Le mot évoque, pêle-mêle, la magie de robes de bal tournoyantes et la chevelure brune de Sissi, un pays de montagnes et de lacs d’un bleu profond, traversé par les flots du Danube, ou encore les ors de Vienne, capitale unissant à un degré rare le classicisme et la modernité. De superbes clichés, pour une réalité bien méconnue.
Son histoire est un formidable concentré de l’histoire européenne. Ce petit pays, qui rassemble aujourd’hui quelques millions d’habitants, a porté autrefois un empire où le soleil ne se couchait jamais, l’empire de Charles Quint. Il fut le théâtre privilégié des luttes religieuses et politiques qui ont façonné l’Europe moderne.
De grands souverains s’y sont succédé, comme Léopold Ier, l’éternel rival de Louis XIV, qui repoussa les assauts des Ottomans, ou la grande Marie-Thérèse, qui fit jouer le petit Mozart sur ses genoux. Point d’équilibre diplomatique et objet de terribles convoitises, l’Autriche joua enfin un rôle crucial dans le déclenchement des grands conflits du monde contemporain : Première, puis Seconde guerre mondiale. Elle attire et fascine, grâce à son extraordinaire richesse culturelle et à sa place inégalée dans le monde des arts, de la musique à la littérature.
Aux portes de l’Allemagne, au cœur de l’Europe centrale, à la croisée des chemins entre la culture germanique, les mondes slave et latin et les influences orientales, l’Autriche est une énigme de plusieurs siècles, presque un millénaire, qui n’en finit pas d’être posée, jusque dans les ultimes rebondissements de sa vie politique au début du XXIème siècle.
Voici, écrite par une jeune et illustre historienne, la grande synthèse qui manquait. »
« Histoire de l’Autriche », Hélène de Lauzun, Perrin, 2021, 380 p.
Pascal🍄
18 février 2021 @ 07:02
A partir de quelle époque la galaxie des États Habsbourg s’est elle recentrée sur les possessions autrichiennes ?
Cosmo
18 février 2021 @ 12:33
On peut considérer deux périodes.
Le partage de Charles Quint divisant les possessions entre Habsbourg d’Espagne et Habsbourg impériaux et la perte des Pays-Bas Autrichiens après le Traité de Campo Formio en 1797.
A partir du début du XIXe, il y a eu un recentrage mais qui englobait la Lombardie, la Vénétie, les Etats de la Couronne de St Etienne et les Etats dépendant directement de Vienne, comme la Bohême, la Moravie, la Slovénie, Cracovie, la Galicie etc…
Donc plus de Habsbourg à l’ouest…cap à l’est.
Pastelin
18 février 2021 @ 13:16
Je dirai après Charles Quint.
Quand Charles Quint cède à Ferdinand son frère les États autrichiens et la dignité impériale.
Jean Pierre
18 février 2021 @ 13:17
Je dirais entre le congrès de Vienne et 1867.
Avant le « roi « d’Autriche était empereur germanique avant tout. Même si l’on prend Marié Thérèse son mari l’était.
Pascalavecunchampignon
19 février 2021 @ 12:35
Merci pour ces réponses collégiales et complémentaires .
L’incroyable concours de … circonstances ? qui firent de Charles Quint le maître d’un aussi vaste domaine m’avaient échappé !
Guy Coquille
18 février 2021 @ 07:55
L’Autriche est, encore aujourd’hui, une suggestion. Celle d’une autre Europe. Après la faillite inévitable des entreprises européennes actuelles, cette suggestion se manifestera toujours à nous. Peut-être aura t-elle plus de chances d’être suivie.
Pascal🍄
18 février 2021 @ 12:27
Voilà un commentaire que je trouve parfait , fin et pertinent.
Si bien entendu nous parlons de l’Autriche ” historique” .
Mais qui le comprendra ?
En tout cas je vous suis très reconnaissant.
Leonor
18 février 2021 @ 10:17
C’est sérieux, ça ?
