Parution du livre « El secreto del Rey » (traduction : « Le secret du Roi » ) de José Maria Zavala qui revient de manière romancée et sous l’angle d’un thriller sur le décès accidentel de l’infant Alfonso, fils cadet du comte et d la comtesse de Barcelone le 29 mars 1956 dans leur résidence d’Estoril au Portugal. L’infant décéda après avoir reçu une balle dans la tête alors qu’il s’amusait avec son frère aîné Juan Carlos à manipuler une arme. Un décès qui brisa le comte et la comtesse de Barcelone et qui reste encore aujourd’hui l’une des grandes blessures du roi Juan Carlos. L’auteur narre de manière totalement romancée ce qui se passa à ce fatidique moment et le drame familial qui s’en suivit.
« El secreto del rey » – José Maria Zavala – Editions B. SA – 2013 – 448 p.
Claudia
24 mai 2013 @ 08:01
Je trouve plutôt choquant de faire un roman avec un drame pareil, d’autant que l’auteur n’était pas sur place, non ? le roi Juan Carlos et la monarchie espagnole n’ont pas besoin de ça.
Francine du Canada
24 mai 2013 @ 14:44
Claudia, je partage entièrement votre avis et je n’achèterais certainement pas ce roman. Amitiés, FdC
Mayg
24 mai 2013 @ 14:51
Je partage totalement votre commentaire Claudia.
Masha
24 mai 2013 @ 08:20
Comment peut-on faire d’un drame concernant deux enfants, l’objet d’un roman?
Cette époque est complètement folle. Ce « pseudo » auteur rejoint la cohorte des déboussolés de tout poil.
Caroline
24 mai 2013 @ 11:50
Complètement dingue!
Cette fois-ci,je partage entièrement votre message!L’auteur est certainement anti-monarchiste pour vouloir ‘remuer le couteau dans la plaie’ de Juan Carlos d’Espagne que je n’aime pourtant pas!
flabemont8
24 mai 2013 @ 12:22
Claudia et Masha, je partage complètement votre avis !
bianca
24 mai 2013 @ 14:09
Masha, Votre message traduit bien ma pensée aussi, bien à vous.
corentine
24 mai 2013 @ 09:30
mais c’est n’importe quoi ?
jocelynede
24 mai 2013 @ 09:56
Là je suis d’accord c’est indécent quelquesoit le responsable du drame ç’en est un
COLETTE C.
24 mai 2013 @ 11:53
Moi non plus, je n’approuve pas ce roman.
Charles
24 mai 2013 @ 12:52
Il s’agit bien là d’un lamentable roman sous la plume d’un écrivain peu scrupuleux.
Quant on sait les conséquences de cette malheureuse affaire sur la Maison d’Espagne, il n’y a pas de mots pour qualifier ce roman.
Jusqu’à la fin de leur vie le comte et la Comtesse de Barcelone ont souffert en silence sur ce qui aura été le drame de leur vie.
A partir de cette date tout a été différent pour Juan-Carlos et ses parents. L’infant Juan Carlos est devenu un autre le jour du drame et depuis il garde ce secret pour lui. La comtesse de Barcelone est tombée malade et a passé des années noires souvent seule et isolée dans des « maisons de repos ».
L’infant Juan Carlos ne savait plus comment réagir face à sa mère désemparée et meurtrie par le chagrin et la desespérance.
Pierre-Yves
24 mai 2013 @ 13:55
Ce qui est choquant, à mon avis, c’est l’ambiguïté.
On a le droit d’écrire un roman qui s’inspire de faits réels ou de personnes existantes. Tous les auteurs font cela.
Mais alors, on écrit un roman.
Là, on est le derrière entre deux chaises. C’est d’une sorte de docufiction qu’il s’agit. On garde les personnages réels et on brode autour d’eux. voilà ce qui est intellectuellement malhonnête.
Actarus
24 mai 2013 @ 14:07
Le roi d’Espagne, il ne faut pas lui laisser un flingue entre les mains. Les éléphants en savent quelque chose. ;)
June
24 mai 2013 @ 20:00
Actarus,
vous me faites très souvent sourire ou rire avec vos posts pertinents et impertinents mais cette fois le sujet est trop dramatique pour avoir envie d’en parler « légèrement »…
Moi non plus ,je n’achèterai pas ce « roman ».
Cosmo
24 mai 2013 @ 18:25
Tout simplement indécent !
mousseline
28 mai 2013 @ 13:25
C’ est dramatique d’ écrire un livre sur cette malheureuse histoire. C’ est une tragédie pour des parents de perdre un enfant dans de telles conditions, et j’ imagine que le Roi n’ a pas besoin qu’ un livre rappelle cela à sa mémoire. Ce n’ est vraiment pas bien de se faire de l’ argent sur du malheur, je vous rejoint tous sur vos commentaires.