L’auteure Carmen Posadas publie un roman historique « La hija de Cayetana » ou l’histoire peu connue de Mari Luz, une jeune enfant, fille d’une esclave qui fut offerte à Cayetana, 13ème duchesse d’Albe (1762-1802) qui se prit d’affection pour elle et qui lui légua une partie de son héritage. Sur fond d’intrigues à la Cour du Roi Carlos IV, Carmen Posadas a eu accès à des archives de la famille d’Albe pour l’écriture de son livre.
jul
1 novembre 2016 @ 06:56
Bravo au graphiste pour cette couverture mêlant portrait de la Duchesse d’Albe par Goya et une photographie. J’espère que le roman est aussi réussi. L’histoire est très intéressante !
Sylvie-Laure
1 novembre 2016 @ 07:22
Cette histoire doit être très belle à lire, et il apparait que la famille des ducs d’Albe, était déjà précurseur en matière des droits humains, et altruisme.
Plus on en apprend sur la famille des ducs d’Albe, plus on l’apprécie. Quant à la dernière Cayetana, on ne peut plus s’étonner d’une telle personnalité hors-norme, quand on lit que son aïeule du même prénom, possédait un tempérament volontaire, et atypique.
Savez vous Régine, si ce livre va paraitre uniquement en version Espagnole ? S’il vous plait.
Marie1
1 novembre 2016 @ 07:26
La duchesse n’avait pas d’enfant, et se prit d’affection pour cette petite fille.
Muse ou plus de Goya, celui ci a peint plusieurs tableaux de la duchesse seule ou avec cette petit fille. Goya réalisa un très beau dessin à l’encre de chine de la duchesse avec cet enfant bébé dans les bras.
JAusten
1 novembre 2016 @ 09:07
j’aime beaucoup la couverture du livre ; un photo montage réussi avec une très jolie petite fille.
sait-on ce qu’est devenue cette enfant ?
Muscate-Valeska de Lisabé
1 novembre 2016 @ 09:11
Quand les sentiments surmontent tous les a-priori et toutes les idioties de castes…pour le bonheur de tous…
J’adore ces tournures inattendues de la Vie!
Ghislaine
1 novembre 2016 @ 12:00
Mais c’est bon sang bien sur ! j’adore votre tournure d’esprit actuelle , précédemment , vous nous aviez fait savoir que vous descendiez d’un baron allemand !
idiotie de castes dîtes vous ?
beji
1 novembre 2016 @ 12:25
La fille de Sissi,Marie-Valérie avait aussi comme compagnon de jeux,un petit esclave
noir ou fils d’esclave « offert » par sa mère.
Actarus
1 novembre 2016 @ 13:24
Cette couverture est une actaruse ! Avec ses cheveux bruns, la petite fille a la même coiffure que la défunte Cayetana Fitz-James Stuart y Martinez de Irujo, duchesse d’Albe ! ^^
Pour les cinéphiles, je recommande le film qui met en scène l’héroïne de ce livre, « La maja nue », le dernier qu’Ava Gardner a tourné sous contrat avec la MGM, et qui narre les amours de la duchesse d’Albe avec le peintre Goya qui n’avait rien à voir avec Chantal. ;-)
Sylvie-Laure
2 novembre 2016 @ 07:31
c’est vrai, je m’étais fait la même réflexion, Actarus. Mais comme ici la duchesse Cayetana de ce livre n’a pas eu d’enfant… similutude de coiffure sans doute.
Un livre-histoire vécue que j’aimerai vraiment lire, s’il est traduit.
emy
1 novembre 2016 @ 20:19
Un enfant que l’on « offre » (j’ai bien du mal avec ce terme, on croirait qu’on parle d’un animal) a été « pris » ailleurs, coupé de ses racines… j’espère qu’elle a été heureuse.
Muscate-Valeska de Lisabé
2 novembre 2016 @ 09:10
Ben oui,c’est là qu’on peut enfin se mettre à la place de l’animal,vendu,soumis,objet…par la bête-à-deux-pattes.
Alienor
1 novembre 2016 @ 21:06
Cayetana Fitz James Stuart y de Silva de son nom de jeune fille.
Cayetana Fitz James Stuart de Martinez de Irujo de son premier nom d’épouse.
Juliette
2 novembre 2016 @ 22:30
Un livre qui semble très intéressant pour les amoureux d’histoire et d’art. Merci à Actarus pour pour sa précision cinématographique.
Cosmo
5 novembre 2016 @ 21:28
Et s’il s’était agi de sa vraie fille…