Lorsque l’on feuillète pour la première fois l’ouvrage « La dynastie capétienne VIIIe-XXIe siècle. Tome 1 la descendance légitime » de Thierry Le Hête en collaboration avec Christian Fleury, on comprend d’emblée que le livre s’adresse à des férus d’Histoire. Il compte en effet de nombreux tableaux généalogiques, cartes de géographie,… Cela pourrait freiner celles et ceux qui n’ont pas en mémoire toute la lignée des rois de France et pourtant, lorsqu’on se plonge dans le livre, il faut reconnaître que la lecture devient vitre agréable et est à la portée du plus grand nombre, permettant de bien (ré)assimiler les souverains successifs.
Comme le précise l’auteur lui-même, le sujet a été maintes fois traité et aujourdʼhui, il est très facile, grâce à Internet, de trouver une généalogie complète sur les Capétiens mais ce travail se veut des plus exhaustifs tant sur le plan généalogique et didactique que sur la compréhension quant à la dévolution de ses possessions territoriales des différentes branches dont lʼobjectif a été jusquʼau XXe siècle lʼacquisition et la conquête de fiefs, de provinces et de pays.
Si les Capétiens, plus de 1130 ans après leur accession au trône de France, se maintiennent encore à la tête de deux États, lʼEspagne et le Luxembourg, leurs jours sont comptés avec lʼinstauration de lois de succession qui privilégient lʼaîné des enfants du souverain, que ce soit un garçon ou une fille.
Instructif aussi de se replonger dans la lignée de la famille impériale du Brésil, du royaume de Naples et de Sicile, d’examiner la succession du duché de Parme et de Plaisance des Farnèse aux Bourbons, de mieux cerner les différents duchés et comtés (Alençon, Angoulême, Evreux, du Maine, d’Anjou,…) ou de découvrir dans le détail les 16 quartiers du roi Felipe VI d’Espagne.
Cet ouvrage sera suivi dʼun second tome sur la descendance illégitime qui couvrira la période du Xe au XXIe siècle.
Pour avoir une vision linéaire au fil du temps aussi bien d’un point de vue généalogie que de territoires, l’ouvrage est à conseiller.
L’auteur Thierry Le Hête est un passionné par la généalogie et lʼhistoire des grandes familles féodales et princières qui ont construit au fil des siècles lʼEurope. Il est notamment lʼauteur des ouvrages de références suivants : Les Comtes palatins de Bourgogne, leur descendance agnatique IXe-XVIIe siècle, Les comtes de Blois et de Champagne et leur descendance agnatique Xe-XVIIe siècle et Les ducs de Normandie et leur descendance agnatique IXe-XVIIIe siècle.
Mary
5 janvier 2019 @ 04:06
Pro comte de Paris ou pro Louis – Alphonse de Bourbon y Martinez-Bordiu ?
Karabakh
5 janvier 2019 @ 21:49
Aucun des deux, Thierry Le Hête prend le parti de l’histoire ; le terme légitimité est entendu au sens du droit civil.
L’auteur est un authentique historien, sérieux et rigoureux, loin des rigolos qui se perdent en conjectures autour de l’hypothétique succession au trône de France.
Gérard
6 janvier 2019 @ 12:46
Thierry Le Hête est un généalogiste très sérieux mais le droit dynastique existe et constitue une branche du droit.
Mary
6 janvier 2019 @ 14:04
Vous me rassurez : je croyais que c’était un énième ouvrage partisan.
Karabakh
8 janvier 2019 @ 13:18
T. Le Hête est effectivement un généalogiste. Il est vrai que la différence est majeure pour une poignée d’historiens. Les mêmes qui estiment que l’héraldique est un art plastique.
Heureusement que le reste du sac pense différemment, sinon nous succomberions tous d’une indigestion.
A ce jour, le droit dynastique est une branche bien peu vivace du droit applicable en France, très justement étouffée par les petits rigolos susvisés.
Bref. Le fond est là : ce n’est pas un énième ouvrage partisan, et de vous à moi, Mary, cela fait un bien fou.
Aucun problème pour la première impression, faussée. 😉
Michel
5 janvier 2019 @ 07:52
Chez quel éditeur ? A quel prix ?
Je ne le vois pas chez Amazon.
Merci !
Michel
Thierry LE HÊTE
6 janvier 2019 @ 10:31
Les lecteurs de Noblesse & Royauté qui souhaiteraient avoir plus de renseignements sur le livre (prix et lieux où il est possible de se le procurer), peuvent m’adresser un courriel à thierry.lehete@wanadoo.fr , je leur répondrai en retour.
