Si les Etats-Unis avaient été un royaume, elle en aurait été la reine. Près de 20 ans après son décès, Jackie Kennedy est restée ce mythe qu’elle était déjà de son vivant. Cette biographie fouillée de Bertrand Meyer se lit avec un réel plaisir. Ce n’est pas un enième livre sur Jackie mais un ouvrage qui repasse ce destin hors norme. Sa jeunesse en tant que Jacqueline Bouvier, son mariage avec un politicien à l’avenir prometteur qu’était John Fitzgerald Kennedy, sa présence lors de sa conquête de la Maison blanche, son charme et son style inégalables, ses rencontres avec les Chefs d’Etat dont le général de Gaulle totalement sous le charme, ses relations avec sa sœur la princesse Lee Radziwill chez qui elle aimait se rendre à Londres, son bonheur de mère, la tragédie de Dallas et sa dignité lors des funérailles nationales, la période où elle était la veuve de l’Amérique, ses voyages en Europe notamment chez la duchesse d’Albe en Espagne, son remariage polémique avec le richissime Aristote Onassis, son goût effréné pour le shopping et la décoration, son job aux éditions Doubleday à New York et sa fin de vie aux côtés du belge Maurice Tempelsman.
« Jackie Kennedy. Pouvoir et fortune » perce un peu ce mystère qui a toujours entouré la First Lady la plus adulée des Etats-Unis en dévoilant ses habitudes lorsqu’elle vivait à New York, son cercle d’amis, ses week-ends dans le New Jersey,…
Gros plan aussi sur sa fortune, l’héritage laissé à ses enfants John-John et Caroline. Un livre nourri des témoignages de ceux qui ont connu Jackie à la Maison Blanche, à New York et à Athènes.
« Jackie Kennedy. Pouvoir et fortune », Bertrand Meyer-Stabley, Editions Pygmalion, 2013, 285 p.
agnes
26 septembre 2013 @ 07:09
Elle fut surtout la reine de l´élégance, et personne ne lui contesterait ce titre.
Encore une femme enviée dans la planète féminine mais qui fut trompée.
Je crois avoir lu que, sur ce plan là, son mari avait la même « maladie » que l’ancien président du FMI. Le pouvoir exacerbe ce penchant.
Elisabeth
26 septembre 2013 @ 12:11
Oui Agnès son mari comme vous le dites si bien souffrait du même syndrome que l’ex président du FMI. Mais il avait des « circonstances atténuantes ». En fait il prenait un cocktail spécial tous les matins pour son dos qui le faisait énormément souffrir. Et s’il avait pu faire un second mandat il aurait été en fauteuil roulant. D’ailleurs sur les photos officielles il était bien souvent appuyé contre quelque chose. Enfin tout cela pour dire que ce fameux cocktail augmentait sa libido, lui donnait le teint halé. J’ai lu cela dans un livre sur John Fitzerald Kennedy, mais je ne sais plus lequel.
Elisabeth
PS: je pense quand même que le cocktail n’était pas la seule cause à ce comportement.
qiou
26 septembre 2013 @ 15:48
Cette maladie s’appelle le priapisme.
Corsica 2
29 septembre 2013 @ 20:56
Il souffrait de la maladie d’Addison ( insuffisance des glandes surrénales) qui, entre autres, est cause de grande fatigue, d’ostéoporose et de douleurs osseuses . Le traitement a peut être joué un rôle dans son besoin frénétique de séduire mais il y avait surtout et avant tout sa nature .
Marie de Bourgogne
28 septembre 2013 @ 12:46
@ agnes :
« Encore une femme enviée dans la planète féminine mais qui fut trompée »
E ce qui me concerne agnes je ne l’ai jamais enviée et en aucun cas je n’aurais échangé ma vie contre la sienne car cela aurait voulu dire que je prenne ses souffrances.
Et je n’aurais jamais voulu subir les souffrances qu’a subie Jackie Kennedy.
JAMAIS.
Amicalement
marielouise
26 septembre 2013 @ 07:32
Encore une figure emblématique de l’élégance!