Pour s’attaquer à un sujet pareil, et l’intituler globalement et tout de go » Histoire de l’Autriche », il faut ou une formidable compétence , ou une sacrée dose de prétention ou d’inconscience .
Or, je ne connais ni ne vois de grand pedigree d’historien à cette Madame Hélène de Lauzun.
Ma foi, il en est qui osent tout.
Cosmo
18 février 2021 @ 12:37
Comme vous dites, chère Leonor ! J’igonre qui est Hélène de Lauzun – inconnue dans mon vieux Bottin Mondain – mais elle ne manque pas de courage ou d’inconscience dans le choix du sujet et de son titre.
Marnie
18 février 2021 @ 14:11
Leonor, décidément, vous semblez avoir un problème avec les publications universitaires… Je ne connais pas cette auteur et je ne défendrai pas son livre. Mais sur le principe, bien sûr qu’il est possible pour un historien de faire une synthèse sur l’histoire d’un pays sans en faire 10 volumes. Cela donne une base pour le grand public et pour les étudiants qui vont ensuite y puiser dans la biblio les références concernant des sujets plus pointus, des approfondissements. Certains historiens s’y mettent seuls, d’autres en collaboration, mais cela n’est pas impossible et même indispensable si on veut avoir une vision globale de l’histoire d’un pays.
Leonor
18 février 2021 @ 14:56
Pas la peine de me chercher, Marnie : je n’ai aucun problème avec les publications universitaires, vu que … abrégeons; je vous passe les détails de mon CV )
Sur le fond : Pour faire une bonne synthèse, il faut avant tout avoir fait une bonne analyse, càd. posséder à fond le sujet. En l’occurrence, ce travail de fond serait forcément de longue haleine. Or, on ne voit nulle part trace de ce type de travail sous la plume de H. de Lauzun.
Un beau nom ne suffit pas à faire un bon historien.
Mais c’est gentil de me suivre à la trace. Et de me lire de travers. Je vous rajoute à la liste . ;-)
Marnie
18 février 2021 @ 17:04
Vous chercher ??? on a quand même le droit de réagir quand cela fait 2 fois que l’on voit une personne avoir une réaction bizarre sur un sujet qu’on connaît bien… Vous n’avez pas besoin d’être agressive pour me répondre (vos 1ère et dernière phrases), mon commentaire n’était pas agressif, juste étonné que vous fassiez des remarques, qui, à moi, me paraissent erronées, sur des publications universitaires. Et je n’aime pas le ton de mépris et de hauteur que vous avez employé à ces 2 reprises contre ces auteurs.
Après une recherche rapide google, je vois qu’Hélène de Lauzun est agrégée et docteur en histoire, sa thèse (avec félicitations du jury dont le président était Jean Paul Bled) portait sur l’Autriche, c’est une ancienne de l’ENS et de Paris IV Sorbonne. Je trouve, juste en voyant tout ça, qu’elle est certainement bien placée pour faire une synthèse sur l’histoire de l’Autriche. Après, n’ayant jamais lu ses travaux, et n’étant pas du tout spécialiste de l’Autriche, je ne peux évidemment pas juger de la qualité de cet ouvrage. Et je ne dis pas que tout livre universitaire est bon, je dis juste que ce n’est pas du roman historique et que ses titres m’incitent à avoir confiance dans la qualité de son livre.
Phil de Sarthe
19 février 2021 @ 11:59
Bienvenu au club, Marnie….faites comme beaucoup ,méprisez!😉
Leonor
19 février 2021 @ 14:21
Eh bien voilà, Phil , formidable ;-).
Vous pourrez valser tout votre saoul avec Marnie , sous la houlette de Madame de Lauzun, en nommant » Sissi » l’impératrice Elisabeth d’Autriche, reine de Hongrie . C’est sûr, que « Sissi », à défaut d’être sérieux, ça fait vendre.