Concernant le reproche qui m‘est fait au sujet des droits dynastiques de la gente féminine, ne voyez pas en moi un misogyne invétéré. Je me place du côté de l’histoire (et non de l’historien, titre auquel je ne peux prétendre, n’ayant pas les diplômes suffisants) telle que j’ai pu la découvrir à une époque où l’intangibilité masculine régnait encore. La France, la Savoie et les états germaniques excluaient les femmes souvent pour des questions liées à des traditions remontant au haut Moyen Âge, mais aussi pour que les couronnes ne tombent pas dans des mains étrangères. En dehors de ces cas précis, les femmes au Moyen Âge avaient des droits incontestables, ainsi Nevers a été aux mains de six comtesses qui se sont succédé entre 1176 et 1280. Pour les Capétiens, la question ne se pose plus que pour le grand-duché de Luxembourg, puisque pour l’Espagne, l’infante Eléonore succédera, il faut l’espérer, un jour à son père.
Ghislaine-Perrynn
7 janvier 2019 @ 13:27
Merci Thierry Le Hête pour votre post
En ce moment je m’amuse franchement en lisant les dessous croustillants de l’histoire de France et croyez moi ça croustille … certains tombent de leur piedestal comme ce saint Charlemagne !!
Je vous souhaite un franc succès .
Claude Patricia
5 janvier 2019 @ 10:14
Voilà qui est intéressant. À mettre dans toutes les écoles alors pour que les petits s y retrouvent. Ne pas mélanger les légitimes avec les autres dis je ironiquement.
Ils ont effectivement en partie construit l Europe ancienne, et il est vrai de constater que deux royaumes subsistent dans celle d aujourd’hui plutôt issue de la seconde guerre mondiale.
La plupart des descendants sont inconnus du grand public, en tout cas chez nous en France. L histoire contemporaine de la cinquième république à fini de balayer leurs traces, tout en mettant de nouveaux monarques à leur place.
De toute façon une nation à besoin d un phare pour l éclairer, quelqu un qui est sensé représenter sa continuité dans le monde. Bon an, mal an, des chefs se succèdent les uns aux autres pour amener un pays à survivre par lui même.
Un bel ouvrage à priori.
Karabakh
5 janvier 2019 @ 23:01
En fait, il convient tout simplement de ne pas confondre ce livre avec la farce successorale française.
Je suis d’accord sur le reste.
aubert
5 janvier 2019 @ 11:27
Le troisième paragraphe du commentaire d’introduction est un chef d’oeuvre d’absurdité.
En effet, le sexe féminin y est sous-estimé. Une fille ne peut transmettre. La fille d’un capétien ne serait pas une capétienne en tous cas ne peut transmettre cette qualité à sa descendance. Cela est aujourd’hui totalement dépassé.
Qu’on m’explique pourquoi le sang d’une fille n’aurait pas la même valeur que celui d’un garçon.
Qu’on m’explique pourquoi un cadet ne vaudrait pas un aîné. que son sang ne serait pas assez pur pour transmettre.
Je sais, cela remet en cause beaucoup des principes du monde dans lequel nous avons vécu jusqu’ici. Cela remet en cause le principe même de la royauté héréditaire.
Comme je l’ai déjà écrit, homme âgé en écrivant ce qui précède je me choque moi-même mais au-delà des traditions il y a la réalité et la raison et je crois fermement que mes filles valent mes fils et qu’elles représentent autant que mes fils les traditions, les valeurs, le nom de ma famille.
Il y a des réalités que seules les conventions veulent nier: le trône du Luxembourg est Nassau et non Bourbon.
Les Infantes sont Bourbon autant que pourrait l’être leur possible frère et Philippe d’Anjou n’a pas hérité du trône d’Espagne parce que Bourbon mais parce que son aïeule était Habsbourg.
Quant au nom de la dynastie qui règne en Angleterre il n’est qu’une suite de pseudonymes et les exigences de Philippe d’Edimbourg étaient bien inutiles. Son épouse règne parce qu’elle descend de Guillaume le Conquérant, c’est tout et…ça marche !.
Leonor
5 janvier 2019 @ 22:53
Merci, Aubert. MERCI.
Les filles transmettent les gènes. Exactement comme les garçons, ni plus NI MOINS.
Loi biologique de base, maintenant archi-connue.
Vouloir l’ignorer est pur machisme; dû à l’ignorance jadis, à la bêtise aujourd’hui.
Menthe
6 janvier 2019 @ 20:07
Tout à fait d’accord avec vous Aubert et Léonor, une lignée ne s’éteint pas parce qu’il n’y a pas de mâle dans la succession, elle s’éteint quand il n’y a aucun successeur !