Ma préférée!Plus moderne que Grace!
Ont-elles été heureuse quoique le bonheur est toujours très furtif…….!
Clémentine1
26 septembre 2013 @ 08:57
De la bonne lecture en perspective.
aggie
26 septembre 2013 @ 09:22
un destin hors norme, célébrissime mais mystérieuse Jacky, je crois que je vais lire ce livre
corentine
26 septembre 2013 @ 09:22
merci Régine
voilà un livre qui m’intéresse, j’ai tout une collection d’ouvrages sur les Kennedy et particulièrement sur Jackie, hérités de ma grand mère. Et j’ai une fascination particulière pour cette Première Dame d’origine française (dont j’ai d’ailleurs fait la généalogie).
Jacqueline Bouvier-Kennedy-Onassis était atypique, cultivée, élégante et mystérieuse
Philibert
26 septembre 2013 @ 10:39
C’est sûrement un livre intéressant, mais pourquoi le présenter sur un site traitant de la noblesse et de la royauté ?
Kalistéa
26 septembre 2013 @ 11:31
Je viens d’acheter le livre, je ne sais pas ce qui m’a pris: Peut-être l’envie de sortir de mon mépris…depuis son 2e mariage…
Dame Tartine
26 septembre 2013 @ 12:28
un livre est sorti, traduit de l’americain, il y a trois ans qui raconte la liaison qu’eut Jackie avec son beau-frère Robert Kennedy. L’entourage le savait mais n’en parlait pas.
Un autre livre parle des années après la mort de John. Avec sa frénésie d’achat. Des amis iraniens à elle, l’avaient invitée en Iran, qd elle etait encore mariée a Onassis. ils lui dirent qu’elle pouvait aller faire les magasins, le bazar, et qu’ils payeraient toutes ses dépenses. Alors elle depensa des sommes folles, des dizaines de milliers de dollars et acheta tout ce qui lui plaisait; Les amis iraniens furent bien obligés de payer. Un peu plus tard, voulant utiliser Olympic Airlines, ils demandèrent un billet d ‘avion, Jackie le leur procura et le leur fit payer.
Ils furent tellement ulcérés, qu’ils ne resterent pas amis.
Sa frenesie d’achat fit Onassis se detacher d’elle. Elle achetait des tas de vêtements et puis les revendait à des boutiques specialisées, à New York et mettait l’argent sur son compte en banque.
Elle finit ses jours avec Maurice Tempelsman, mais celui ci, juif pratiquant originaire d’Anvers, ne divorça jamais.
agnes
26 septembre 2013 @ 12:38
intéressant.
c’était donc une compulsive obsessionnelle d’achats.
Dame Tartine
26 septembre 2013 @ 15:24
oui, mais pour revendre et avoir du cash, car son mari lui faisait une certaine allocation en cash sur son compte en banque et elle avait le droit d’acheter des choses qui lui plaisaient. Pour augmenter son allocation, elle avait trouvé un moyen : acheter des vetements qu’elle ne portait pas (elle aurait avoir deux ou trois vies supplementaires pr porter tout) et revendait en se faisant crediter de l’achat sur son compte en banque. Je crois que le magasin s’appelait « Encore ». On lui achetait tout, deja sachant que ca venait d’elle et la boutique revendait tout à tres bon prix. Evidemment Onassis a dû le savoir.
Quand elle avait traité une femme ambitieuse, qui voulait faire un riche mariage, de « gold digger », son beau-fils ne l’a pas ratée. Son amour de l’argent lui a aliéné son second mari et aussi des amies. Avant de se remarier, elle recevait de l’argent d’une amie milliardaire, comme ça, ou des cadeaux coûteux et une amie riche mais pas milliardaire a dit que son amitié avec Jacqueline avait dû cesser, « parce que je n’étais tout simplement pas assez riche ».
