Il est là, éternel, quatre arcades de pierre blanche ouvertes place Vendôme sur le plus fastueux caravansérail du monde. Mais depuis son récent lifting personne n’avait osé le photographier sous toutes les coutures. C’est chose faite. L’album sortira à l’automne aux éditions Assouline (prix 85 $).
Une plongée dans l’histoire de l’hôtel Ritz à Paris. Un hymne à son charme éternel. Dans l’espéranto des riches, « Ritz » est un mot-clef… Ce diamant, gros comme sa légende polie par Scott Fitzgerard, donne en anglais le qualificatif « ritzy », correspondant à un état d’âme vague comme le spleen et pétillant comme le champagne. Mais, malgré l’usage extensif qu’on fait de son label, il n’y a qu’un seul et unique Ritz, sans chaîne ni filliales.
Carolus
13 juillet 2018 @ 07:35
Le Ritz était une de mes pauses dans les années 1990, pour boire quelques coupes de Champagne.
En 1992, me semble-t-il (?), la loi Evin avait instauré des zones fumeurs, et non fumeurs dans les établissements publics.
Le Ritz avait fait le choix de privilégier la zone fumeur dans l’espace qui avait vue sur le jardin intérieur.
Le Louvre, mon étape suivante, avait fait la même chose en privilégiant, au Café Richelieu de l’epoque, la meilleure vue sur Paris en zone fumeur.
Nostalgie…
Pardonnez-moi ces souvenirs non politiquement corrects.
Ghislaine-Perrynn
13 juillet 2018 @ 15:20
Merci Carolus . J’apprécie les souv enirs non politiquement corrects (sourire) ils rendent vivants les sujets et donnent une approche sympathique envers ceux qui ont les partagent
Danielle
13 juillet 2018 @ 15:28
J’ai vu la nouvelle décoration, tout est très beau et les salles classées au patrimoine de l’Unesco n’ont pas changé.
Baboula
13 juillet 2018 @ 17:46
Une terrasse fumeur avec vue sur les monuments ! Ce sera pour la prochaine réhabilitation.