En voici le résumé : » Femmes de fer nous plonge dans une saga féminine de plus de trois siècles en suivant les parcours de femmes ayant appartenu à la célèbre famille lorraine des Wendel.
L’aventure entrepreneuriale et industrielle des Wendel commence en 1704 en Lorraine avec l’acquisition des forges d’Hayange, et se poursuit jusqu’à nos jours. Une longévité et une renommée que l’on doit à neuf générations de chefs d’entreprise, dont les fameux « maîtres de forges », mais aussi à des femmes hors du commun qui, loin des clichés attachés à leur milieu social, ont été des « féministes » avant l’heure : Madame d’Hayange et son héroïque obstination à maintenir l’entreprise debout durant la Terreur ; Joséphine, qui dirigea la Maison de Wendel au xixe siècle et y initia un programme social novateur ; Andrée, qui fit briller le nom des maîtres de forges dans le Paris des Années folles ; Thérèse, la maréchale Leclerc, qui fut la mère de la 2e DB ; ou encore Élisabeth et ses trois filles, qui s’engagèrent dans la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale…
De la Révolution à la Ve République, cet ouvrage retrace l’épopée d’une famille emblématique de notre histoire industrielle à travers le destin de quinze femmes d’exception, de véritables « femmes de fer ».
« Femmes de fer. Elles ont incarné la saga Wendel », Alain Missoffe & Philippe Franchini, 2020, 336 p.
Bambou
13 août 2020 @ 06:56
La deuxième en bas, en partant de la gauche, Thérèse de Hauteclocque. Rare de voir une photo d’elle jeune…
Gwillianne
14 août 2020 @ 15:59
J’ai une pensée toute particulière pour ceux qui ont souffert dans ces aciéries , j’ai débuté « ma carrière » dans la RP par un stage aux Aciéries de Gennevilliers , Ets Delachaux ‘autre dynastie ) par ailleurs, la région d’Hennebont plus exactement Lochrist (56) était un lieu important pour les fonderies et aciéries .
Quand Lochrist se mettait en grève la Bretagne toussait .
Maintenant c’est devenu , un petit paradis là où cela a été l’enfer sur terre pour beaucoup .La très jolie petite ville au bord du Blavet que l’o n pourrait croire écossaise , est riante , très fleurie .
il reste de cette époque un écomusée des forges
Ainsi va l’histoire .