Onassis est alors arrivé, et a été le Père Noel. Mais à la fin de sa vie il voulait divorcer. Il n’en a pas eu le temps.
marie
26 septembre 2013 @ 18:16
J’avais une amie qui, un jour au cours d’une conversation, m’a dit : « avant de se faire ami (e) avec quelqu’un, il faut bien réfléchir sur ce qu’il ou elle peut nous rapporter »….j’ai ressenti, soudain, une certaine méfiance qui ne s’est jamais estompée et, d’ailleurs je l’ai écartée de mon entourage.
Maguelone
29 septembre 2013 @ 20:28
Malheureusement Marie, ce type de personnalité n’est pas marginal ! A nous de les repérer et de les éviter!
qiou
27 septembre 2013 @ 09:37
C’était une femme très antipathique, supérieurement intelligente. Elle était la fille d’un minable escroc d’origine française, Bouvier. Cette très modeste origine française lui a tourné la tête. Elle s’imaginait appartenir à une illustre famille et regardait les gens de haut. Mais là où elle a été vraiment odieuse, c’est avec Christina Onassis. Mettant en avant son physique et son poids. Le toute jeune fille humiliée, lui vouera une haine tenace, ce que l’on peut comprendre aisément.
Marie de Bourgogne
28 septembre 2013 @ 12:39
@ qiou
Christina détestait Jackie AVANT même de la connaitre. Tout comme elle détestait Maria Callas. En fait, elle détestait toute femme pouvant prendre, à ses yeux, la place de sa mère.
Christina avait des problèmes de poids depuis toujours (hélas pour elle, elle ressemblait à son père et pas à sa mère). Elle faisait des régimes délirants. Vous savez elle n’a pas attendu Jackie pour se détester elle même… Sa vie le prouve.
Jackie a essayé d’aider Christina. De la conseiller… En retour elle ne reçut que du mépris et de la haine.
Amicalement.
marie
26 septembre 2013 @ 18:29
Je connais une dame qui a le même comportement.
Un jour, je l’ai accompagnée dans un magasin célèbre que nous connaissons tous : en 3/4 d’heure, elle avait « flambé » le salaire moyen de deux mois…Je me demandais ou j’étais… Ensuite, je me suis aperçue qu’elle ne portait les choses qu’une seule fois, les entassait dans des cartons et, au bout d’un certain temps, elle les vendait. Le hic..c’est qu’un jour elle a voulu me vendre une veste qu’elle avait achetée devant moi, (ce qu’elle avait oublié..) à un prix !!!!
Non seulement, elle « récupérait son argent » mais en plus, elle cherchait à manipuler les gens… Celle-là aussi, je l’ai vite écartée !!
Dame Tartine
27 septembre 2013 @ 14:44
j’aurais une explication pour la soif d’argent de Jackie Kennedy Son père, un agent de change new-yorkais était ruiné et sa mère avait pu se remarier avec un millionnaire protestant. ELle a pris avec elle ses deux filles, et a eu avec Hugh Auchincloss deux enfants. Ces deux enfants étaient les heritiers du millionnaire mais Lee et Jacqueline n’avaient droit à rien du tout, sinon vivre en grand style dans le propriété du riche beau-père. Les deux filles Bouvier n’avaient pas un sou et devaient donc faire de riches mariages. Jacqueline fut un moment fiancée avec un New Yorkais, dans la finance, et sa mère désapprovuait tellement cette union (le jeune homme avait une bonne situation mais pas de fortune personnelle) que Jacqueline rompit ses fiançailles.
Jacqueline alla travailler comme photographe reporter et rencontra John Kennedy.
Donc être la belle-fille fauchée d’un beau-père tres riche et avoir des demi-frere et soeur qui hériteront du monsieur , cela peut expliquer pas mal de choses.
Je crois me rappeler que le beau-père mourut ruiné. Janet, la mère de Jackie, se remaria une troisieme fois.
