Andrew Morton, célèbre pour avoir écrit « Diana, her true story » où le grand public découvrit l’histoire du mariage malheureux entre le prince et la princesse de Galles, leurs infidélités, l’existence de Camilla Parker-Bowles ou encore les tentatives de suicide de la princesse et ses troubles alimentaires, publie à présent « Ladies of Spain« . Andrew Morton revient longuement sur la vie de la reine d’Espagne, de l’Infante Elena, de l’Infante Cristina et de la princesse des Asturies. Un ouvrage qui fait déjà grand bruit en Espagne puisque l’auteur y narre la vie matrimoniale malheureuse de la reine Sophie, les aventures extra-conjugales du roi Juan Carlos, l’amour de jeunesse de l’Infante Elena et les relations distantes entre le roi et la princesse des Asturies.
« Ladies of Spain », Andrew Morton, Le Esfera de los Libros, 2013, 368 p. (en espagnol)
Sylvie-Laure
14 mars 2013 @ 06:20
Cet auteur va nous « révéler » encore des affaires sordides ? des histoires de rivalités entre ces dames de la Cour? Quel bienfait ce qui se lira dans ce livre. ?
Je pense que le couple princier est réellement solide, car pour les 2 autres (ses soeurs) le mariage s’est effondré, ou pour la cadette, le mariage est plombé par la Justice.
Pour la Reine, son cas est à part. Elle aussi va fêter ses 75 ans, en Novembre, et si le Roi a eu des faiblesses, Dona Sofia, a fait celle qui ne voulait rien voir, ni savoir, comme en son temps, la reine Juliana.
Dans un PDV de Novembre dernier, on revenait sur les « révélations » salissantes d’Inaki pour la princesse des Asturies. Mise en cause, pour des fuites dans la presse.
Depuis, l’intéressé fait profit bas, et jamais je ne le crois pas, Laetizia ne serait compromise à faire des confidences, allusions, et accusations concernant son beau frère. Je ne le pense pas, elle est bien trop intelligente, et ce n’est pas son genre de galvauder des comportements, dans la famille de son mari.
Je vois en Laetizia, une personne avisée, sure, ne voulant pas nuire, sachant se maitriser en permanence, et en toutes circonstances.
Francine du Canada
14 mars 2013 @ 07:27
Je suis intriguée par cette allusion aux relations distantes entre le roi et la princesse des Asturies??? Comment peut-il et comment ose t-il lui reprocher quoi que ce soit?
Marquise
14 mars 2013 @ 16:52
Il lui reproche sa roture, c’est bien connu en Espagne.
Andrew Morton surfe toujours sur la vague du scandale, pas très élégant mais tellement lucratif… :-(
ROSE2
15 mars 2013 @ 12:28
Marquise,
Et il n’a pas pu refuser le mariage car Felipe lui aurait dit « ce sera elle ou je ne me marie pas ».
Francine du Canada
16 mars 2013 @ 01:27
Merci Marquise, je suis tout à fait d’accord avec votre commentaire.
*gustave de montréal
14 mars 2013 @ 18:30
Andre Morton est un gros menteur.
Kalistéa
15 mars 2013 @ 22:05
Gustave ,c’est ce qu’on disait aussi qd est sorti son livre sur Diana…Et ,en fin de compte ,tout était vrai!
Maguelone
16 mars 2013 @ 00:32
C’est vrai, Morton est un gros menteur ! Juan Carlos n’a jamais trompé sa femme. On sait qu’il adoooooorrrre sa belle fille Létizia et que son gendre est un exemple de probité innocent condamné au bûcher par des juges rouges. Quant à sa fille Elena, euh euh….
Valeska
14 mars 2013 @ 08:58
Sur ces photos de couverture,entre les quatre femmes,physiquement,surtout entre les trois plus jeunes…Mon coeur ne balance pas,et va se blottir tout près de la roturière… ;)
Relations distantes entre le Roi et Létizia?…Je l’apprends.Peut-être a-t-il à lui reprocher son caractère réputé bien trempé,et elle,ses frasques répétées?
Maguelone
16 mars 2013 @ 00:16
Juan Carlos aurait sans doute préféré que son fils Félipe épouse une aristocrate pour la galerie et la trompe…. avec des roturières, comme lui en somme ! :)
Valeska
17 mars 2013 @ 10:35
Et on se réjouit qu’il ne l’ait pas fait,n’est-ce-pas,chère Maguelone? ;)
Excellent Dimanche à vous!
Claudia
14 mars 2013 @ 09:24
Je me demande ce que vaut ce livre ; un vrai document, appuyé sur des enquêtes solides, ou un torchon à scandale n’apportant rien ? a priori cette initiative me laisse perplexe.
