Un nouvel ouvrage sur la duchesse de Cambridge serait-on tenter de dire à l’annonce de la parution de « Kate Middleton. La vie de Catherine, duchesse de Cambridge« . Mais dès la lecture des premières pages, on plonge dans l’univers méconnu/inconnu de la vie de l’épouse du prince William de son enfance au baptême de sa fille la princesse Charlotte. Bertrand Meyer-Stabley connaît sur le bout des doigts la famille royale britannique, les us et les codes de l’aristocratie britannique et de la gentry, ces mondes que fréquentent William et Kate, il est l’auteur de plusieurs+). Et puis surtout, il a un style fluide, une narration captivante qui vous plongerons en quelques instants à la découverte de la vie de la duchesse de Cambridge avant que la katemania n’ait éclaté totalement à l’annonce de ses fiançailles officielles.
Le saviez-vous, enfant, Catherine Middleton a vécu en Jordanie où son père était en poste pour British Airways à Amman ? Elle vécut ainsi dans le quartier résidentiel de Um Uthainah dans la capitale jordanienne et fréquentait le jardin d’enfants d’Al Saheera où elle apprit comme les autres petits élèves des comptines en arabe. Elle y prenait en classe son petit déjeuner local : hummous, olives, pain et fromage blanc.
La famille apprécia beaucoup cet intermède sous le soleil du proche Orient, partant chaque week-end à al découverte du pays, notamment dans le Wadi Rum et à Petra.
De retour en Angleterre, le couple Middleton se lance dans l’organisation de fêtes pour enfants en vendant ses produits par internet qui vient de voir le jour. le succès sera rapidement au rendez-vous, Carole et Michael quitteront alors British Airways pour se consacrer pleinement à l’entreprise familiale.
Les Middleton ont surtout réussi à créer une cellule familiale sereine et aimante avec leurs trois enfants. Catherine, Pipa et James reçoivent une éducation soignée. On est très à cheval sur la politesse chez les Middleton.
En secondaire, Catherine intègre le très huppé ,collège de Downe House où la scolarité est de 22.000 £ par an mais elle n’y trouve pas ses marques. On a souvent dépeint Carole Middleton comme une femme froide, calculatrice pour l’avenir de ses enfants. C’est surtout une mère qui est à leur écoute. Ainsi, Catherine quitte cet établissement pour le Marlborough College dans le Wilthshire où elle s’épanouira finalement aussi bien dans ses études que dans le sport.
Comme de nombreux Anglais, Catherine opte pour une année sabbatique après ses études secondaires. Elle séjourne à Florence où elle suit des cours d’Histoire de l’Art et d’italien. Elle se rend ensuite au Chili dans le cadre d’un projet environnemental.
Au retour et compte tenu de ses bonnes notes au Marlborough College, elle est prioritaire pour choisir une université. ce sera Saint Andrews en Ecosse. On aussi beaucoup ergoté sur le fait que Carole Middleton avait inscrit sa fille dans cette université plutôt qu’à Oxford ou Cambridge car le prince William avait annoncé qu’il y suivrait des cours d’Histoire de l’Art. Les archives de l’université permettent de tordre le coup aux rumeurs les plus fantaisistes. La demande d’inscription de Catherine est bien antérieure à celle du prince William…
William et Catherine sont dans le même bâtiment estudiantin mais à des étages différents. Ils se croisent dans les auditoires et ne tardent pas à sympathiser. Doutant de son choix en Histoire de l’Art, le prince veut tout plaquer au premier trimestre mais Catherine le conseille et l’écoute, l’aiguille vers la faculté de géographie où il trouver ses marques.
L’année suivante, avec deux autres mais, ils louent un appartement proche de l’université. C’est le début d’une idylle qui se terminera par l’annonce de leurs fiançailles en 2010 soit près de 9 ans après leur rencontre.
La fin de leur cursus universitaire est une période délicate. A l’inverse des reines Mathilde ou Maxima ou de la princesse héritière Mary de Danemark qui avaient déjà de l’expérience professionnelle avant que l’on apprenne leur futur mariage, Catherine est déjà surexposée médiatiquement depuis 4 années. Ses faits et gestes sont examinés à la loupe et une horde de photographes, parfois même de caméras la suivent partout dans Londres. Difficile dans ces conditions particulières, de trouver un job. Bien qu’elle ait travaillé pour la firme d’accessoires Jigsaw, Catherine doit se rendre à l’évidence que tout cela est délicat. Elle opte donc pour intégrer l’entreprise familiale où elle s’investit pleinement.
