Parution aux éditions Perrin de cette biographie de la duchesse de Chevreuse. Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse (1600-1679), qui fut l’une des femmes les plus belles, les plus scandaleuses et influentes du Grand Siècle.
Belle, intrépide, effrontée, la duchesse de Chevreuse, aura été l’aventurière la plus romanesque du demi-siècle de Louis XIII. Elle fut de tous les complots, de tous les exils et Alexandre Dumas l’a immortalisée dans Les Trois Mousquetaires. Pour retrouver son sillage, Denis Tillinac a interrogé les mémorialistes, rencontré les descendants et pérégriné de la Touraine à Madrid, en passant par Nancy et Bruxelles. Sa biographie amoureuse illustre les sortilèges du baroque français.
« La duchesse de Chevreuse », Denis Tillinac, Librairie académique Perrin, 2013, 296 p.
16 octobre 2013 @ 08:47
Denis Tllinac est un auteur du sud-ouest (l’Ecole de Brive) tout comme Anglade, Michelet, Signol, Bordes …
Notre maison regorge de livres de ces auteurs.
16 octobre 2013 @ 10:30
« Le duc de Chevreuse ayant décrété que tous les cocus devaient être noyés
Madame de Chevreuse lui a demandé s’il était si sûr de savoir bien nager ».
16 octobre 2013 @ 18:32
Excellent.
16 octobre 2013 @ 18:40
Spirituelle et insolente la Duchesse !
17 octobre 2013 @ 02:35
Corsica, spirituelle, c’est certain mais insolente? Répondre avec aplomb à un prétentieux est une prouesse et demande de la hardiesse mais… de l’insolence??? Amicalement, FdC
17 octobre 2013 @ 16:10
Francine, comme il se dit que la Duchesse de Chevreuse a eu un ou plusieurs amants, j’ai trouvé qu’il y avait de l’insolence dans sa réponse . Comme j’ai utilisé le mot insolence en tant que synonyme d’audace, de hardiesse , cela veut dire que nous sommes du même avis . Bonne fin de journée . Corsica
16 octobre 2013 @ 13:09
Je ne voyais pas Tillinac s’intéresser à une Frondeuse.
16 octobre 2013 @ 14:03
Hi;hi,ce titre me rappelle vite le terminus de la ligne B du RER reliant la station Denfert-Rochereau à Paris en 35 minutes!
Merci pour ce livre historique!
16 octobre 2013 @ 17:24
Je déconseille ce livre. Les tournures en langage personnel d’aujourd’hui du prélude sont maintenues au long du livre et sont dérangeantes. Le récit en est parsemé, ce qui n’est pas spirituel et surtout on ne peut entrer dans l’atmosphère puisque l’auteur conserve ce ton vulgaire et parfois insultant pour les personnages de l’époque.
16 octobre 2013 @ 18:03
Chouette, une bibliographie de plus à ajouter à ma liste de lecture !
17 octobre 2013 @ 10:01
Anne Souris,bien que je ne laisse pas des commentaires dans votre site attirant,je le consulte régulièrement à la quete d’un nouveau livre à lire!Mais,il ne nous est pas toujours facile de trouver le temps pour la lecture en toute tranquillité surtout à l’ère de l’ordinateur!
Pour les autres qui ne connaissent pas ce site plutot conseillé aux rats de la bibliotheque,loool! http://www.mabibliothequeideale.wordpress.com/
Bonne journée!
18 octobre 2013 @ 20:57
Merci pour l’indication, Caroline !