Caroline
14 mars 2013 @ 12:05
L’auteur a volontairement écrit en espagnol ce livre en pleine crise en Espagne!Qui était l’amour de jeunesse de Elena d’Espagne?Aucune histoire sur le passé de Cristina?Letizia d’Espagne a-t-elle peur d’etre séduite par son beau-père?
Claudia
14 mars 2013 @ 14:44
L’amour de jeunesse d’Elena n’était-il pas Eberhard de Wurtemberg ? Il me semble me souvenir que les familles respectives ne souhaitaient pas ce mariage, mais le motif m’échappe.
Régine
14 mars 2013 @ 15:07
Dans le livre, il est question du cavalier Luis Alstofi
Anne-Cécile
14 mars 2013 @ 21:02
Peur d’être séduite?
J’en doute surtout que la princesse Letizia ne se cache pas d’être psycho rigide sur certains sujets notamment le sexe (fâchée toute rouge devant certaines caricatures) et le féminisme. L’adultère compulsif n’est ni un péché mignon ni un hobby pour elle.
Maguelone
16 mars 2013 @ 00:19
Létizia, psycho-rigide sur le féminisme ?!! J’ai beaucoup de mal à le croire !!
N’est-ce pas plutôt une posture qu’elle adopte pour complaire aux monarchistes ?
Anne-Cécile
17 mars 2013 @ 18:35
je voulais dire qu’elle ne rigole pas sur certains sujets : elle n’aime ni la grivoiserie ni que l’on la prenne pour une femme sans défense et sans cervelle.
Paola
14 mars 2013 @ 12:06
Je viens de lire ce livre, je dois avouer que la Reine Sophie y apparait comme la figure la plus attachante et la plus « noble » de la monarchie espagnole actuelle.
Kalistéa
14 mars 2013 @ 15:15
C’est très probablement vrai, Paola!
massi
14 mars 2013 @ 12:13
JE SOUHAITE UN BON ANNIVERSAIRE AU PRINCE ALBERT DE MONACO QUI À 55 ANS AUJOURD’HUI SA CE FÊTE NON? ;-)
Francine du Canada
14 mars 2013 @ 14:57
Bien sûr que ça se fête. Bon anniversaire cher Prince Albert!
ode nouvel
14 mars 2013 @ 12:40
Donc la vie des reines n’est pas du tout ce qu’on croit? De nos jours les princesses ne font plus trop rêver.
Palatine
14 mars 2013 @ 14:15
j’étais assez jeune au moment du mariage Sofia-Juan Carlos, mais j’avais pensé que ce dernier n’était pas très amoureux de la mariée et qu’il ne serait probablement pas fidèle, et malheureusement, l’avenir m’a donné raison. L’amour fou au départ n’est jamais une garantie de bonheur pour un couple, mais il est rare qu’un mariage de raison reste sans coups de canif dans le contrat. Comme j’ai déja dit auparavant, « Mariage sans amour, amour sans mariage » (B. Franklin)
Ce n’est pas moi qui vais jeter la pierre au roi pour ses histoires extra-conjugales. Il s’est marié à 25 ans, téléguidé par Franco et son père.
Pierre-Yves
14 mars 2013 @ 14:50
Pas le meilleur moment pour sortir un livre digne de foi sur ce sujet, car on est en pleine période houleuse et la tentation est forte de céder au spectaculaire, à l’éxagération et au coup d’éclat.
Il faut du recul pour se construire un jugement sensé sur les personnes et leurs actes.
Donc je ne ne lirai pas ce bouquin.
Kalistéa
14 mars 2013 @ 15:12
En raison de l’espèce d’idolatrie manifestée surtout dans des milieux étrangers à l’Espagne pour une jeune femme au physique agréable mais totalement factice, ce livre probablement vrai ne sera pas considéré comme tel en France.Ceci suivant l’adage bien connu: « il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre! »
chantal
14 mars 2013 @ 15:17
les relation distantes entre le roi et sa belle fille s’expliquent
divorsée, athée de quoi faire frémir les milieux conservateurs espagnols ,les religieux qui toujours dirigent à distante,le pays de st ignace de loyola ,qui a désormais un pape issu des ses rangs
l’absence de fils puisque pas la moindre reforme constitutionnelle n’est envisagée, son extrème maigreur qui agace l’entourage,
sa personnalité etc etc
Maguelone
16 mars 2013 @ 00:23
C’est tout ?! Pas une seule qualité ?
Lisa L.
16 mars 2013 @ 16:48
Çà va mieux maintenant ?
beji
14 mars 2013 @ 18:11
Comme Palatine,je pense que le mariage de Sophie et de Juan-Carlos n’était pas un mariage d’amour.Quant à l’idylle entre Elena et Eberhart de Wurtemberg ,elle aurait tourné
court en raison de l’antipathie que Sophie
éprouvait envers Diane .
