Livre en allemand sur les relations entre l’impératrice Elisabeth d’Autriche et la Hongrie si chère à son cœur. (Merci à Alberto)
Livre en allemand sur les relations entre l’impératrice Elisabeth d’Autriche et la Hongrie si chère à son cœur. (Merci à Alberto)
Vasco2
17 décembre 2019 @ 09:53
Que sont devenus les bijoux de l’Impératrice ?
Roxane
17 décembre 2019 @ 10:00
Un livre en plus sur Sissi !
Zulma
17 décembre 2019 @ 10:15
La belle-fille de Sissi a dû se heurter au même problème que Charlene de Monaco!
Lionel
17 décembre 2019 @ 13:04
On ne peut pas vraiment comparer SAR la princesse Stéphanie de Belgique avec Charlène Wittstock. Le seul point commun est d’être malheureuse : l’archiduchesse Stéphanie, une fois âgée, l’a rendu public en écrivant et publiant ses souvenirs. Pour la princesse de Monaco, on le suppose simplement.
Anne-Cécile
18 décembre 2019 @ 10:45
Stéphanie goûta sa position sociale de « quasi première dame » et quelques succès en Cour durant le vivant de son époux. Sa belle-mère n’étant jamais là et Vienne et l’Autriche se sachant méprisés d’elle avaient évacué son souvenir au maximum, beaucoup ne faisaient de comparaison qu’en présence des deux femmes côte à côte c’est-à-dire quasiment jamais.
L’Impératrice trouvait sa belle-fille insipide, conventionnelle et arriviste (qualificatif appliqué par beaucoup aux Cobourg).
Néanmoins comme elle ne voulait pas exercer sa charge mondaine d’impératrice, elle aurait très tôt convoqué Stéphanie de Belgique pour l’inviter à la remplacer quant elle n’était pas à Vienne et quant cela était possible.
Et la jeune Stéphanie, consciente de sa silhouette déplorable, et de sa figure mal mise en valeur, s’adonna des années durant au sport, s’abandonna aux mains des esthéticiennes, coiffeurs de l’époque, et renouvela toute sa garde-robe pour essayer de rejoindre sa belle-mère sur le piédestal de la beauté et du charme.
Une décennie plus tard, beaucoup affirmaient son élégance et soulignaient une silhouette admirable.
Ce qui ne fait pas de doute en revanche c’est qu’elle conserva au sein de sa belle-famille le qualificatif de « chameau » non exclusif d’ailleurs. Sur ce site, on a condamné l’Impératrice pour l’usage de ce mot comme si elle en était la lanceuse. A une dame d’honneur (cité dans la correspondance de cette dernière), l’Impératrice voyant son fils et sa bru débarqués sans prévenir un soir s’écria : « je ne m’attendais pas à les voir ce soir, Rodolphe et son chameau ».
En réalité le mot « chameau » était d’usage courant à la Cour des Habsbourg. On le retrouve antérieurement utilisé dans la correspondance de François-Joseph notamment à l’occasion d’une rencontre avec son beau-frère Charles-Théodore pour qualifier un des enfants de celui-ci (je crois la future reine des Belges Elisabeth).
Et l’Archiduchesse Madeleine a relaté l’arrivée de la jeune princesse belge à la Cour pour épouser l »héritier en compilant tous les qualificatifs « sympathiques » qui naquirent à la vue de l’ingrate adolescente.
L’Impératrice n’était pas le plus gros ou le plus courant des problèmes de sa bru, même en terme de beauté et de charisme.
Caroline
17 décembre 2019 @ 10:39
Pas traduit en hongrois ?
L’ impératrice Sissi montrait bien son attachement à la Hongrie d’ après le film Sissi et elle appréciait les coutumes hongroises.
Alberto
17 décembre 2019 @ 12:48
Le contraire. Il s agit d une traduction depuis l hongrois. L auteur est hongroise et vous trouverez un entretien avec elle au Kronen Zeitung révue de dimanche dernier.
beji
17 décembre 2019 @ 13:35
Sans intérêt pour moi qui ne pratique pas l’allemand.
aubépine
17 décembre 2019 @ 14:08
La belle-fille de Sissi n’était pas gâtée comme l’est Charlène , elle était détestée par sa belle -mère ,délaissée par son mari , humiliée par Marie Vetsera ; sa seule occupation était d ‘ élever sa fille qui n’était pas facile ( future archiduchesse rouge ,trop gâtée par son empereur de grand-père ) et de paraître auprès du souverain quand l’impératrice faisait défaut ,c’est à dire souvent .