De son côté, le prince William suit une formation militaire qui ne lui laisse pas beaucoup de temps de loisirs et lorsqu’il en dispose, il préfère les passer avec ses amis à la chasse ou dans les boites de nuit. Des amis dépeints comme très snobs et bien conscients de leur position aristocratique et économique, des amis qui n’apprécient pas Catherine qui n’est pas de leur sérail.
De longues périodes de séparation physique en raison de la formation militaire de William, aux sorties en bande d’amis, il ne reste pas beaucoup de place pour des moments à eux comme lorsqu’ils étaient à Saint Andrews. C’est la séparation inévitable. William veut du temps et de l’air, Catherine voudrait un engagement quant à leur avenir en commun.
En 2007, ces quelques mois de séparation consterne l’opinion publique qui voyait déjà des noces somptueuses se profiler à l’horizon. Le 1er juillet 2007 au stade de Wembley, Catherine est présente pour l’hommage à la princesse de Galles organisé par ses fils. présente mais pas assise tout près de William. Toutefois, la réconciliation a eu lieu. Les jeunes gens s’envolent en août pour des vacances en tête à tête aux Seychelles.
Le prince a compris que Catherine était la femme qu’il lui fallait : ils ont confiance entre eux, Kate n’a pas bronché alors qu le cercle d’amis du prince ne se privaient pas pendant dans période de séparation de la critiquer dans les médias, Kate partage la même vision de la vie que lui et est aussi sportive que lui.
Même si le mariage n’est pas encore à l’ordre du jour, le prince fait clairement savoir à la jeune femme que c’est son objectif à moyen terme. 3 années encore de relation vécue notamment à l’abri des regards au Pays de galles à l’île d’Anglesey dans un cottage puisque William est pilote d’hélicoptère.
Lors d’un voyage avec des amis au Kenya à l’automne 2010, le prince fait sa déclaration et lui offre la célèbre bague de fiançailles de sa mère. Kate ne s’est plus jamais départie de son sourire. Heureuse et comblée, libérée aussi d’un poids mais pleinement consciente de sa nouvelle vie.
Aujourd’hui entre Anmer Hall et Kensington, le duc et la duchesse de Cambridge ont fondé cette famille à laquelle ils aspiraient tant. L’ouvrage revient longuement aussi sur le phénomène de mode qu’est la duchesse de Cambridge, les habitudes du couple lorsqu’il réside dans le Norfolk, ses centres d’intérêts et ses engagements officiels, ses périples au Canada, Australie et Nouvelle-Zélande où ils y ont connu un accueil triomphal.
« Kate Middleton. La vie de Catherine, duchesse de Cambridge », Bertrand Meyer-Stabley, Editions la Boite à Pandore, 2016, 350 p
marielouise
13 juin 2016 @ 06:48
Déjà…Une vie bien remplie mais elle est encore si jeune!
Cette biographie ne m’intéressera pas mais je suis heureuse de lire ci-dessus le démenti aux toujours idiotes rumeurs comme quoi Mme Middleton aurait inscrite sa fille dans cette Université …on connaît la suite de ses idioties!
ml
Philibert
14 juin 2016 @ 10:18
Si Kate devient reine d’Angleterre, cette biographie très complète sera fatalement rééditée et se vendra alors comme des petits pains.
D’ici là, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts…
Claudia
13 juin 2016 @ 07:10
Bon, peut-être que le livre est bien écrit, mais la vie de Catherine Middleton est-elle si intéressante ?
chanchan
13 juin 2016 @ 07:21
tout est dit c’est parfait et bien résumé!
adriana
13 juin 2016 @ 12:01
entièrement de votre avis.
Libellule
13 juin 2016 @ 21:58
C’est exactement ce que je pensais en lisant le résumé .
Libellule .
Corsica
13 juin 2016 @ 07:52
Je souhaite à l’auteur que tous les lecteurs potentiels soient plus motivés que moi à lire un livre sur une jeune princesse dont on sait pourtant presque tout ! Moi, je préfère garder mon temps de lecture pour des sujets plus consistants et surtout plus intéressants.
marielouise
13 juin 2016 @ 12:24
En effet Corsica, il y a tant d’autres bio beaucoup plus intéressantes!!!
Je vous ai laissé un com sous le post de Caroline au concours de bouquets!