Nemausus
14 mars 2013 @ 20:06
Ce livre plaira certainement aux commères qui se délectent de ragots et de propos malveillants épinglant les grands de ce monde.
Pour moi ce genre de torchon n’a aucun intérêt si ce n’est à démontrer que certains auteurs, en mal d’argent, sont prêts à toutes les bassesses comme cela s’est déjà vu en Belgique, Suède etc….
MoniqueDN
14 mars 2013 @ 20:53
M Andrew Morton tout friand de scandales et ne rechignant pas à l’appât du gain même si cela doit marquer à jamais des enfants princiers devrait se rappeler ce vieil adage « Malheur à celui par qui le scandale arrive ».
aggie
16 mars 2013 @ 08:24
MoniqueDN, certes Andrew Morton profite de la mauvaise passe, si j’ose dire, de la famille royale espagnole et espère un grand succès pour son livre, mais dire qu’il devrait se rappeler l’adage « malheur à celui par qui le scandale arrive » m’amuse bien ; croyez vous réellement que le scandale (les scandales) ne sont pas déjà arrivés et n’ont pas attendus Morton pour être largement révélés ?
Pour ma part, N&R m’a déjà bien renseignée :lol:
erwan
14 mars 2013 @ 23:42
Je suis fatigué de lire que le roi a fait ci, a fait ça, que le prince Juan Carlos épousa la princesse Sofia sans l’aimer, que l’une des infantes eut un amour de jeunesse, que le roi a trompé son épouse… Chacun connait tout celà depuis des années tout en ignorant les détails.Tant mieux.
L’auteur gagne à tous les coups quand il s’en prend au roi qui est le seul à connaitre et avoir connu une réelle popularité. C’est tellement facile.
La reine Sofia suscite une réelle admiration en Espagne mais elle reste teintée par une forte indifférence.
Je doute qu’elle puisse se satisfaire longtemps d’être la femme bafouée sauf à changer de personnalité, de personnage.
Ce registre ne peut ignorer le fait qu’elle a épousé un homme dont elle ignorait ou pas les sentiments, mariage arrangé ou pas.
Ce registre ne peut ignorer longtemps le fait qu’elle ne révèle rien, elle-même, tant elle est attachée à servir la monarchie.
Bref, je n’ai guère envie de lire ce livre.
chantal
15 mars 2013 @ 17:00
ce qu’écrit ANDREW MORTON est peut-être un torchon,à part que ce qu’il a écrit sur Diana s’est avéré au fil des temps l’exacte vérité.
Non tout n’est pas rose sous le soleil de Madrid, il n’y a qu’a regarder les photos de vacances à Palma
les uns arrivent, les autres repartent afin de ne pas s’y croiser !!!!! enfin quand tout le monde y va ce qui n’est hélas plus le cas
Kalistéa
16 mars 2013 @ 13:20
Chantal, je vois en vous une femme indépendante et sensée qui accepte psychiquement parlant, que la vérité soit révélée même si elle va à l’encontre d’un conte de fée structuré et mensonger pour l’abêtissement des foules!
Kiki de france
18 mars 2013 @ 20:01
Encore un livre nauseeux apres la belgique l espagne. Pour enfoncer le clou!!je ne lirai pas ce torchon les personnes citees devraient attaquer en justice faire le mal ce n est as tolerable!!
chantal
21 mars 2013 @ 09:36
moi aussi je viens de lire le livre
sofia toujours digne la matriarche qui a bien du mal a essayer se souder la jeune génération (les infantes non plus n’apprécient guère leur belle soeur)
voila ce que c’est que d’être née ,
et si la princesse des Asturies avait demandé conseil à sa belle mère elle serait allée à Rome autrement coiffée
en espanol
se dice mantilla y peineta,
chantal
21 mars 2013 @ 12:00
quand Sofia a épousé Juanito, il n’était que le second héritier d’un trone supprimé et par franchement aisé,lagrand mère avait du se séparer d’une magnifique croix d’emeraude pour payer une partie de la fastueuse noce
¨ alors sans amour quel interet
ensuite à savoir comme beaucoup de couple des tempéraments qui diffèrent ,
mais la roturière Sylvia épousée on le sait par amour n’a t ‘elle pas vécu la meme déconvenue conjugale?
le roi aussi on le sait adorait son roturier de gendre inaki avant que ……
donc la roture de la belle fille ne semble pas être la cause de cette distance, mais autre chose
en fait qui était cette jeune femme indépendante au passé dont on ignore pratiquement tout et qui fatalement un jour » sortira «