Neoclassique
5 janvier 2019 @ 23:22
Non aubert le grand duc de Luxembourg est également toujours prince de Parme, donc il est bien Bourbon et tout comme pour le roi d Espagne, les armes du grand duc sont toujours bien timbrées des fleur de lys des ducs de Parme
aubert
6 janvier 2019 @ 10:54
Vous me faites, cher Néoclassique, la réponse d’un homme pour qui le temps s’est arrêté.
Les armes, les titres tout cela va mourir avec notre génération. Examinez la noblesse française et dites-moi quel est le pourcentage de ses membres qui connaissent encore quelque chose à tout cela. Ramenez ce pourcentage à la population française. Penserez-vous alors que la place des femmes dans notre société est encore celle des temps où l’hérédité quasi seule déterminait le rang et les privilèges.
Dois-je vous rappeler que le grand-duc Jean dont on célèbre le 98° anniversaire a peut-être conservé les lis dans ses armes mais a bien, logiquement, décidé que sa dynastie et son nom était Nassau, Parme n’ayant servi qu’à procréer.
Lorsque nous ne serons plus cela comptera-t-il encore ? Ailleurs ou là-haut on se moquera bien des nos armes !
Bonne année malgré cette controverse.
Tianti
5 janvier 2019 @ 23:48
Je souscris totalement à votre commentaire. On ne saurait dire mieux !
Philippe
6 janvier 2019 @ 14:15
Certaines auront beau trépigner et taper du pied, la réalité de l’égalité biologique ne change rien à l’affaire … L’enfant futur de Leonor d’Espagne
héritera certainement la couronne du chef de sa mère, mais ça n’en fera pas
pour autant un ou une Bourbon.
Pour reprendre le dernier exemple d’Aubert, Elizabeth II descend évidemment
de Guillaume le Conquérant, mais n’en est pas moins une Saxe-Cobourg !
Et son fils, tout Mounbatten-Windsor qu’il soit, installera les Oldenbourg sur le trône britannique … fort heureusement, pour au moins trois générations !
Mesdames, à force de priver les pères de toutes leurs prérogatives, et celle de transmettre son nom n’est pas la moindre, vous aurez un jour, croyez-moi, de mauvaises surprises … mais après tout, peut-être la parthénogenèse vous tente-t-elle ?
aubert
8 janvier 2019 @ 10:24
Ainsi donc, Philippe, votre approbation des conventions est sélective.
En effet vous considérez que ce qui a été convenu il y a des siècles, le patronyme se transmet par les hommes, est immuable. Permettez-moi de vous rappeler que, par convention, le mariage jusqu’ici n’était réservé qu’aux couples hétérosexuels et que vous ne vous êtes pas caché, sur le site, ce qui autorise mon propos, d’approuver l’évolution le concernant. Admettez que je puisse ainsi être étonné de votre commentaire. Les évolutions que vous approuvez seraient-elles uniquement celles qui vous conviennent ?
Pour le moment, malgré l’évolution des moeurs et des techniques, tout un chacun préfère faire les enfants de manière classique, ce qui permet le plus souvent de passer un bon moment. Si les retraités gilets jaunes en avaient encore la capacité ce bon moment pourrait leur être recommandé par les pouvoirs publics plutôt que de se geler sur les ronds-points.
Lorsqu’il s’est battu pour que sa progéniture porte son nom, le duc d’Edimbourg souhaitait Mountbatten et non Oldenbourg ce qui prouve bien que sa revendication était très éloignée de considérations généalogiques.
Philippe
8 janvier 2019 @ 13:25
Personne n’est à l’abri de ses propres contradictions, cher Aubert, et je suis certain qu’on en trouverait aussi
dans vos opinions sur des sujets divers.
Pour ce qui est des dynasties royales, et spécialement quand on est français, il est clair que la succession en ligne masculine est incontournable … et on se demande d’ailleurs bien comment ferait un monarque capétien restauré (peu importe lequel) face à cette exigence
contemporaine d’égalité des sexes ?
