , et la Prusse se serait en contrepartie agrandie aux dépens de la Belgique – mais Ludwig ne refusait pas non plus de considérer la solution inverse .
« En 1915, lors d’une Assemblée Générale du Kanalverein (*5), le roi Louis III déclara publiquement dans son discours souhaiter pour l’Allemagne un débouché direct du Rhin sur la mer .
(*1) le Palatinat Rhénan = die rheinische Kurpfalz = la région Mannheim-Heidelberg
(*2) ein Reichsland = une Terre d’Empire – à la différence des Etats constitutifs de l’Empire, Würtemberg, Hanovre, Bavière, etc, faisant partie de l’Empire, mais dotés de chefs d’Etat propres
(*3) Palatinat bavarois , ou Palatinat Rhénan = Bayrische Pfalz . Attribué à la Bavière en 1816, lors des remaniements de territoires post-napoléoniens.
Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Palatinat_rh%C3%A9nan
(*4) l’actuel Bas-Rhin, français, c.à d. la partie Nord de l’Alsace .
(*5) Kanalverein = Association d’Allemagne du Sud des cours d’eaux et canaux pour les liaisons Rhin – Danube – Neckar
« A partir de 1916, Louis III renonça cependant à son plan d’annexion, mais n’en maintint pas moi son intention d’obtenir pour la Bavière le Reichsland Alsace-Lorraine .
Pendant les fêtes de ses noces d’or en février 1918, il se montra peu ouvert aux réflexions de son fils Rupprecht sur un plan de paix. Le roi croyait toujours encore à la victoire de l’Allemagne. Mais le 28 juillet 1918, après le quasi-échec de l’Offensive de Printemps, il fit diffuser un communiqué :
« ….. Nous entrons dans la cinquième année de guerre, et nous-mêmes n’en sommes en rien responsables. Non seulement , malgré tous leurs échecs, les ennemis ne montrent aucune disposition à faire la paix, mais qui plus est , ils considèrent toujours comme leur but de pulvériser l’Allemagne.
« Mais pas un seul Allemand ne songe à une paix insultante ! Il s’agit donc de continuer à se battre , et de prendre sur nous encore et toujours problèmes et privations, dans le but, certain, que Dieu mène notre juste cause à la victoire. »
(Gesetz- und Verordnungsblatt für das Königreich Bayern, Nr. 49 vom 31.7.1918, S. 381f.) (*6)
(*6) Equivalent de notre J.O. , au Royaume de Bavière
» Le Prince héritier Rupprecht (1869-1955) n’approuva ces plans concernant l’Alsace-Lorraine que dans l’optique que serait conservée l’organisation fédérale et monarchique de l’Empire allemand . En cas de victoire, il se refusait à approuver seul une montée de la puissance prussienne par un gain territorial. . Sur ce point, il reçut le soutien du ministre-président Georg Friedrich von Hertling (1843-1919), qui devint chancelier du Reich fin 1917. Ces discussions autour de la gouvernance du Reich ne menèrent cependant jamais à quoi que ce soit de concret.
Le Prince héritier Rupprecht avait une appréciation plus juste de la situation militaire que son père. Si au début de la guerre, il était encore favorable à des annexions dans l’Ouest, il changea d’opinion à partir de 1916. A partir de ce moment, le prince Rupprecht prit position pour une « paix négociée » à l’ouest comme à l’est , sans prétention du Reich à des gains territoriaux. Pendant la première moitié de l’année 1918, il s’exprima favorablement pour des négociations de paix avec l’Entente, et contre l’offensive militaire prévue et déjà décidée. Il pensait qu’elle n’avait aucune chance d’aboutir et redoutait qu’elle soit d’un coût très élevé en nombre de victimes (*7) – ce qui se révéla exact.
(*7) Note perso du Traducteur :
Exact, en effet. L’un de mes grands-pères ( alsacien, donc allemand à l’époque, cf. 1870-1918) perdit la vie sous le casque allemand pendant l’inutile offensive Hindenburg, en juin 1918, 3e Bataille du Chemin des Dames. Le grand-père de mon mari se trouvait au même moment dans le même coin.
En face . Demandez-vous après pourquoi on préfère penser Europe.
» Parmi les intellectuels de Bavière, il se trouvait aussi bien des mouvements annexionnistes que, plus tard, des partisans d’une guerre sous-marine à outrance. Ils oeuvrèrent à la chute de Theobald von Bethmann Hollweg (1856-1921), chancelier modéré . Ils se rassemblèrent entre autres dans le Volksausschuss für die rasche Niederwerfung Englands (Comité pour une rapide défaite de l’Angleterre), auquel appartenaient aussi bien des députés libéraux de la Seconde Chambre , que des professeurs et des économistes. . Via les Süddeutschen Monatshefte ( Cahiers mensuels d’Allemagne du Sud) , le Comité disposait d’un medium puissant, à grande diffusion, qui touchait jusqu’aux paysans. Ce « mouvement pour faire chuter le chancelier » tenta en août 1916 d’influencer directement le souverain même . (…)
» EFFORTS DE PAIX du président du Conseil des Ministres de Bavière
Depuis le début de la guerre, Georg Friedrich Freiherr [Baron, puis Comte à partir de 1914] von Hertling (1843-1919), président du Conseil des Ministres de Bavière, portait, lui, un tout autre jugement sur la situation militaire ( …) »
[ Résumé de la suite : D’entrée, von Hertling n’avait pas pensé une victoire allemande possible. ]
Fin de traduction.
