La princesse Béatrice d’Orléans, comtesse d’Evreux, vient de publier un livre en espagnol intitulé « disfruta de una experiencia de lujo« . La princesse fut pendant de longues années à la tête de la maison Christian Dior pour la péninsule ibérique. Elle propose dans ce livre 100 « expériences de luxe » allant d’un concert à Berlin, à la création de son propre parfum en passant par une dégustation de chocolat.
La comtesse d’Evreux a accordé plusieurs entretiens à la presse espagnole suite à la parution de son livre. Elle y fait part de sa grande joie quant au prochain mariage de son fils le prince François. (Merci à Alberto)
« Disfruta de una experiencia de lujo », Beatrice d’Orléans, Planeta, 2014, 262 p.
21 janvier 2014 @ 06:23
Es un gran placer recibir noticias de la condesa de Evora ;-))
21 janvier 2014 @ 16:14
C ets de sa belle mere dont il est question !!
21 janvier 2014 @ 09:37
Elle devrait le distribuer aux chômeurs espagnols, je suis sûre qu’il leur servira beaucoup!!!!!
21 janvier 2014 @ 13:36
Sommes-nous les mieux placés, fidèles de N&R, pour donner des leçons dans le domaine social ?
Le temps que nous passons sur le site à critiquer les princes et les autres commentateurs, peut-être pourrions-nous l’occuper aux profits des chômeurs espagnols ou autres.
21 janvier 2014 @ 19:13
Nous sommes aussi bien placés que d’autres, Aubert. J’ose imaginer que nous ne nous limitons pas à nous détendre sur ce site, et remplissons par ailleurs nos « devoirs de chrétien » ou devoirs de fraternité tout court.
23 janvier 2014 @ 19:56
Peut être pas vous Aubert , mais d’autres le font ,d’autres savent apporter aux plus défavorisés charité et soutien et ce , 5 jours par semaine et 4 heures par jour………. et viennent aussi se distraire sur le site. Un n’empêche pas l’autre
23 janvier 2014 @ 21:38
En effet Francesca.
21 janvier 2014 @ 12:21
Ce livre doit être intéressant.
21 janvier 2014 @ 15:25
amusant, moi je me suis dit « aucun intérêt », enfin pour moi…
21 janvier 2014 @ 16:18
J aime beaucoup cette femme, quasiment la seule de cette génération de toute la famille d Orléans qui a vraiment travaillé et fait « bouillir la marmite » pour nourrir sa famille …… pendant que d autres vivaient aux crochés de riche personnes ou se contentaient de « peindre » !!!
21 janvier 2014 @ 16:37
Exact ! La plus méritante et une des plus glamour avec la duchesse d’Orléans. Elle a aussi fait quatre beaux enfants.
La République, en bonne fille, ne l’a pas oubliée, elle a eu sa médaille au ruban tout rouge.
21 janvier 2014 @ 16:55
Tout à fait d’accord avec vous Jay!
21 janvier 2014 @ 19:47
Jay,croyez-vous réellement que la duchesse d’Evreux était obligée de travailler pour faire vivre sa famille?
Elle mérite largement pour le futur beau mariage de son dernier enfant!
22 janvier 2014 @ 09:25
Avec quelle fortune personnelle pensez vous qu elle eu pu vivre sans travailler et élever ses 4 enfants ? celle de son mari ?
21 janvier 2014 @ 20:17
Oui, enfin, vraiment travaillé, ça reste à voir !…
N’a-t-on pas d’abord et surtout acheté son nom ?
Nom dont elle s’est d’ailleurs bien gardé de se séparer, à l’inverse, justement, de celui qui le lui avait procuré …
Banquiers d’affaires, Directeurs généraux, Chargés
des Relations publiques, Commissaires priseurs de haut-vol, c’est fou ce que les princes ont d’attrait
pour les grandes maisons ! … de luxe, précisément, puisque c’est ici le propos de Madame d’Evreux …
22 janvier 2014 @ 09:24
A la différence de certains aristocrates qui utilisent leur noms avec titre et particule, elle fut avant tout directrice commerciale de la marque et non pas public relation ou directrice de boutique !!! donc même si certainement son titre de princesse est toujours vendeur auprès d une certaine clientèle elle a vraiment travaillé et cela pendant de longues années ! Je ne pense pas qu elle eu pu vivre sans son job cra ni elle ni son epouse n avait suffisament de fortune personnelle!
23 janvier 2014 @ 21:40
Son travail fut en effet très sérieux.
22 janvier 2014 @ 12:55
Certains refusent l’idée du luxe au nom de principe d’égalité peut-être.
En Chine, pendant la période de Mao Zé Dong, tout le monde était habillé sur un modèle unique. Mais en France, les Communistes ont toujours défendu l’industrie de la haute couture que fait vivre beaucoup d’ouvrières.
La question que je me pose est : qu’est ce que le luxe aujourd’hui ?
Avant – jusque dans les années soixante – le luxe résidait dans des objets, des vêtements, faits à la main en fonction des désirs d’une clientèle oisive, riche et raffinée et dans des lieux qui n’étaient fréquentés que par des happy few qui pratiquaient un strict entre-soi.