Amitié virtuelle mais sincère!
ml
Marnie
13 juin 2016 @ 09:29
Au sujet de l’inscription à Saint-Andrews, au moins, cela clouera le bec aux commères qui avaient vite réécrit l’histoire en chargeant Carole Middleton !
marielouise
13 juin 2016 @ 12:26
En effet Marnie…comme je le dis plus haut…heureuse que l’on en reste aux faits et non aux rumeurs infondées et idiotes!
ml
Ogier le Danois
13 juin 2016 @ 15:06
Mais l’Université de Saint-Andrews avait déjà (et a toujours) un image très « posh » – snob, chic ou huppé, avec peu des étudiants d’origine ordinaire et une élégante et chère vie étudiante, en plus d’un haut niveau scolaire. C’était LE lieu d’envoyer Kate pour qu’elle fasse des belles amitiés snobes et peut-être une grande alliance avec un membre de la classe dominante. Surtout quand on se souvient qu’elle étudiait l’histoire d’art… Elle n’était pas là pour apprendre une profession hautement salariée !
Madame Middleton n’a pas envoyé sa fille pourchasser le prince William, plutôt tous ses contemporains de grandes écoles privées (Marlborough, Eton etc.). Mais elle peut avoir pensé: Va le prince William étudier à Oxford où Cambridge, où le niveau scolaire est si haut, l’image snob si établi et la localisation si près de Londres….? La famille royale aime la séclusion du nord-est de l’Écosse. Et voilà, il y a une université là -haut, avec un niveau social très « agréable », mais plus discret que OxCam…..
Ogier le Danois
13 juin 2016 @ 15:12
Bien, je ne crois pas qu’elle madame Middleton a voulu que sa fille devienne reine. Vue la triste sorte de la princesse Diana, plutôt qu’elle épouse un lord, l’héritier d’un riche comte ou d’un duc et qu’elle gagne l’accès au cercle social du prince William et les royaux.
Ogier le Danois
13 juin 2016 @ 15:18
Correction: Oxcam > OXBRIDGE!
Ogier le Danois
13 juin 2016 @ 15:20
Durham est aussi une université infameuse pour être très snob.
Ogier le Danois
13 juin 2016 @ 15:21
Il y a aussi un terme pour ces étudiants snobs: Rah
Voire https://en.wikipedia.org/wiki/Rah_(slang)
Anne-Cécile
15 juin 2016 @ 16:45
Et d’un haut niveau universitaire….?
Ne croyez-vous pas qu’il faille retourner cet argument en premier aux Windsor? Manifestement le fils n’avait guère les notes de sa future femme, fille en plus de millionnaire.
Deux alibis pour aller à Saint Andrews pour la Middleton, issue d’une élite récente.
Pour le Windsor, appartenant à une plus vieille élite, il n’avait qu’un alibi, et sa famille aucune envie de l’envoyer dans une université d’enfants gâtés mais peu doués.
Je répète les Windsors savent en général fort bien rénover leurs liens avec le peuple. Ils se sont alliés avec un membre de la classe des entrepreneurs à succès (d’ailleurs plébiscitée aussi par les autres y compris les Orléans) monarchiste, anglicane et conservatrice. Acceptation très politique et intéréssée.
Par rapport à la belle-mère, aristocrate mais plus fragile et ayant fait défaut, la calme et équilibrée Catherine pourrait être à long terme un pari gagnant.
Muscate
13 juin 2016 @ 09:37
Déjà plusieurs biographes…bientôt des mémoires??!
Marie de Cessy
13 juin 2016 @ 14:35
Ah vous me faites rire Muscate !
JOSEPHINE
13 juin 2016 @ 11:24
Est-ce passionnant ?
Jean Pierre
13 juin 2016 @ 12:07
Je disais l’autre jour que 250 pages sur Eugénie c’était peu, là 350 sur Catherine Cambridge c’est beaucoup. Comme le dit chanchan, Régine a tout dit dans l’article.
amaia
14 juin 2016 @ 16:47
La typo est peu-être large !!!!!
Carole 007
13 juin 2016 @ 12:09
Ne serait-ce que l’accroche du titre « Kate Middleton… » laisse à imaginer le public ciblé.
Mais ce public ne préfère-t-il pas lire la presse people…
Entendu chez un commerçant une maman qui expliquait que sa fille de 11 ans « voulait aller en vacances en Angleterre pour voir la princesse Kate… »
Le matraquage permanent des médias sur le couple Cambridge est sans doute plus ou moins encouragé par la Firme.
