Très bel ouvrage de photos « Dior. 30, avenue Montaigne » réalisées par Gérard Uferas dans les coulisses et ateliers de la célèbre maison Dior qui incarne depuis tant d’années le symbole de l’élégance et du raffinement. Plongez grâce à cet ouvrage dans le travail des couturières avant le grand show des défilés de mode. Dior, une enseigne qui habilla (et habille encore aujourd’hui) de nombreux membres du Gotha : la princesse Caroline de Monaco, la princesse Lilian de Rhéty, la princesse Charlène de Monaco, la princesse Marie Christine de Kent, …
« Dior.30, avenue Montaigne », Gérard Uferas, Editions Terre bleue, 2012, 300 p.
27 janvier 2013 @ 09:13
Bonne idée que ce livre,en réalité…Car le »commun des mortels »,pour la majorité,ne peut,de Dior,que se payer ce bouquin… :( ;)
27 janvier 2013 @ 10:11
Ce livre doit être magnifique !
27 janvier 2013 @ 10:27
Superbe couverture!Alléchant,en effet!
27 janvier 2013 @ 12:06
C’est vous Valeska et Palatine sur la couverture ? Régine a certainement oublié de dire que Dior habilla et habille des membres du site Noblesse et Royautés : Lola du Sud, marielouise, Stella ? N’est-ce pas Masha ? Vous aussi Lady Chatturlante ? J’aimerais parfois apercevoir June dans un tailleur Dior au dessus du genoux et avec des bas mais Libellule me retient avec son parfum ! Dans ce livre, je pourrais certainement retrouver Marie du Béarn, HRC et Léonor dans leurs plus beaux attraits mais aussi Baia, A.Lin, Mélusine. Et ne pleurez pas Arielle, Maria Edite, Robinia si vous n’y êtes pas car moi je vous aurais sélectionné pour les premières pages !
27 janvier 2013 @ 16:31
Toujours sympathiques et d’une légèreté bienfaitrice ,vos récits imagés,Frédéric Gense!Merci!
27 janvier 2013 @ 20:08
Oui,chère Marielouise,et Dieu sait si la légèreté est bienfaisante,ces derniers temps ;)!
Merci cher Frédéric Gense,en réalité,étant plutôt jean et pull en hiver et robe-fleurettes en été,je n’ai porté un tailleur que le jour de mon mariage…Il n’a resservi qu’une seule fois depuis,pour cette photo,bien vu!! :) :)
27 janvier 2013 @ 23:26
Très joliment formulé, Frédéric Gense, c’est un régal de vous lire. Merci.
27 janvier 2013 @ 12:25
Pour le plaisir des yeux,car je n’ai pas les moyens pour acheter ces objets!
27 janvier 2013 @ 12:32
Quelle séduction au dos de ces mystérieuses femmes devant une fenetre!loool!
27 janvier 2013 @ 12:38
Un livre sur une grande maison de couture.
De l’univers haute-couture nous ne connaissons que les défilés, les mannequins,les photographes, les « hautes clientes », le bling-bling, mais parle-t-on assez des ouvrières qui exécutent ces toilettes ?
27 janvier 2013 @ 15:33
Pas assez à mon avis, de leur stress aussi ….
27 janvier 2013 @ 15:47
Chère « L’Alsacienne »,
Vous remarque va loin.
Depuis qu’Adam et Eve ont été chassés du paradis, l’homme (l’homme et la femme, bien sûr) doit travailler pour se procurer tout ce dont il a besoin. C’est la punition qui nous a été infligée.
Rares sont les biens gratuits, l’air …
Tout ce qui nous entoure est le produit de l’activité humaine, même les paysages qui ont l’air « naturel ».
Vous-même, quand vous allez faire le marché, pensez-vous aux personnes qui ont cultivés les produits, à celles qui les ont transportés, stockés et présentés sur les étals, quelquefois dans le froid glacial du petit matin ? Pensez-vous aux éboueurs qui vont nettoyer après ?