A l’épreuve de l’évolution, quasi générale, des règles de succession dans les monarchies, j’ai pris acte du fait
que les monarques de demain, majoritairement, seront des femmes, ce qui est logique, puisque naissent plus de femmes que d’hommes, et que la probabilité que le
premier-né d’un couple soit une femme est donc légèrement plus grande …
Je vous le dis, j’avoue, si la succession féminine en l’absence de frère ne m’avait jamais dérangé (Victoria, Juliana, Beatrix ou Elizabeth ne m’ont jamais paru être moins légitimes que leurs cousins éventuels), la primogéniture absolue me pose plus de problèmes …
surtout à une époque ou les princesses héritières peuvent épouser leur prof de gym ou une vedette de la Star’Ac …
Et je continue de penser que, au bout de deux ou trois générations du même acabit, cela finira par détruire toute symbolique royale, et qu’ainsi le concept de monarchie, à terme, est irrévocablement condamné.
Ce dont, de vous à moi, je me fiche un peu, puisque je ne serai plus là pour le voir …
Et peu importe, puisque ce n’est pas là, non plus, le sujet sur lequel vous me questionnez …
Quant à mes prises de position personnelles sur le mariage pour tous, et sur les droits des gays en général,
je vais vous faire une ou deux confidences qui les éclaireront peut-être à vos yeux.
Vous vous en doutez, j’ai bien été conçu (dans les années 50, vous pensez !) par un homme et une femme, mais il se trouve que l’homme en question n’était pas l’époux de ma mère … Ce qui n’a pas manqué, évidemment, de provoquer un divorce.
J’ai donc grandi avec, d’un côté, un père officiel, dont je porte le nom, sans que ni lui ni moi n’y puissions quelque chose (le mari, obligatoirement supposé être le père d’un enfant né pendant un mariage, constituait ce qu’on appelait, en droit, une présomption irréfragable de paternité, c’est à dire, à une époque où n’existaient pas les tests génétiques, une fiction juridique imposée), mais avec lequel je n’ai pas vraiment eu de relation
fils-père, et, de l’autre côté, un géniteur, que j’ai connu, mais qui s’en fichait comme d’une guigne …
On s’en remet, je vous rassure. Demandez à Delphine Boel …
Néanmoins, et alors que l’idée de marier Robert à Maurice me paraissait un brin exotique, et que c’est, aujourd’hui encore, une chose que je ne pourrais pas
vivre moi-même (pas plus, du reste, que d’avoir un enfant par d’autres voies que naturelles), la manière dont les saintes familles hétérosexuelles, estampillées Sens Commun, ont prétendu faire de l’enfant, et de ses droits, l’alpha et l’oméga de leur position sur le mariage gay, et de l’organisation de la société, m’a paru parfaitement insupportable, et faux-cul,
si vous me permettez cette expression triviale …
Comme si l’hétérosexualité était gage de sérieux, et respect du droit de l’enfant ! Ça se saurait …
Le mariage étant, en plus, d’après le Code Civil, un « contrat », je ne vois pas pourquoi ceux des LGBT
qui veulent y recourir devraient se le voir interdit… ?
Je suis donc, cher Aubert, un monarchiste plutôt conservateur, que son statut d’homosexuel, et d’ « enfant de personne », ont amené à prendre des positions plus anti-conformistes.
J’ajoute que (ma psycho-thérapie m’a aidé à le mesurer), ma passion pour les généalogies royales n’est pas sans rapport avec le fait de m’être construit sans racines paternelles …
Voilà. J’espère avoir répondu à votre interrogation …
… et vous souhaite une excellente année, ainsi qu’à Régine et à tous les lecteurs !
aubert
9 janvier 2019 @ 13:45
Merci pour ce commentaire cher Philippe. Je vous souhaite une excellente nouvelle année et vous confirme que je partage quelques unes de vos réflexions.
Bien sûr que je suis moi aussi plein de contradictions. Ainsi ceux qui me lisent ou m’écoutent s’ennuient moins.
Je pense comme vous que les membres des familles encore régnantes obnubilés semble-t-il par le souci, au nom des élans de leur coeur, de rejoindre le commun n’assure pas la pérennité des trônes. Pourquoi les peuples accepteraient d’être représentés par des semblables qui n’ont d’autre mérite que leur naissance.
Et je comprends mal, bien que je le sois, ces catholiques qui n ‘admettent pas que le temps n’est plus où ils imposaient à tous leurs idées ou plus exactement celles que depuis des siècles leur clergé leur impose.
Pierre21
5 janvier 2019 @ 11:55
Le roi d’Espagne a certainement plus de quartiers que tout autre monarque en Europe. Margrethe II et les deux monarques scandinaves peut-être… mais personne de sa génération. Il n’y a, dans son ascendance connue, personne qui ne soit au minimum prince ou princesse d’une maison régnante en Europe.
Lord BHJ
5 janvier 2019 @ 12:17
Quid de l’égalité des sexes en matière de noms ?