Francky
26 septembre 2013 @ 13:00
A ce sujet, il me revient en mémoire la visite du cimetière d’Arlington où repose son mari. Une plaque rappelle aussi la présence de Jackie, mais la guide du cimetière me disait qu’en réalité, elle avait été incinérée dans le plus grand secret et ses cendres dispersées au-dessus de l’Atlantique…
Je ne sais pas si Monsieur Bertrand Meyer en sait davantage, mais je le remercie par avance de nous éclairer sur ce point s’il le peut…
BERTRAND MEYER
26 septembre 2013 @ 18:19
C’est très romanesque mais cela n’est absolument pas la vérité…
Francky
27 septembre 2013 @ 14:38
Merci monsieur Meyer, pour votre information.
Cosmo
26 septembre 2013 @ 13:11
Belle, intelligente, distinguée, cultivée…mais une croqueuse de diamants ! En un mot, la dernière des grandes allongées. Nul n’est parfait…
Francine du Canada
26 septembre 2013 @ 15:42
Cosmo, « … la dernière des grandes allongées » je suis sceptique; je crois qu’il en reste une à Monaco et une autre en Allemagne? Mais enfin, chacun son idée n’est-ce pas? Amicalement, FdC
Severina
26 septembre 2013 @ 17:19
«la dernière des grandes allongées », Cosmo, non je ne crois pas, mai une femme bien malheureuse et épouvantée, qui avait peur pour ses enfants et voyait dans l’argent la seule sécurité possible. La boulimie d’achats et des choses est une maladie psychique, donc une souffrance.
Mais, en tout cas, belle, classe, élégante, cultivée.
Francine du Canada
27 septembre 2013 @ 20:15
Severina, ce que vous dites est scrupuleusement exact, surtout pour « ses enfants ». Amitiés, FdC
Cosmo
28 septembre 2013 @ 22:15
Séverina,
Je pense que vous avez une vision idéalisée de Jackie Kennedy, qui connaissait les conditions exactes de chacun de ses mariages.
Si je peux me permettre, lisez ou relisez Edith Wharton, vous aurez une idée plus précise de la haute société américaine car rien n’y a changé depuis plus d’un siècle. Jackie O’ était une de ses « boucanières ».
Bien à Vous
Cosmo
Cosmo
26 septembre 2013 @ 22:06
Chère Francine,
Il ne restera tant que le monde existera mais à ce niveau, elles sont de plus en plus rare car Jackie O’ avait de la classe, comme sa consoeur Pamela Harriman.
Amicalement
Cosmo
Mélusine
28 septembre 2013 @ 23:18
Au fait, cher Cosmo, que dit-on des hommes qui épousent des femmes ou des hommes, puisqu’à présent c’est admis, pour leur fortune ?
Dit-on que ce sont des hommes « avisés » ? Ou existe-t-il un terme bien péjoratif pour les qualifier, eux aussi ? Même si, jusqu’à ce mariage, ils n’ont jamais pratiqué la courtisanerie.
Cosmo
29 septembre 2013 @ 13:55
Chère Mélusine,
Ce n’est pas d’épouser quelqu’un pour sa fortune qui est le problème mais de répéter la chose…
Quant aux hommes, le terme est « coureur de dots » ! Et si l’on répète l’opération, on parle d’un gigolo.
Cordialement
Cosmo
Kalistéa
26 septembre 2013 @ 21:53
Elle aurait du avoir une maison en Corse alors mon cher Cosmo,puisqu’on dit que c’est le pays où l’on trouve le plus de chaises longues!
BAV k.
Mélusine
27 septembre 2013 @ 15:22
Il paraît même que l’île de beauté est celle qui exporte le plus de fonctionnaires et importe le plus de retraités qui, comme chacun sait, raffolent eux aussi des chaises longues…
Kalistéa
28 septembre 2013 @ 10:57
Il nous faudrait l’avis de notre chère « Corsica2 », Mélusine, elle doit avoir une idée là-dessus c’est certain!
Bon WE. K.