==============
N’ayant pas lu le livre présenté dans l’article ici de N&R, j’ignore si cela correspond.
Toutefois, cela permettra à chacun d’avoir une idée des disparités d’opinion , non seulement à l’intérieur des armées du Reich, mais également à l’intérieur d’Etats membres, comme ici la Bavière. Et mieux, à l’intérieur de cette famille royale.
Et, crénom d’un chien, si ceux qui cherchaient à faire la paix à temps, ici et ailleurs , avaient été quelque peu écoutés et suivis, au lieu de se la jouer jusqu’au-bout-t’iste – j’aurais eu un grand-papa, et mon père un papa. Et pas que moi, évidemment .
Allez, bonne lecture, si vous le souhaitez.
Leonor
23 mai 2021 @ 20:14
Je me rends compte à la x-ème relecture qu’il y a quand même plusieurs erreurs dans mon texte. Mes excuses. Je souhaitais que le texte soit transmis ce soir, et ai donc fait vite. Surseoir aurait été abandonner .
Gérard
24 mai 2021 @ 10:40
Merci Leonor.
Baboula
26 mai 2021 @ 18:21
Merci Leonor pour cette page de nos histoires .
Cosmo
24 mai 2021 @ 06:51
La reine Élisabeth de Belgique, née duchesse en Bavière, ne semble pas avoir apprécié l’attitude de ses cousins allemands, toutes dynasties confondues.
Cecicela
24 mai 2021 @ 16:14
La Bavière n’était plus une monarchie lors de la deuxième guerre mondiale. Que pensaient les Wittelsbach du moment d’Hitler et de sa clique? Particulièrement du cas d’Heinrich Himmler dont le régent Luitpold avait été le parrain?
Germain
25 mai 2021 @ 17:17
La seconde épouse du prince héritier Rupprecht, Antonia, née princesse de Luxembourg et de Nassau, et ses enfants ont connu l’enfer des camps de concentration sur ordre personnel de Hitler. Antonia est décédée en 1954 des suites des mauvais traitements lui y infligés.
Leonor
25 mai 2021 @ 20:46
Votre post est particulièrement tendancieux et insinuant, Cecicela.
Pour votre info, ici ce documentaire allemand intitulé : » Die Wittelsbacher – Geiseln Adolf Hitlers »
https://www.br.de/mediathek/video/dokumentation-die-wittelsbacher-geiseln-adolf-hitlers-av:604624086f1ac6001310970c
Vous ne comprenez pas l’allemand ? Vous ne lisez pas l’allemand peut-être ?
Eh bien, tant pis . Pour vous.
On n’écrit pas des choses pareilles quand on ne sait pas.
Indices cependant :
Les lieux de résidence qu’ont eus divers Wittelsbach ont pour nom Sachsenhausen, Flossenbürg , Dachau.
Et » Geiseln », ça veut dire » otages ».
Cecicela
26 mai 2021 @ 17:28
Je ne faisais que poser une question. La personne qui y voit quelque chose de « tendancieux et insinuant », c’est vous.
De plus, ainsi que vous l’avez supposé, je ne comprends pas l’allemand, donc votre doc ne m’est pas accessible.
Je n’ai aucun parti pris contre la famille de Bavière et je remercie Germain pour m’avoir donné des éléments de réponse. Lui, au moins, ne semble pas avoir trouvé mon post scandaleux, honteux ou je ne sais quoi; enfin si, je sais : « tendancieux et insinuant »!
D’autre part, quand je dis que le régent Luitpold était le parrain d’Himmler, je ne rapporte qu’un fait historique notoire. Je me plais à penser que le prince aurait été effondré s’il avait vécu assez longtemps pour voir quel monstre était devenu son filleul. Même chose pour les autres membres de sa famille.
Cependant, je ne suis pas dans leur tête, comme vous n’êtes pas dans la mienne. Je tiens à mettre les pendules à l’heure en ce qui me concerne : je honnis les extrémismes de tous poils, et celui des nazis en particulier.
Germain
27 mai 2021 @ 17:01
Cecicela,
vous pouvez trouver des informations relativement exhaustives concernant le prince Rupprecht sur Internet :
https://fr.other.wiki/wiki/Rupprecht
Cecicela
28 mai 2021 @ 17:01
Encore merci, Germain.