Allez, je ne suis pas chien, je vous mets la musique :
https://www.youtube.com/watch?v=EHYxkkzS35Q&ab_channel=AndreRieuVEVO
NB : J’ai mis du Rieu pour rester dans le ton. Les vrais amateurs de musique comprendront . ;-)
Marnie
19 février 2021 @ 16:13
Merci Phil de Sarthe, mais le mépris, ce n’est pas ma nature, je préfère l’indifférence ;-) surtout quand je lis la réponse de Leonor horodatée de 14h21.
Gérard
18 février 2021 @ 17:59
Ancienne élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, major de l’agrégation d’histoire, docteur en histoire contemporaine, Hélène de Lauzun est chargée d’enseignement en histoire à l’Institut catholique d’études supérieures et à l’Université Paris IV Sorbonne.
Elle s’intéresse spécifiquement aux relations entre la France et l’Autriche, sujet de sa thèse, et à la culture de l’ancienne Double monarchie. Par ailleurs, elle pratique à un niveau professionnel la valse viennoise, en tant que présidente du Bal des Parisiennes, le bal viennois de Paris.
Antoine
19 février 2021 @ 15:01
Merci, Gérard, pour vos précisions. Cette historienne brillante est jeune et c’est son premier ouvrage d’envergure. Il faut bien débuter un jour… Certains semblent lui en faire reproche et je vous sais gré d’avoir précisé que ce n’est pas une fantaisiste. Les parents de l’auteur sont des amis charmants qui résident dans la plaine du Forez. L’ouvrage est signé de son nom d’épouse.
Phil de Sarthe
20 février 2021 @ 18:17
Ravi de valser avec vous, Marnie dans notre commune médiocrité….❤
Phil de Sarthe
20 février 2021 @ 18:32
Je fais une exception à ma ligne de conduite, une seule….
Vous ne savez pas qu’il est très impoli d’intervenir dans les conversations privées?
Et comme je ne suis pas chien, je vous mets, moi aussi un peu de zizique…celle qui vous convient, bien sûr 🤣
https://www.youtube.com/watch?v=ZTQtrnV1P_w Enjoy!
BEQUE
18 février 2021 @ 17:27
Il me semble qu’Hélène de Lauzun est docteur et agrégée en Histoire.
Pascal🍄
19 février 2021 @ 06:35
Élève de l’ENS , agrégée d’histoire et auteur d’une thèse sur la question autrichienne en France dans les années 30 , Hélène de Lauzin est aussi responsable des publications de ”l’école de la valse ” à Paris dans le 15 ème…
Elle a donc des références pour parler de l’Autriche .
Sans doute cet ouvrage est-il une synthèse dans l’esprit impatient de notre temps comme le suggère Marnie ?
Je ne connais guère de spécialiste de l’Autriche in extenso mais je ne connais pas grand monde , si cette demoiselle aspire à le devenir il faut bien qu’elle commence …
Jean Pierre
18 février 2021 @ 10:19
Une histoire de l’Autriche en 380 pages, voilà qui est vite expédié.
Menthe
18 février 2021 @ 11:16
Et aujourd’hui un pays où, dans les campagnes et montagnes, règne encore une certaine douceur de vivre.
Jean Pierre
18 février 2021 @ 13:13
Oui en dehors des repas.
Menthe
19 février 2021 @ 17:59
Pas partout, cher JP !
BEQUE
18 février 2021 @ 13:11
Comme chacun sait, Charles Quint est né à Gand en 1500 et est mort, en 1558 au monastère de Yuste (Extremadure) qui date du XIVe siècle. Après l’expulsion des moines et le départ des troupes de Joseph Bonaparte, il tomba en ruines. Après bien des vicissitudes il fut cédé à l’Etat et restauré en 1979.
