Lady Pamela Mountbatten est née le 19 avril 1929. Elle est la deuxième fille de lord Louis Mountbatten (anciennement prince Louis de Battenberg) et d’Edwina Ashley. Pamela vécut dans l’entourage de la famille royale britannique puis en Inde lorsque ses parents devinrent Vice-Roi et Vice-Reine. En 1960, elle a épousé David Nightingale Hicks avec qui elle a eu trois enfants : Edwina, Ashley et India (qui fut demoiselle d’honneur au mariage du prince de Galles et lady Diana Spencer). Veuve depuis 1998, lady Patricia Hicks raconte sa vie qui l’a menée dans les cercles les plus feutrés, sous les lambris dorés de palais ou encore en voyages dans le Commonwealth en tant que dame d’honneur de la reine et le duc d’Edimbourg. Lady Patricia était au Kenya avec la princesse héritière Elizabeth lors du décès du roi George VI. En 2007, elle avait déjà publié un premier ouvrage sur ses années en Inde jusqu’à l’indépendance.
« Daughter of empire. Life as a Mountbatten », Pamela Hicks, Weidenfeld & Nicolson, 2012, 269 p.
Pierre-Yves
5 février 2013 @ 10:04
Indépendemment de la qualité du livre, la vie de lady Hicks et sa position à la cour font qu’on est curieux de le lire. L’aristocratie britannique a quelque chose de très exotique.
Valeska
5 février 2013 @ 11:26
Une très belle femme,une naissance privilégiée,une enfance choyée,une exitence qu’on imagine heureuse et protégée…la Beauté,la Gloire,l’aisance,l’Amour,des enfants et soi-même en bonne santé…Une honorable longévité…
Certaines Destinés peuvent encore faire rêver.
Mary
8 février 2013 @ 02:47
Chère Valeska,je vais tenter de vous réveiller avec ménagement:David Hicks,son époux était homosexuel…
Valeska
8 février 2013 @ 15:38
Merci Mary,j’ignorais cela…en effet,l’apprendre pour une épouse peut-être considéré comme un choc,je présume,et assombrir la lumière des jours…Je me disais encore:C’est trop beau pour être vrai! ;)
COLETTE C.
5 février 2013 @ 12:25
Des témoignages qui doivent être passionnants !
Jean Pierre
5 février 2013 @ 13:43
Cette Lady est un témoin de premier choix. Ce qui est amusant c’est la façon dont elle parle sans langue de bois de son père (il était si naïf) et de sa mère (je l’admirais mais je ne l’ai jamais aimé).
James Waldorf
5 février 2013 @ 19:06
Plus admirable qu’amusant à mon sens …
Valeska
6 février 2013 @ 09:19
Inversement,on peut aussi aimer sans admirer…Je me demande quel cas de figure est le plus triste,ayant connu les deux… :(
Denis
5 février 2013 @ 13:44
Phénoménale, la ressemblance entre lady Hicks et son père Lord Mountbatten !
Bianca
5 février 2013 @ 16:07
Au jeu des ressemblances je me hasarde rarement mais là, c’est frappant !
Elle a toute la beauté de son Père et sa grande classe, quel regard !
Un livre de plus à lire…!
Agnès de SM
5 février 2013 @ 15:25
J’ai toujours été passionnée par cette famille, je lirai donc volontiers ce livre. Est-il traduit en français ?
Renée
5 février 2013 @ 15:26
Si Lady Pamela n’aimait pas sa mère, pourquoi a-t-elle donné son prénom à sa fille ainsi que le nom de famille de sa mère comme prénom à son fils. Curieux n’est-il pas !
Philibert
7 février 2013 @ 21:26
Peut-être Pamela a-t-elle fait ainsi pour suivre les injonctions de sa mère…
Qui peut le dire, à l’heure actuelle, à part Pamela elle-même ?
visder
5 février 2013 @ 15:47
j’espère qu’elle a la même franchise concernant son mari, David Hicks très grand décorateur anglais….celui ci l’a épousée alors qu’elle désespérait de se marier, david Hicks lui avait bien des raisons de ne pas se marier….finalement, considérant la ressemblance, signalée ici de Pamela avec son père, et sa brillante parentèle, Hicks a sauté le pas et fait une brillante carrière dans l’aristocratie anglaise sa fidèlité lui a été assurée, garantie sur facture finalement , Cupidon sait toujours trouver des maris pour les princesses qui ressemblent à leurs pères, voyez l’Espagne ! les soeurs du Roi n’ont jamais divorcé , elles non plus
Cosmo
5 février 2013 @ 22:20
Pamela Mountbatten est en Angleterre connue sous le nom de Lady Pamela Hicks. Son mari David Hicks était un décorateur de renom mais n’était pas lord, ni même baronet. Son épouse en sa qualité de fille de comte peut faire précéder son prénom de Lady, mais en aucun cas ne peutt être appelée Lady Hicks.