Corsica 2
29 septembre 2013 @ 21:35
Kalistéa, bien sûr que j’ai une idée sur la chose puisque je suis d’origine Corse par contre je suis née à Lyon, y ait vécu et y vit encore une partie de l’année . Lyon, c’est ma ville mais j’ai hérité d’une maison dans cette île de beauté . La plus grande partie des Corses vivent hors de l’île car, sur place en dehors du tourisme, des professions libérales et du fonctionnariat, il n’y a pas beaucoup de perspective . Dans le temps, beaucoup étaient militaires ou partaient comme fonctionnaires dans les colonies . C’est vrai aussi que beaucoup de membres de la diaspora veulent retourner au «village» pour y passer leur retraite ( je vous rassure, ce ne sera pas mon cas, je me contenterai d’un ou deux mois l’été) . Quant au nombre de chaises longues, je n’en ai pas vu plus qu’ailleurs dans le monde . Je pense que cette image vient essentiellement du terme de paresse qui dans l’imaginaire est associé aux Corses . Je dois dire que, si dans le temps de mes arrières grands parents et même de mes grands parents, les Corses travaillaient dur, tout particulièrement ceux des montagnes qui pratiquaient des cultures en terrasses, depuis les choses ont bien changé . Beaucoup de personnes préfèrent vivre de pensions : maladies, accidents du travail plus ou moins hypothétiques . C’est quelque chose qui me révulse totalement mais cela fait partie du fonctionnement clanique et du clientélisme toujours en vigueur dans l’île. Sans compter que les subventions agricoles de l’Union Européenne n’ont rien arrangé : certaines personnes vivant en ville, au septième étage d’un immeuble, possèdent des troupeaux de vache fictifs et touchent des primes substantielles . Donc, pour résumer : l’île offre des paysages magnifiques, les Corses ont beaucoup de qualité mais il y a beaucoup à redire sur les comportements de certains qui discréditent la totalité de la communauté .
PS : il y a bien longtemps vous aviez demandé le pourquoi de mon pseudonyme et du 2. Vous avez eu une partie de la réponse, le 2 correspond au département ( 2A pour la Corse du Sud, 2B pour celle du Nord) .
Je prie les internautes de bien vouloir m’excuser pour ce long hors sujet mais Kalistéa me demandait mon avis .
Cosmo
1 octobre 2013 @ 08:50
Corsica2,
Je partage votre analyse de la situation des Corses aujourd’hui.
Cordialement
Cosmo
adriana
26 septembre 2013 @ 17:30
une très belle femme…. distinguée raffinéee intelligente………je vais très certainement me procurer ce livre…………. bonne soirée
Marie de Bourgogne
26 septembre 2013 @ 18:48
Cette femme était d’une grande élégance et j’avoue beaucoup aimer son style.
Elle avait certes des défauts.
Mais c’était également une femme qui a eu une petite fille morte née, qui perdit un petit garçon âgé de quelques jours et deux mois après elle recevait la cervelle de son mari sur son tailleur (c’est atroce mais c’est la réalité).
Quelle horreur d’avoir eu à vivre tout cela.
Lorsque l’on lui demandait de quoi elle était la plus fière, elle répondait : « d’avoir eu tant de souffrances et de ne pas être devenue folle ».
Mélusine
27 septembre 2013 @ 15:30
Comme chaque être humain, Jackie avait des défauts, mais elle a aussi supporté les effroyables épreuves que vous citez.
En disparaissant avant lui, elle n’a heureusement pas eu à subir le décès de son fils adoré, John-John, quelques années plus tard…
Kalistéa
28 septembre 2013 @ 11:00
Et que dire de l’épreuve qui a consisté à avoir Onassis dans son lit?
C’est là que l’adjectif donné par Cosmo, à certaines célébrités féminines ,prend tout son sens!
Marie de Bourgogne
28 septembre 2013 @ 20:16
Coucou Kalistéa,
certes Onassis n’était pas un bel homme. Mais Sophia Loren a bien eu Carlos Ponti dans son lit pendant X années et pourtant, là également, le terme « d’épreuve » pourrait être évoqué :-) et l’adjectif être utilisé.
Amicalement
Mélusine
29 septembre 2013 @ 17:46
Il faut croire qu’Onassis, malgré un physique peu avenant, possédait un magnétisme suffisant en tout cas pour conquérir, entre autres, une diva telle La Callas, qui était folle de lui et ne se consola jamais d’avoir été rejetée, lorsque son amant épousa Jackie.
