Vladimir Fedorovski nous replonge dans sa chère Russie avec ce roman « La volupté des neiges, les grandes amoureuses russes ». Entre passions et amours à la Cour impériale de Russie avec Catherine II qui adressait des lettres enflammées à Potemkine puis plus tard l’amour du tsar Alexandre II pour la jeune princesse Katia Dolgorouki qu’il épousa après être devenu veuf en premières noces et dont la correspondance intime a été sauvegardée au musée parisien des lettres et manuscrits, l’auteur se penche aussi sur les passions vécues par Tolstoï ou Diaghilev.
« La volupté des neiges, les grandes amoureuses russes », Vladmir Fedorovski, Albin Michel, 2015, 292 p.
Lidia
3 juin 2015 @ 07:37
Fedorowski, parfaitement bilingue, manie à merveille la plume pour nous relater l’ambiance de l’époque, les passions que déchaîne la terre russe.
Pour rien au monde je ne manquerai son nouveau roman.
Caroline
3 juin 2015 @ 11:07
Lidia,merci pour votre bonne critique littéraire!Je suivrai votre conseil pour l’achat de ce roman!
Lisabé
3 juin 2015 @ 07:57
Adjugé-vendu !
Camille
3 juin 2015 @ 11:50
C’est vrai que M. Fedorowski semble adorer cette romance entre le tsar Alexandre II et Katia ! Il en a déjà parlé dans ses précédents livres. J’aime bien son style d’écriture, pas trop lourd et plutôt fluide.
Gustave de Montréal
3 juin 2015 @ 11:55
Que vient faire Diaghilev ici ? Il n’était pas orienté vers les dames que je sache.
dradomir
3 juin 2015 @ 19:53
C’est fou ce que la mémoire peut évacuer de souvenirs sur le parcours d’un homme pour ne garder que ce qui « l’arrange »……..
Ceci écrit M. Federovski est plaisant à écouter…. à lire… je ne sais pas…