Nous venons de voir au balcon ce week-end Catherine et William entre la reine et le prince Charles…
Ce couple « ordinaire » qui n’a aucun charisme est, par ce fait, susceptible de plaire au plus grand nombre qui s’y reconnait.
Anne-Cécile
13 juin 2016 @ 12:22
Je peine un peu sur ce genre d’ouvrage, les princesses et reines consortes actuelles, en activité ou en retraite, n’ont pour la plupart aucun fait d’arme particulier, quant bien même leur vie est ou fut digne.
S’agissant de la duchesse Cambridge, il est cependant utile de remettre les pendules à l’heure et de casser avec mépris cette image d’arrivisme attachée aux Middleton et à leur fille aînée..
Marissa
13 juin 2016 @ 15:16
J’avais déjà lu il y a quelques années que Catherine, qui était une meilleur élève que lui, s’était inscrite à Saint Andrews bien avant William. Mais malheureusement cette rumeur idiote à perdurer.
ciboulette
13 juin 2016 @ 15:37
Il a fallu à Catherine beaucoup de courage et de patience , de force morale aussi dans un milieu qui n’était pas le sien . Elle est jeune , jolie , n’a pas vraiment trouvé son style en matière de mode . Je souhaite qu’elle ait du cœur .
*Gustave de Montréal
13 juin 2016 @ 15:51
Pas très fiable ce journaliste Meyer-Stabley si on regarde toutes les nombreuses biographies saccharinées déjà publiées sur Juan Carlos, Grace, Jackie, Marilyn, Diana etc…etc.,. enfin tout le monde y passe. Catherine Cambridge n’a que 33 ans, elle entre déjà dans l’Histoire.
ghighi
13 juin 2016 @ 16:18
Pourquoi lui consacrer une biographie ? On connait déjà les moindres recoins de sa vie .
Je ne li rai pas ce livre . Il y des sujets plus intéressants .
Sarita
14 juin 2016 @ 13:10
Enfin Ghighi… reconnaissez le, vous ignorez qu’elle mangeait, enfant, du hummus au petit-déjeuner ;-)
Albane
15 juin 2016 @ 17:47
Merci pour ce grand éclat de rire !!!
JAusten
13 juin 2016 @ 16:36
toute cette partie de sa vie est dans tous les journaux du monde et cela a commencé en 2002 dès que Kate a été identifié en tant que petite amie de William.
Cela fait trop peu de temps qu’elle fait partie de la « firm » et malheureusement pour tous les biographes non reconnus par la « Firm », personne sait ce qu’elle fait vraiment de ses journées ; et quelque part ce pourrait être éventuellement la partie la plus intéressante de l’histoire : comment arrive t’elle a se préserver (certes cellule familiale Middleton très stable) tous les jours des critiques qui fusent sur ses fringues, sa coupe, son maquillage, son « apparente » « oisiveté » etc …. comment elle vit son quotidien, comment s’est elle imposée en tant que maitresse de maison à Kensington ou Anmer Hall, comment s’est elle imposée en tant que épouse et maman avant tout que d’être princesse et corvéable à merci pour ceux qui payeraient sa liste civile …. mais c’est trop tôt et surtout nous ne le saurons peut-être jamais ; Will & Kate se sont entourés de vrais amis, ceux dont on chérit la discrétion avant tout.
JAusten
13 juin 2016 @ 16:39
Monsieur Meyer, ce n’est pas contre vous surtout :) c’est juste ce que je pense d’une façon générale sur des vies de personnes encore trop jeunes princes ou princesses pour marquer l’histoire.
Mayg
13 juin 2016 @ 17:38
Bref tout est beau dans le meilleurs des monde, au pays de Candy…
ode nouvel
13 juin 2016 @ 17:40
Elle est tellement parfaite que sa vie est ininteressante.
agnes ro
13 juin 2016 @ 17:40
hors sujet
à la cérémonie de la Jarretière Catherine a remis les bo
de son mariage
Albane
13 juin 2016 @ 18:30
Cela me semble un peu tôt pour écrire un livre sur cette jeune femme. Il faudrait plutôt attendre que la Duchesse de Cambridge se fasse plus connaître. Elle n’est pas encore un personnage-clé de la famille royale car elle n’a pas encore beaucoup d’expérience. Quand ses enfants auront été élevés et auront grandi, quand ses engagements récolteront beaucoup de fruits, quand elle aura acquis plus de compétences dans un domaine spécialisé, quand elle sera vraiment un pilier pour la famille royale, quand elle osera prendre des engagements peut-être durs mais très efficaces et bénéfiques pour tout le monde, quand elle aura osé prendre position et se battre pour une grande cause, bref quand elle sera vraiment une princesse au service de la famille royale et surtout des Anglais, eh bien un ouvrage sur elle sera intéressant.