On peut y voir la litière sur laquelle on transportait Charles Quint, une aiguière avec laquelle il se lavait les mains, sa chaise à bascule. Dans sa chambre mortuaire, entourée de tentures noires, son lit à baldaquin d’où il pouvait, grâce à une ouverture pratiquée dans le mur, voir l’autel de la chapelle où se célébraient les messes. Dans la crypte, son cercueil dans lequel il s’exerçait par humilité à s’allonger. Charles Quint avait demandé qu’à sa mort on le place dans son cercueil de telle sorte que ses jambes soient à l’intérieur mais que son torse et sa tête soient à l’extérieur afin que le prêtre puisse poser ses pieds dessus pendant la messe des funérailles.
aubepine
18 février 2021 @ 13:34
Cette idée est tout simplement d’évoquer l’Autriche qui fait rêver , car tout en étant une république bien installée , la monarchie des Habsbourg restera encore longtemps une part de rêve importante , c’est ce que j’ai éprouvé lors de mon voyage !
Esquiline
18 février 2021 @ 13:45
Le reste de l’Europe vu de la France en 380 pages?
Aucun intérêt.
Kaiserin
18 février 2021 @ 13:59
L’Autriche, où je vis depus 12 ans, se caractérise par une douceur de vivre tempérée par des impôts extrêmement élevés (beaucoup plus qu’en France). Mais la tranquillité a un prix…
Les gens travaillent et ne se plaignent pas de leur sort. Il y a une courtoisie qui n’existe plus en France. Le pays évolue sans contrecoups, sans haine. Loin de tout le falbala Sissi, nous vivons une vie paisible. Et tout cela a un prix !
Danielle
18 février 2021 @ 14:25
Merci Kaiserin pour vos ressentis, j’ai fait un circuit à travers l’Autriche et beaucoup aimé ce pays.
HS : j’ai acheté le livre cité ici sur le Régiment de Cavalerie de la Garde Républicaine, un beau et très intéressant ouvrage.
Baboula
18 février 2021 @ 15:20
Les incidents anti sémites sont des bruits de fond tout en douceur .
ciboulette
18 février 2021 @ 21:49
ça recommence ? Oui , c’est un beau pays , patrie de Mozart , mais aussi de . . .qui vous savez . Alors , ils ne vont pas nous faire le coup encore une fois ?
Menthe
19 février 2021 @ 18:00
Ne pas comparer Vienne avec le reste du pays.
beji
18 février 2021 @ 18:35
Oui,Kaiserin on ressent en Autriche cette douceur de vivre.
Hervé J. VOLTO
18 février 2021 @ 19:16
A partir de quelle époque la galaxie des États Habsbourg s’est elle recentrée sur les possessions autrichiennes ?
Au partage de Charles Quint divisant les possessions entre Habsbourg d’Espagne et Habsbourg d’Autriche, et après la perte de l’Espagne qui passa aux Bourbons en 1700 : à partir de là, le Saint-Empire Romain Gremanique ne comprend plus que les Etats Allemands, les Pays Bas Espagnols, les Provinces Unies, le Royaume de Bohème, la Principauté Episcopale de Trente (sécularisée par le traité de Lunéville en 1801 et finalement rattachée au comté de Tyrol par le Recès d’Empire en 1803, repasse en 1805 au nouveau royaume de Bavière, puis, en 1810, au royaume d’Italie créé par Napoléon Ier et lors du Congrès de Vienne en 1814, il revient à l’Empire d’Autriche), l’Archi-Duché d’Autriche, les Duchés de Silésie, Styrie et Carinthie, le Comté du Tyrol. La Pologne et la Hongrie sont alors de Etats indépendants
En 1804, l’Allemgane se détache et devient la Confédération du Rhin et l’Empire austro-hongrois est un recentrage mais qui englobait la Lombardie, la Vénétie, les Etats de la Couronne de St Etienne et les Etats dépendant directement de Vienne, comme la Bohême, la Moravie, la Slovénie, Cracovie, la Galicie, etc… le tout uni au Royaume de Hongrie, les transformant en une « double monarchie » qui a existé de 1867 à 1918.