Les hommes laids (même sans fortune) ont parfois un pouvoir de séduction bien supérieur à celui des Adonis…
Maguelone
29 septembre 2013 @ 20:47
Onassis était amoureux de « la » Callas » mais aimait encore plus le fait d’avoir épousé la veuve du Président Kennedy. Cela, selon ses critères, lui donnait une autre légitimité puisque l’argent il l’avait déjà…
On peut faire un parallèle avec le père de Dodi al Fayed qui souaitait ardemment que son fils épouse la princesse de Galles et ce pour les mêmes raisons !
Marie de Bourgogne
28 septembre 2013 @ 11:40
Oui Mélusine. Il lui aura au moins été épargné de vivre une autre abomination.
Amicalement
Palatine
28 septembre 2013 @ 19:52
je pense comme vous Marie, elle a eu la chance de mourir avant son fils ! Elle lui avait toujours défendu de s acheter un petit avion ou un hélico, parce que Alexandre, le fils unique d’Onassis est mort dans un accident d’hélico. Un Piaggio je crois.
Quel destin ! Chaque membre de ce couple perd un fils.
VERSAILLAISE
26 septembre 2013 @ 19:12
Ne la connaissant pas, je m’abstiendrai de tout commentaire sur sa vie, mais au-delà, pour moi elle représente la classe et l’élégance absolues en matière de mode comme en décoration. S’il y a une image à retenir c’est sa parfaite dignité lors des obsèques de son mari après le traumatisme éprouvé. Je déteste viscéralement les pleureuses qui se donnent en spectacle.
Mélusine
29 septembre 2013 @ 17:39
Vous avez raison, Versaillaise. Jackie était une femme de goût, raffinée, élégante et cultivée. Elle sut redonner vie à la Maison dont elle initia la rénovation ainsi que la décoration. Elle y organisa des grands dîners et soirées musicales mémorables où le nec plus ultra était convié.
Si elle fit de beaux mariages, le premier ne lui apporta guère la fortune.Son premier mari JFK, qu’elle accompagnait dans ses campagnes électorales, sut tirer parti du charme et de l’intelligence de sa femme et Jackie l’aida dans sa quête du pouvoir et ensuite pendant « les années Maison Blanche ».
Quant au second, l’armateur grec Aristote Onassis, il la courtisa sans relâche alors qu’elle était encore l’épouse du président des Etats-Unis et la harcela à nouveau dès qu’elle fut veuve, tant cet homme vaniteux et boulimique de conquêtes avait hâte d’épouser une légende.
A l’un comme à l’autre de ses maris Jackie fut très utile, mais il semble qu’ils ne lui apportèrent pas le bonheur en retour. Prestigieuse mais triste destinée que la sienne.
Mélusine
29 septembre 2013 @ 17:53
Quoi qu’il en soit, si cet ouvrage de Bertrand Meyer-Stabley est aussi excellent que sa biographie de la reine Elizabeth II « Majesté », je me réjouis par avance de sa lecture.
Francine du Canada
30 septembre 2013 @ 02:33
Moi de même Mélusine et je dois dire que : Rares sont les personnes que j’ai rencontrées dans ma vie qui… semblaient connaître aussi bien Jackie (elle était tout un phénomène…) Amitiés, FdC
Mélusine
1 octobre 2013 @ 00:53
Francine, tout comme vous, j’aime lire…
Amitiés
Mélusine
VERSAILLAISE
1 octobre 2013 @ 15:01
@ Corsica2; je partage totalement votre vision de la Corse si belle au demeurant, mais pour avoir des amis très chers qui ont fait l’énorme erreur de revenir s’y installer à la retraite, je peux dire que c’est l’ennui et la dépression assurés et les moyens médicaux quasiment inexistant dans les villages; De plus ce genre de pathologie est encore considérée comme honteuse. Il faut se cacher pour pleurer ou téléphoner sur le continent pour entendre une voix amie.