Séance de dédicace ce vendredi 15 décembre 2023 de 14h à 17h à la boutique du château de Chenonceau du livre « Diane de Poitiers, la Grant Senechalle » par Pascal Dubrisay.
Séance de dédicace ce vendredi 15 décembre 2023 de 14h à 17h à la boutique du château de Chenonceau du livre « Diane de Poitiers, la Grant Senechalle » par Pascal Dubrisay.
Actarus
15 décembre 2023 @ 01:06
Je peux vous dire que si vous aviez une machine à voyager dans le temps et que vous décidiez de retourner à cette époque (ou pire, au Moyen-Âge), vous ne comprendriez pas un traître mot parlé par les Français de l’époque ! 😅
Passiflore
15 décembre 2023 @ 17:52
Actarus, à propos je viens de visiter la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterets, inaugurée le 30 octobre dernier. Y est exposée, avant d’être enfermée dans un coffre, en mars, l’ordonnance de 1539 signée par François 1er dans le château de Villers-Cotterêts. Elle rendait obligatoire l’usage du français dans les actes de l’administration et de la justice en France. Elle a quitté les Archives nationales de France pour retrouver sa ville d’origine.
Charlotte (de Brie)
17 décembre 2023 @ 14:54
Vous venez de découvrir cette évidence ?
« A propos » etc
Merci de bien vouoir nous rappeler l’existence de cet Edit, que tout un chacun ici, ignorait.
Et, permettez-moi de vous dire que, si je suis « donneuse de leçons » vous êtes, vous, maître en l’art de retranscrire des évidences que chacun de nous est capable, soit de connaître, soit d’avoir découvert à travers les mêmes sources que les vôtres.
J’en resterai là, et vous laisse le champ libre.
Néanmoins, je vous souhaite une belle fête de Noël, ainsi qu’à tous les intervenants, de quelque confession, ou non confession qu’ils soient, je déteste le terme : fêtes de fin d’année, qui est un renoncement à nos racines judéo-chrétiennes, comme l’a rappelé le Sénat en juin 2023 : » la loi de 1905 sur la laïcité accorde une entière liberté de conscience et de culte. Pour auant,cela n’implique pas de renoncer à notre histoire commune, ni de renier le liien qui unit la France à ses racines judéo-chrétiennes. La laïcité en tant que facteur d’unité ne peut avoir comme corollaire l’effacement de notre culture commune. »
Je vous fais confiance pour continuer à nous dispenser vos connaissances, qui sont bien évidemment exemptes de toute leçon.
Ce sera sans moi.
PS :Le portrait de Diane de Poitiers n’est certainement pas assez dénudé pour que vous puissiez pouffer devant un étalage de « chair fraîche »
Passiflore
15 décembre 2023 @ 09:21
Pascal Dubrisay a été adjoint au maire de Loches chargé du patrimoine. Il avait proposé « que Loches devienne ville d’art et d’histoire. Elle l’est devenue en 2000. Un beau moment.»
Avant Diane de Poitiers, il s’était intéressé à Agnès Sorel. Il racontait, dans la « Nouvelle République » en février 2018 : « l’installation du tombeau d’Agnès Sorel (après authentification des restes de la maîtresse de Charles VII) dans la collégiale Saint-Ours a été un de mes plus grands moments d’émotion. Je suis content pour elle car l’histoire l’a mal traitée. Nous étions revenus de Paris avec les restes d’Agnès Sorel en TGV. La SNCF avait même édité un billet de train à son nom ! J’ai fait le voyage avec la tête, entre mes mains, de la maîtresse de Charles VII !»
Leonor
15 décembre 2023 @ 15:52
Charles VII, lui, n’avait pas que la tête de sa maîtresse entre les mains !
Claude Patricia
15 décembre 2023 @ 09:44
Bonjour à toutes et à tous
Il doit être intéressant à lire.
Je trouve que chaque auteur apporte un prisme personnel sur les personnages dont ils narrent l’existence.
kalistéa
15 décembre 2023 @ 10:22
Qu’est ce qu’on peut trouver à dire encore sur Diane de Poitiers, à moins d’avoir trouvé des documents nouveaux , mais on peut en douter?
Robespierre
15 décembre 2023 @ 14:13
je pense la même chose.
Baboula.
15 décembre 2023 @ 14:26
On sait très peu de choses attestées sur Diane de Poitiers ,alors on brode sur ce qu’aucun témoin ne contredira.
aubert
15 décembre 2023 @ 16:12
Même pas de soutien-gorge à vendre aux enchères ?
Mayg
15 décembre 2023 @ 13:37
Grant ?
Menthe
15 décembre 2023 @ 15:59
La langue française de l’époque (voir com d’Actarus supra)
particule
15 décembre 2023 @ 15:12
Diane de Poitiers , sa vie est intarissable … Et les féministes pourraient en prendre de la graine.
Moi, j’ai toujours été fascinée par l’histoire de cette femme et de sa relation avec Henri II. Il y a des couples mythiques comme celui là qui m’interpellent sur les alchimies d’alcôve. Ce n’est pas du voyeurisme, je précise, non c’est la quête de l’absolu dans l’amour.
Robespierre
17 décembre 2023 @ 09:49
Quand son amant est mort, il avait 39 ans et elle 58. L’histoire aurait-elle duré ? Nous ne le sauront jamais.
Charlotte (de Brie)
17 décembre 2023 @ 15:06
Allez, je me lâche, pour la dernière fois.
La relation Diane de Poitiers, Henri II, fait encore parler aujourd’hui, mais pas en poussant des cris d’orfraie, en nous interrogeant, voire en ayant une certaine admiration pour cet amour hors norme.
Un autre couple aujourd’hui ( et je précise, n’avoir aucune sympathie politique pour lui, simplement une sympathie humaine pour avoir bravé des interdits qu’autrefois une certaine Gabrille Russier a payé de sa vie ) est dans le même cas de figure.
20 ans entre Diane et Henri ( Diane avait été sa gouvernante ) 24 ans pour le couple actuel. La personnalité féminine dudit couple ayant été la professeure de la personnalité masculine.
Etrange ressemblance !
Aujourd’hui, on est plutôt sensible à l’amour entre le roi et sa favorite, et on se moque plus ou moins ouvertement de l’amour entre le couple actuel.
Etrange !
Lunaforever
19 décembre 2023 @ 11:41
Le couple actuel est peu convaincant. Monsieur avait de mauvaises relations avec sa mère parait- il. Il a compensé.
Lunaforever
17 décembre 2023 @ 12:00
Pourquoi 2 l à sénéchalle alors qu’on dit générale ???
kalistéa
22 décembre 2023 @ 10:04
Diane , gouvernante des enfants de François 1e fut un substitut de mère pour le jeune Henri ; il ne l’oublia pas durant les quatre ans de quasi séquestration en Espagne et de retour en France adolescent ,il fut sans s’en douter le type même du « complexe d’Oedipe ».Il ne s’entendait pas avec son père et tomba éperdument amoureux de celle qui lui avait servi de mère.