Muscate-Valeska de Lisabé
5 janvier 2019 @ 17:04
Arbres généalogiques,cartes géographiques,des noms à n’en plus finir,des dates. ..je ne suis pas attirée par ce genre d’ouvrage ni passionnée par le sujet.Mais merci Thierry.
Au final, vous voyez,il ne fallait pas vous énerver:Vous l’avez eue, votre publicité.
Brigitte - Anne
5 janvier 2019 @ 21:54
En 2019 lire de telles énormités concernant les lois de succession concernant la légitimité des filles, on croit rêver. Sortez de votre carcan ouvrez les yeux… Allez j ose » vive la république »
Baboula
6 janvier 2019 @ 07:46
Osez ! c’est votre droit mais vous n’effacerez pas l’Histoire et c’est ce qui nous intéresse.
Neoclassique
6 janvier 2019 @ 13:33
La République , appelez là à la rescousse si ça vous chante mais les lois successorale n ont rien à voir avec » la gueuse » grâce à Dieu!
Guy Coquille
8 janvier 2019 @ 15:31
Belle réponse
Suzanne
6 janvier 2019 @ 09:00
Est-ce bien l’ouvrage paru en 1998 ou bien un nouveau ??
Gérard
6 janvier 2019 @ 13:28
On peut trouver cet ouvrage à la Librairie ancienne Gaston Saffroy la vénérable institution du 4 rue Clément, Paris 6e, en commandant au besoin par e-mail : infos@librairie-saffroy.com
L’ouvrage est au prix de 39 €. C’est le numéro 10 des nouveautés.
Dominique Charenton
6 janvier 2019 @ 16:36
Le précédent chef de la maison de Parme n’ avait pas reconnu le mariage de l ‘ actuel grand duc comme un mariage dynaste et qu il s ‘ était donc placé hors de la maison de Parme.
Ce qui n empêche pas, bien sur ,que ces titres parmesans version Luxembourgeoise soient un » aboli bibelot d ‘ inanité sonore » de même que la version Néerlandaise
Latina
6 janvier 2019 @ 20:13
Aubert vous avez tout dit.
Quant à la loi salique il vaut mieux faire une fois pour toutes amende honorable du grotesque préjugé sur la légitimité de la succession féminine ou encore du droit d’ainesse.
Heureusement les temps ont changés et l’histoire nous à prouvé que au delà du sexe et de la progéniture, au delà du titre et du rang seul le talent compte et reste. Tant pour les royautés que pour les plus récents ‘ »seigneurs « de la République.
Alienor
6 janvier 2019 @ 21:04
Boutique Geneanet. 39 euros
Alienor
6 janvier 2019 @ 21:05
Boutique Geneanet
39 euros
Charlotte AL
6 janvier 2019 @ 23:50
D’autant plus dérisoire, à mon avis, que primo géniture ou pas, « Maman certain, Papa, peut-être » alors..
Depuis le temps le sang des Capétiens s’est bien dilué, fille ou garçon !
Gérard
7 janvier 2019 @ 18:30
Bravo pour votre bel ouvrage qui complète vos précédentes éditions. Il ne faut pas oublier non plus que pendant longtemps les rois guerroyaient et que la place d’une femme n’était pas à la guerre d’autant qu’elle devait s’occuper de ses enfants.
Et naturellement on doit se garder de tout anachronisme, nous n’avons pas à juger les situations précédentes.
Gérard
7 janvier 2019 @ 18:38
Et ceci cher ami avait provoqué la colère du grand-duc Jean qui à peu près à la même époque avait décidé d’enlever le quartier Bourbon-Parme de ses armoiries, quartier qui a été repris par son fils.
Les Alphonsistes détestaient le grand-duc Jean pour cela.
Brigitte et Christian
18 janvier 2019 @ 11:29
bonjour à tous
L’ouvrage de Monsieur Thierry Le Hête est bien arrivé chez nous et nous pouvons confirmer que c’est une source et une somme de renseignements généalogiques sur la dynastie capétienne. L’auteur traite des branches masculines de cette dynastie et en cela il est conforme à l’histoire et aux traditions.
L’auteur annonce deux autres tomes pour compléter l’ouvrage, le tome 2 parlera de la descendance illégitime des Capétiens et peut-être ?? un tome 3 sur les Capétiens portugais. cela nous promet de belles lectures encore que les ouvrages de Monsieur Le Hête ne se lisent pas comme des romans.
Cerise sur le gâteau, l’auteur fait de la pub pour un ouvrage qui traite entre autre des Bourbon-Malause dans le Tarn (notre ancien département).
Amitiés de Dracénie sous le soleil