Quand vous allez au restaurant, pensez-vous aux cuisiniers, aux plongeurs, aux commandes qu’il a peut-être fallu passer à l’aube aux halles ?
Quand vous achetez un tee-shirt bon marché, pensez-vous à la petite chinoise qui s’est abîmé les yeux pour le confectionner pour un dollar par jour ?
Le luxe (la joaillerie, la haute couture et toutes ses activités dérivées – broderie, dentelle, plumes que sais-je ? – la porcelaine, la cristallerie, l’ébénisterie et j’en oublie) demande des ouvriers et des ouvrières d’une grande habileté et qui restent dans l’ombre.
Vous avez raison, il faudrait davantage les mettre en valeur et rendre hommage à leur talent.
27 janvier 2013 @ 16:35
Pour cela,l’Alsacienne,il faut que vous regardiez les excellents documentaires de Loïc Prigent, »Le jour d’avant »sur les coulisses des défilés et les jours qui les précèdent et surtout sur le travail fastueux des couturières,des petites mains et des artisans!
27 janvier 2013 @ 21:20
J’ai lu des livres à ce sujet et peux vous certifier qu’ils sont passionnants.
29 janvier 2013 @ 12:38
lors de la vente des collections Bergé/Saint-Laurent, les petites mains de la maison de couture ont dû comparer leur salaire avec le prix des oeuvres acquises par leurs patrons de gauche.
29 janvier 2013 @ 17:57
Bravo Aubert, cela devait être dit.
avec mes respectueux hommages
Childe Harold
30 janvier 2013 @ 16:36
Oui AUBERT, cela doit être dit…quel salaire pour ces personnes, leurs pensions de retraite par rapport au prix des robes, de la maroquinerie, des articles de luxe, parfums et autres.
S’ils ont pu acquérir ces oeuvres c’est grâce au personnel qui a largement contribué à mettre en oeuvre leur talent indiscutable. Merci à vous.
27 janvier 2013 @ 13:24
Et Dior créa la femme ;o):P
27 janvier 2013 @ 14:40
Joséphine-Charlotte,comme dans le film de Roger Vadim et de Brigitte Bardot!lol!
27 janvier 2013 @ 22:07
La maison Dior avait réalisé la robe de mariée de Silvia Sommerlath, qui venait avec ses belles soeurs aux essayages, rue Montaigne. Elle avait apporté son voile de dentelles anciennes. La robe était très simple, droite,et les Suédois avaient été surpris que leur nouvelle Reine, ne fasse pas appel à un de leurs couturiers.
Christian Dior a crée un style, inventé des nouvelles tenues, et donné un style jeune, et chic à ses collections, et ses clientes ont de suite été adeptes de cette Nouvelle Tendance de la Mode. Il était un couturier très talentueux pour son époque. Un musée a été crée, dans sa maison natale en Normandie.
27 janvier 2013 @ 22:29
La couverture de ce livre est magnifique.
Et puis marcher tout au long de la tranquille avenue Montaigne c’est faire la nique à ces Champs-Elysées ennuyeux quand tant d’inconnus déambulent.
27 janvier 2013 @ 23:41
Eh bien moi, je n’aime pas les mannequins posant pour la photo. Le concept rappelle les années 50 et il me plaît pour cela, et choisir des femmes replètes aurait été plus convaincant. Leur maigreur (ainsi que les échasses qu’elles ont aux pieds) fait trop « d’aujourd’hui » et pas assez authentique.
30 janvier 2013 @ 16:44
Je partage votre avis pour cette photo peu représentative de la silhouette des femmes de cette époque qui n’était pas trop replète tout de même, beaucoup avaient subi les privations de la guerre mais elles avaient beaucoup plus d’allure dans leur maintien. Cordialement.
30 janvier 2013 @ 19:51
Bien d’accord avec votre commentaire. Les canons de beauté des années 50 sont bien éloignés des mannequins de la photo
28 janvier 2013 @ 15:09
Un livre pour toutes les bourses contrairement aux modèles !