Parution aux éditions Calman-Lévy d’un livre consacré à l’impératrice Catherine de Russie et plus particulièrement son amour pour le prince Potemkine.
« La Grande Catherine & Potemkine. Une histoire d’amour impériale », Simon Sebag Montefiore, Calman-Lévy, 2013, 726 p.
*gustave de montréal
29 septembre 2013 @ 14:00
Chère grande Catherine dont le mari Pierre III a été étranglé – avec sa complicité(?) . Puis, son propre fils Paul I aussi assassiné comme c’était a mode.
Francine du Canada
29 septembre 2013 @ 19:38
Dites cousin Gustave, l’avait-il mérité? Je parle de l’étranglement bien sûr hahaha! Bonne journée, FdC
Mélusine
29 septembre 2013 @ 20:47
La douceur féminine incarnée.
Colette
29 septembre 2013 @ 14:06
Livre présenté aussi dans le dernier PDV.
Cosmo
29 septembre 2013 @ 22:29
Et s’il n’y avait eu que Potemkine ? Catherine la Grande était aussi Catherine la Gourmande. ;)
Corsica 2
30 septembre 2013 @ 16:29
Excellent !
Mélusine
30 septembre 2013 @ 23:08
Elle eut une kyrielle d’amants, Catherine la Grande, mais Orlov et surtout Potemkine furent ses préférés.
Tombé en disgrâce, le comte Grégory Gregorievitch Orlov eut un jour l’idée d’offrir un diamant de 194 carats qu’elle convoitait à la tsarine, afin de regagner son coeur. Celle-ci l’accepta, lui offrit un palais de marbre en guise de remerciement, mais ce fut tout.
Ce diamant, le « Orlov », orne depuis le sceptre impérial de Russie.
Le second favori, le prince Gregory Alexandrovitch Potemkine, ambitieux, guerrier intrépide, macho, souvent grossier avec Catherine, qui lui passait tous ses caprices et l’adorait, avec lequel elle vécut sans doute une véritable histoire d’amour.
Cette fois, c’est elle qui lui offrit, entre autres cadeaux, un diamant de 52 carats « le Potemkine », qui fait partie des diamants mythiques.
Cette pierre fut achetée, bien des années plus tard, par Napoléon III qui l’offrit à Eugénie de Montijo comme cadeau de mariage.