Sous la plume du prince Louis Albert de Broglie, cet ouvrage consacré à la maison Deyrolle. En voici le descriptif : « L’histoire de la maison Deyrolle reflète la richesse de sujets abordés par les naturalistes. Il en a été ainsi de leurs nombreuses rencontres comme de la manière dont s’est construit le rayonnement de cette institution autour des enjeux des sciences, de l’art et de l’éducation.
Autant d’hommes et de femmes ont participé à près de deux cents ans de cette extraordinaire histoire, et ils doivent être remerciés. Depuis dix-sept ans, une nouvelle équipe composite emmenée par quelques visionnaires fait évoluer cette grande institution vers de nouvelles destinées… »
« Deyrolle. un cabinet de curiosités parisien « , Louis Albert de Broglie, Flammarion, 2017, 224 p.
m-lou
27 novembre 2017 @ 06:48
Un endroit merveilleux et aucunement poussiéreux !
ml
Baia
27 novembre 2017 @ 14:16
Nouveau pseudo ml ?
Baboula .
27 novembre 2017 @ 17:38
Le triste incendie a été un mal pour un bien .La maison s’est dépoussiérée et rénovée .
Gibbs ??
27 novembre 2017 @ 09:49
J’adore les papillons !
Pierre-Yves
27 novembre 2017 @ 09:52
Deyrolle, situé rue du Bac dans le 7ème arrondissement, non loin du Bon Marché de la Médaille Miraculeuse, a été presque entièrement détruit par un incendie en 2008. 90 % des collections sont parties en fumée.
Mais contre toute attente, la maison s’est relevée et est toujours là, ouverte désormais sur toutes les questions de biodiversité, et laissant une large place au Prince Jardinier, la marque créée par Louis-Albert de Broglie
Pascal
27 novembre 2017 @ 16:27
Pour le naturaliste amateur cet endroit est comme la scala de Milan pour l’amateur d’opéra .
Je l’ai visité une fois en 1988 , c’était un endroit magique et un peu hors du Monde .
On imaginait les grands naturalistes explorateurs du XIX et début XX venant y faire provision de matériel en vue d’une expédition , rencontrant des collègues , bavardant au milieu de ces meubles de rangements si particuliers et des animaux empaillés avec un employé de confiance devenu au fil de ces conversations un peu savant lui même à l’image du Ned du professeur Aronax imaginé par Jules Verne.
La maison Deyrole était devenue par héritage , toute ou partie , propriété d’un écrivain (ou si vous y tenez « écrivaine » qui ne sonne pas trop mal à l’oreille pour une fois) amie de François Mitterrand (j’ai oublié son nom) et qui possèdait aussi une merveilleuse maison dans cet endroit magnifique qu’est Doëlan dans le Finistère.
depuis le prince de Broglie en est devenue propriétaire .
Il essaie de la maintenir et si le Deyrolle d’aujourd’hui n’est plus qu’un pâle reflet de celui d’hier , il faut néanmoins lui en tenir compte.
Pascal
27 novembre 2017 @ 16:38
Magnifique endroit , endroit magique pour le naturaliste amateur ou professionnel que j’ai visité en 1988 .
On imaginait les explorateurs travaillant pour le museum ou autre venant y faire provision d’épingles , de filets ou de boites ; discutant avec un collègue ou un employé de confiance devenu au fil du temps presque aussi savant qu’eux .
En pénétrant dans cette enceinte on avait un peu l’impression d’un voyage dans le temps.
Une scène du film » le papillon » y a été tournée .
Cette maison a été un moment propriété d’un écrivain (écrivaine si vous y tenez ça ne sonne pas trop mal à l’oreille pour une fois) amie de François Mitterrand qui possèdait aussi une merveilleuse petite maison dans le si beau port de Doëlan .
Puis elle est devenue propriété du prince de Broglie qui essaye de la maintenir .
Le Deyrolle d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier , sans doute moins rempli de charme et de mystères , plus soucieux d’impératifs économiques , mais remercions le prince de tenter de le maintenir.
Carole 007
27 novembre 2017 @ 17:34
Je crains toujours d’y croiser une énorme araignée ☹️
Pascal
27 novembre 2017 @ 18:11
Je pensais que mon premier commentaire n’avait pas été transmis d’où un éventuel doublon !
Le nom de la romancière m’est revenu , je crois qu’il s’agissait de Benoite Groult mais j’ignorais comment elle était devenue propriétaire de parts de la maison Deyrolle,
le bon coté d’internet me permet de vous donner ce lien qui l’explique :
http://www.alexandrines.fr/hyeres-les-palmiers-groult/
AnneLise
27 novembre 2017 @ 20:08
Amusée par votre commentaire, Pierre-Yves, ne le prenez pas mal, l’absence de virgule entre le Bon Marché et la Médaille Miraculeuse pouvait prêter à confusion…
N’hésitez pas à me reprendre lorsque pareille mésaventure m’arrivera ce qui est inévitable!
Bien cordialement
Alinéas
27 novembre 2017 @ 20:53
Superbe présentation de ces quelques papillons..!
Claude-Patricia
28 novembre 2017 @ 13:38
C’est là que l’on se rend-compte de toutes les espèces qui disparaissent.