Je pense qu’il faut laisser la princesse Catherine mener sa vie de famille et des missions, il faut laisser germer un peu tout ça, et nous verrons bien dans 10 ou 15 ans !
Albane
13 juin 2016 @ 18:31
En tout cas, merci pour le résumé de la vie de cette femme; j’ignorais qu’elle avait vécu en Jordanie.
framboiz 07
13 juin 2016 @ 19:01
Ca pourrait me plaire , déjà, une nouveauté , l’inscription à St Andrews ! Je me vois bien « plager » avec, au soleil & qu’on ne me dérange pas , ni ne se moque de ma lecture ! BMS sait écrire des biographies de qualité !
clement
13 juin 2016 @ 19:02
joli roman d’amour,mais qui apparemment n’a pas été toujours jonché de roses …..
Nico
13 juin 2016 @ 20:09
Je l’aime bien moi Kate, je suis ravie qu’elle soit heureuse avec son mari et ses superbes bambins. Et je lui souhaite une longue vie de bonheur. Quant au livre, je m’en passe, la vérité des uns n’étant pas celle des autres.
Caroline
13 juin 2016 @ 22:17
Merci à Bertrand Meyer-Stabley pour son beau livre, plutot intéressant pour les plus jeunes, n’ayant pas lu les dernières nouvelles ‘royales’ sur l’idylle naissante de William d’Angleterre avec Kate Middleton dans plusieurs journaux y compris Paris-Match , il y a plus de dix ans!
Elle était surtout connue comme the ‘ Waity-Katie’ ! Je suis contente d’avoir su la vérité sur la fausse rumeur sur l’université de Kate!
Merci à Bertrand-Stabley pour ses nombreux articles précédents dans le site Noblessetroyautés!
Caroline
13 juin 2016 @ 22:42
Frédéric Gense,
J’ai aimé vos articles sur l’anniversaire du duc d’Edimbourg et celui de Madeleine de Suède!
Je serais flattée de servir un verre de Coca-cola zéro et un repas pas trop calorique à la jolie princesse Madeleine dans l’avion. Je bavarderais bien avec Francine du Canada, nous nous amuserions à dire ‘ha, ha’ entre nous!
Pour le duc d’Edimbourg, j’aurais préféré lui offrir un beau cadre multi-photos avec neuf photos sur chaque décennie de sa longue vie [ à partir de l’age de 10ans jusqu’à ses 90 ans]!
Milena K
14 juin 2016 @ 09:30
C’est un peu prématuré,toutes ces biographies,donc,pour moi,aucun intérêt.
Philibert
14 juin 2016 @ 10:07
« plongeront » avec un T.
Mélusine
14 juin 2016 @ 11:04
Mais c’est passionnant !
Pierre-Yves
14 juin 2016 @ 11:19
Curieux, le nom de cette maison d’édition. La boîte DE Pandore faisait trop conventionnel ?
Trianon
15 juin 2016 @ 09:24
c’est vrai ça! je n’avais pas remarqué!
pourtant on dit bien la boite de Pandore
Baboula
14 juin 2016 @ 13:42
J’ai hâte de lire la suite …
Albane
14 juin 2016 @ 18:40
Je suis d’accord avec la majorité des commentaires, sur le fait que la Duchesse de Cambridge – elle ne doit plus être appelée Kate Middleton – n’a rien d’exceptionnel pour l’instant qui mérite d’être relaté dans un livre. Nous verrons bien plus tard.
Albane
Carole 007
14 juin 2016 @ 21:55
Je rejoins l’avis d’Ogier le Danois au sujet de Madame Middleton.
Je ne pense pas que la cible recherchée ait été le prince William, mais plutôt n’importe jeune homme bien né.
Cette démarche de la maman peut se comprendre et ne me choque pas.
bianca
16 juin 2016 @ 13:34
Je partage votre avis, elle avait beaucoup d’ambition, son époux de même, ils ont consacré leur vie pour faire en sorte que leur fille puisse prétendre à faire un brillant mariage, ils pourraient être félicités pour cela. bianca