Leur fille est le mannequin India Hicks.
philippe gain d'enquin
6 février 2013 @ 00:43
Le Hic (ks) dans cette affaire c’est qu’il pas encore traduit…
Caroline
6 février 2013 @ 14:08
J’espère que l’auteure a révélé l’échec du mariage de ses parents!
Aux anglophones,je vous conseille de lire ce livre qui nous transportera dans le monde mystérieux de l’Inde britannique!
A quand la traduction de ce livre ‘piquant’ en français?
youpi
6 février 2013 @ 21:37
j’ai lu le livre sur edwina;elle a trompé immediatement son mari;il en a eu un chagrin fou;elle a continué toute sa vie
Eskimo
7 février 2013 @ 10:13
Youpi, je n’ai pas lu le livre sur Edwina mais je sais qu’elle était très riche et avait un beau château.
Le mari a donc fermé les yeux « toute sa vie »
Mary
8 février 2013 @ 02:54
Edwina était très riche,Mountbatten fauché mais royalement apparenté.Quelques bruits fâcheux ayant courus sur ses préférences sexuelles,Edwina se consolait probablement avec des hommes plus sensibles à son charme.
Cosmo
9 février 2013 @ 21:26
Mary,
Lady Mountbatten n’a pas eu besoin de connaître la bisexualité de son mari pour se consoler. Ils ont l’un et l’autre accepté un « mariage libre » dès le départ.
Lord Mountbatten a écrit » Edwina et moi avons passé notre vie dans le lit de autres. »
Lord Mountbatten, Dickie pour sa famille et ses amis, aimait sa femme plus qu’elle semblait l’aimer. Il lui a apporté tout ce que son argent à elle ne pouvait lui donner, un statut quasi royal.
Edwina ne se consolait pas, elle vivait sa vie.
Un autre couple fit de même Vita Sackville-West et son mari, Harold Nicolson. Homosexuels, tous les deux, ils ne s’en aimèrent pas moins et eurent deux enfants et quantité d’amants…
Cordialement
Cosmo
Palatine
10 février 2013 @ 13:00
Et c’est d’ailleurs un des deux fils de Harold Nicolson qui devint editeur et publie le livre de madame Hicks. Il publia aussi « portrait of a marriage » qui parle du couple de ses parents, sans langue de bois.
Mary
18 février 2013 @ 02:04
Bravo à ce couple-Vita et son Harold-qui ont résolu bien simplement le problème des homosexuels d’aujourd’hui,à savoir: se marier et avoir des enfants sans tournebouler ni l’état ni ses citoyens!
Palatine
6 février 2013 @ 23:51
Comme je déteste les coiffures du début des années cinquante ! je trouve qu’elles enlaidissaient les femmes.
Valeska
7 février 2013 @ 10:07
Alors chère Palatine,nous sommes deux,et sûrement bien plus que cela!
C’était la mode,mais quel manque de naturel…Ces dames dormaient avec des bigoudis pour maintenir leur permanente…So sexy! ;)
philippe gain d'enquin
7 février 2013 @ 23:09
A cette époque là, l’amour rendait autant aveugle…
Philibert
7 février 2013 @ 21:23
Qui donc est cette mystérieuse « lady Patricia Hicks » dont il est question dans un article consacré au livre écrit par lady PAMELA Hicks ?
Cosmo
8 février 2013 @ 00:39
Philibert,
Lady Patricia Hicks n’existe pas. C’est sans doute une erreur. La première fille des Mountbatten lady Patricia Mountbatten devint la deuxième comtesse Mountbatten of Burma à la mort de son père, le titre étant, dès sa création, transmissible par les femmes. Son fils, Lord Brabourne, deviendra le 3ème comte Mountbatten. Quant à son petit-fils, il sera sans doute mort d’une overdose d’ici là.
Bien à Vous
Cosmo
Lisa L.
8 février 2013 @ 16:49
La chute ! :)
Véronique
8 février 2013 @ 12:23
Il s’agit probablement d’un hiatus entre lady Pamela et sa sœur aînée, lady Patricia Knatchbull, 2ème Comtesse de Burma. Lady Patricia, née en 1924 est une amie proche d’Elisabeth et Phillip. Cette dame a été grièvement blessée lors de l’attentat qui tua son père en 1979.Un de ses fils ainsi que sa belle-mère y laissèrent également la vie.
Son mari, décédé en 2005, Lord John Knatchbull, 7ème baronet Brabourne, était Pair du Royaume et producteur de télévision. Lady Patricia et son époux sont tous deux Commandeurs de l’Ordre de l’Empire Britannique
Lucy
8 février 2013 @ 01:10
Ce mariage n’a pu fonctionner que par l’absence absolue de jalousie de Lord Mountbatten et le desir total de rendre sa femme heureuse
Desireuse de voyager elle partait ,laissant un nouveau -né Difficile alors d’établir de solides liens de parenté .. j’ai commencé le livre et ferai de temps à autre quelques petits résumés .