Leonor
17 décembre 2019 @ 14:46
L’éditeur affirme que l’auteur ( Hongroise et germanophone) utilise des sources jusque là inconnues , issues d’ archives hongroises ; dont le journal de la comtesse Festetics , dame d’honneur de l’impératrice , publié en 2014 par le même auteur .
Evidemment, je n’en sais rien.
Leonor
17 décembre 2019 @ 14:51
Sissi, c’est comme Diana : une source inépuisable .
D’ailleurs,les deux ont quantité de points communs. Dont la neurasthénie,le déséquilibre mental , l’immaturité , le narcissisme effréné, l’instinct de fuite, et la déloyauté vis-à-vis de leur conjoint et du pays dont il est le prince. Ainsi que leur mort violente prématurée, et l’idolâtrie qu’elles ont générée.
C’est assez curieux .
Mêmes causes, mêmes effets.
Marnie
18 décembre 2019 @ 13:50
La différence, de taille, c’est leur couple : Sissi a été passionnément aimée par François-Joseph et ne le lui pas bien rendu. Diana a aimé Charles avant de se rendre compte du malentendu en sa défaveur… Bref, des couples aux sentiments très déséquilibrés qui ne pouvaient pas tenir la route et être heureux. Même si je trouve que Charles (et Camilla) restent également des victimes de toute cette histoire et me sont aujourd’hui sympathiques, on ne peut pas dire que Diana a été aidée… plutôt prise au piège (ceci dit objectivement, je n’aime pas beaucoup ce personnage). Et les défauts que vous lui prêtez me semblent être venus « après », tandis que ces défauts étaient, d’après ce qu’on peut en savoir, « innés » ou en tout cas déjà ancrés chez Sissi et la vie à la cour de Vienne n’a rien arrangé.
Muscate-Valeska de Lisabé
18 décembre 2019 @ 20:36
Très bien comparé,ma Mie Léo 👏
Francois
17 décembre 2019 @ 15:05
Sissi et la Hongrie
Sissi et l Autriche
La Bavière
Corfou
L’équitation
Les régimes
Sa Belle Mère et tante
Louis II
La fatalité
Mais jamais Sissi et le bonheur
Les gens heureux n’ont pas d’histoires à narrer pendant des siècles
La névrose poussée au paroxysme de l’impératrice d’Autriche peut générer
encore longtemps des thèses, des ouvrages .
À chacun de s’y reconnaître selon la partie de la vie de Sissi à laquelle on se réfère
Jean Pierre
18 décembre 2019 @ 12:52
Madère.
beji
17 décembre 2019 @ 17:50
Une planète et son exoplanète portent depuis ce 17 décembre les prénoms de Sissi et Franz comme l’a choisi l’Autriche.L’annonce a été faite par l’union astronomique internationale.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 décembre 2019 @ 18:01
Pour moi,aussi détestable que Marie-Antoinette …des évaporées capricieuses,tyranniques et superficielles.
Des femmes comme il en existe à la pelle,même pas vraiment belles…à mon goût sans aucun intérêt. Bien pour ceux à qui elle plaît.
Jean Pierre
18 décembre 2019 @ 13:45
Et Andrassy dans tout ça ?
Elsi
18 décembre 2019 @ 20:25
Je peux recommander la biographie de l´historienne autrichienne Brigitte Hamann….apres l´avoir lue, en plus de quelques autres ouvrages, ma theorie est que la brave Elisabeth n´etait pas vraiment l´instigatrice du rapprochement austro-hongrois. Je pense plutot qu´il y avait une sorte de reseau hongrois a la cour de Vienne, dont le comte Andrassy tirait les ficelles, infiltrant des Hongroises comme dames d´honneur, manipulant a merveille une femme en proie a son narcissisme et egocentrisme, il suffisait de repondre a ses attentes et la reconforter dans ses neuroses et marottes, flatter son ego…mais peut-etre me trompe-je…