Maria
19 février 2021 @ 23:13
Avrei preferito che il trono del re Asburgo di Spagna passasse ai parenti Asburgo d’ Austria ,li preferisco ai francesi ( Borbone)!🤗 Traduco con google:J’aurais préféré que le trône du roi des Habsbourg d’Espagne passe aux parents des Habsbourg d’Autriche, je les préfère aux Français (Bourbon)! 🤗 Je traduis avec google
Maria
21 février 2021 @ 21:57
Queste faccine emoji non escono come sono in origine🤨 Traduco con google:Ces smileys emoji ne sortent pas comme ils le sont à l’origine. 🤨Je traduis avec google
Caroline
18 février 2021 @ 21:18
Ce livre sera- t- il traduit en allemand et en italien ? Oui, en italien car le Nord de l’ Italie y compris la ville de Trieste, le débouché maritime de l’ ancien empire austro- hongrois.
HRC
19 février 2021 @ 21:17
Par ailleurs je cite le petit livre de Bruno Dumezil sur « des Gaulois aux Carolingiens ». 200 pages, des cartes en plus, bien sûr. Aux P U F.
Si une nouvelle génération d’historiens veut donner son art de la synthèse et donner aussi la biblio nécessaire aux étudiants et amateurs pour creuser, cela peut être d’utilité publique.
Même édité par Perrin et non aux puf comme Dumézil, il faut lire pour voir. Et en ça Marnier a bien raison.
HRC
19 février 2021 @ 21:20
Marnie !
Mon portable veut Marnier ou Marie….
HRC
19 février 2021 @ 23:53
juste une remarque : il y a des gens qui sont obligés par leur métier même à faire synthèse de leurs études et lectures en Histoire, ce sont les professeurs d’Histoire.
L’obligation de résumer pour ses élèves en années de licence a peut être donné à cette dame l’envie et l’audace de publier ce texte.
Je reviens d’internet sur son nom, j’y trouve son cursus et les bals. Bon…Rien encore par Babelio sur le livre lui-même, pas encore de notes de lecture, ces notes de lectures m’ont toujours donné des indications fines ou très fines, et pas toujours aimables.
Et la vôtre, (comme pourrait dire Frédéric Gense. ?)
BEQUE
20 février 2021 @ 10:06
Juste une remarque s’il est encore temps. C’est souvent l’éditeur qui « commande » un sujet à un auteur. Je l’ai vu maintes fois dans mon journal : les journalistes « devaient » écrire des livres sur des sujets, qu’ils connaissaient ou ne connaissaient pas. Dans ce dernier cas, ils faisaient des recherches qui leur prenaient un certain temps s’ils étaient sérieux. En l’occurence, les éditions Perrin (qui ne sont pas les plus nulles) se sont adressées à une personne spécialiste de l’Autriche pour faire une synthèse du pays. HCR, le livre devant être publié le 11 mars, il ne peut y avoir, déjà, de notes de lecture.
Marnie
22 février 2021 @ 09:42
Merci HRC et Beque pour ces précisions.
Hervé J. VOLTO
20 février 2021 @ 15:27
Pour Maria. Gabriella d’Autriche et Henri de Bourbon-Parme, mariage impérial au Tyrol !
Après des semaines d’incertitude liées aux restrictions sanitaires, les heureux parents de Victoria ont, enfin, pu se dire « oui » sous le soleil autrichien
https://www.pointdevue.fr/mariages/gabriella-dautriche-et-henri-de-bourbon-parme-mariage-imperial-au-tyrol_4117.html
HRC
21 février 2021 @ 13:04
Beque, un peu limitée en ce moment sur mon téléphone, je ré-chercherai sûrement plus tard, de toute façon. Mais je le ferai.
Maria
21 février 2021 @ 21:59
Merci Hervè J Volto!
chicarde
21 février 2021 @ 00:53
La seule couverture du livre est très séduisante… !
Philppe Gain d'Enquin
25 février 2021 @ 18:46
Le patrimoine réel étant qu’elle est responsable du Premier conflit européen à l’issue duquel elle sombra…