Andrew Morton connu pour sa biographie sur la princesse Diana qui avait révélé le trio Charles-Camilla-Diana, publie « Elizabeth and Margareth. The intimate world of the Windsor sisters. »
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framboiz07
23 février 2021 @ 03:02
Y a -t-il tant à dire? En dehors de la rupture avec Townsend ? Beaucoup de supputations , je suppose …
Benoite
23 février 2021 @ 08:14
Catherine porte de temps en temps le collier ici porté par la reine. Evidemment au moment de l’abdication d’Edward VIII, l’éducation et le quotidien des filles du nouveau roi, fut chamboulée… Margaret avec un mot d’enfant, (6ans) déclarait à peu près « Zut, je venais juste d’apprendre à signer Margaret d’York ». Quand à sa soeur ainée plus introvertie, et observatrice de son monde familial (grands-mères comprises surtout) elle avançait doucement.. mais elle avait aussi son caractère, la future reine.
Leur mère et les nounous avaient en charge de faire des princesses, des enfants dignes, et exemplaires. Pour la princesse Elisabeth, il n’y aura que 15 ans environ de 1936 à 1952, pour une enfance et adolescence, suivies d’une vie en couple de 5 ans, avant l’accession au trône, c’est peu.. pour une femme qui sera toujours sous le feu des photographes, et des moments forts du règne de son père : 2e guerre mondiale, et ensuite son règne à elle. Les deux soeurs ont toujours maintenu des liens très forts, avec des piques de Margaret, « Occupez vous de votre royaume, je m’occuperai de moi », Margaret « survoltée » à sa soeur… qui en prenait pour son grade.
Charlotte (de Brie)
23 février 2021 @ 09:39
Rien que le nom de l’auteur me dissuade de lire ce livre.
Peut-être à tort, je le reconnais, mais de plus je ne vois pas ce que l’on peut ajouter à ce que l’on sait déjà.
Avel
23 février 2021 @ 20:53
Idem pour moi Charlotte.
Mary
23 février 2021 @ 09:42
Elles sont très jolies toutes les deux sur cette photo.
Robespierre
23 février 2021 @ 10:01
Je ne suis pas assez intéressé par le Windsor et deux femmes peu intéressantes à mon avis, sur le plan humain et intellectuel, pour acheter ce livre. Andrew Morton, les Windsor c’est son fonds de commerce. Parfois je lis ses commentaires dans les medias et ça me suffit
Maria
23 février 2021 @ 19:30
Io i commenti e gli articoli sui giornali e anche in internet riguardanti la reale famiglia d’Inghilterra non li leggo ( a parte un pochino qui su Noblesse e Royautés,ma comunque non eccedo) perché gira e rigira sono tutti uguali ,ma non credo sia colpa dei protagonisti ma di chi di loro scrive.I libri di storia sono un altra cosa ma ,questo non è un libro di questo genere! Traduco con google:Je ne lis pas les commentaires et articles dans les journaux et aussi sur internet concernant la famille royale d’Angleterre (à part un peu ici sur Noblesse et Royautés, mais en tout cas je ne dépasse pas) car rond et rond c’est tous les mêmes , mais je ne pense pas que ce soit la faute des protagonistes mais de ceux qui les écrivent, les livres d’histoire c’est autre chose mais ce n’est pas un livre de ce genre! Je traduis avec Google
Robespierre
23 février 2021 @ 10:01
leS Windsor
septentrion 🍀 🍀 🍀
23 février 2021 @ 10:10
La couverture est accrocheuse, le reste…
Gatienne
23 février 2021 @ 10:26
Andrew Morton (comme d’autres) à bâti sa « carrière » sur ce genre de littérature, bien aidé en cela par Diana qui s’est épanchée auprès de lui.
Quant à Elizabeth et Margaret n’ayant jamais recueilli leurs «words », il peut toujours broder sur leur « world » , alimentant à son profit la pompe à fric: il y a toujours un lectorat pour cela.
Mais, attention, Morton est à la traîne: 100% british comme il l’est, n’ayant pas les connections nécessaires pour évoquer LE sujet du moment, son petit opus sur des faits très datés, ne risque pas d’attirer un public d’amateurs, très diversifié depuis quelques années.
Kalistéa
23 février 2021 @ 10:41
On peut se souvenir en voyant cette photo de la réelle beauté des deux soeurs dans leur jeunesse: Une beauté qui correspondait aux critères de l’époque.Margaret était absolument ravissante.
DEB
23 février 2021 @ 12:38
Oui Margaret était ravissante.
ciboulette
24 février 2021 @ 15:42
Je suis d’accord avec vous , Kalistéa et Deb !
Claudia
23 février 2021 @ 10:50
Je ne vois vraiment pas ce que ce livre pourrait apprendre que nous ne sachions déjà. Tout a été écrit sur ce sujet.
Pierre-Yves
23 février 2021 @ 11:16
Elles ont dû, Elizabeth avec son sérieux, son sens du devoir, son impassibilité de surface, et Margaret avec sa fantaisie, son tempérament versatile et capricieux, ses hauts et ses bas, s’affronter plus d’une paire de fois dans leur vie. Mais elles sont restées liées. On souhaite qu’il en soit de même pour les deux fils de Charles.
ciboulette
23 février 2021 @ 16:27
Elles ont été les princesses de contes de fées dans mon enfance . Hélas , la réalité était différente .
Hervé J. VOLTO
23 février 2021 @ 16:18
D’accord avec Kalistéa
On peut s’appercevoir en voyant cette photo de la réelle beauté des deux soeurs Windsor dans leur jeunesse : Margaret était tout de même la plus belle des deux. Elle dut renoncer à épouser Peter Townsend et ne trouva pas le bonheur avec lord Snowdon.
Pour être juste, il faut dire qu’il ne lui fut PAS interdit d’épouser Peter Townsend… il fallait choisir entre sa position ET l’amour. Elle a préféra la première option, ce qui ne lui porta pas chance…
Aujourd’hui, après la mort de Lady Di, personne n’aurait pu obliger Felippe d’Espagne de choisir entre son rang et l’Amour.
Monica
23 février 2021 @ 18:34
Encore ce Norton… mais il tourne toujours autour de la firme.. non merci
Menthe
24 février 2021 @ 16:56
C’est son fond de commerce, Monica, et on peut penser que ça marche !
Même lectorat que celui des tabloïds ?!
Caroline
23 février 2021 @ 19:31
Dans un avenir plus ou moins lointain, on écrira certainement un livre analogue ‘ William and Harry, the Windsor brothers ‘ !
Nico
23 février 2021 @ 23:17
Andrew Morton ?
Je passe …
Teresa2424
23 février 2021 @ 23:59
No me interesa ni el libro ni los Coburgo …inventados Windsor no de destacaron por intelectuales, ni ….etc
kalistéa
25 février 2021 @ 12:07
c’est extrêmement difficile de trouver un éditeur ; si Morton en a trouvé un , c’est que le livre a de fortes chances de se vendre .Il faut voir au delà de soi-même . Il est évident que les gens d’un certain âge en ont assez de ces histoires qu’ils connaissent par coeur , mais il y a (et heureusement) une partie de la population qui a de 20 à 35 ans qui voudrait bien en savoir aussi un peu plus sur les deux soeurs royales dans leur jeunesse.