Palatine annonce la parution de son livre « L’affaire Praslin, un crime conjugal sous la monarchie de Juillet aux éditions L’Harmattan à Paris. Il s’agit d’un fait divers, survenu en août 1847, au Faubourg-Saint-Honoré, domicile du duc et de la duchesse de Praslin.
Celle-ci fut assassinée à l’aube du 18 août par son mari et ce crime perpétré par un membre de la Chambre des pairs, gendre d’un haut dignitaire du Royaume eut un grand retentissement dans le public et suscita l’indignation générale. L’auteur se demanda ce qui s’était vraiment passé et si la thèse officielle des autorités de l’époque « tenait la route ». Grâce à la consultation de documents occultés et retrouvés, dont le Journal de la victime qui fut enfermé 100 ans dans la fameuse Amoire de Fer, Palatine s’est fait une opinion et l’éditeur L’Harmattan a voulu publier sa version de l’Affaire ».
« L’affaire Praslin. Un crime conjugal sous la monarchie de Juillet », Luciana Clevering, Editions L’Harmattan, 2014, 256 p. , 25 €
Michèle
30 juin 2014 @ 05:54
Toutes mes félicitations Palatine, au bonheur de vous lire, de le lire
Michèle
Livia
30 juin 2014 @ 07:03
Et bien félicitations à la belle plume de Palatine à qui je souhaite beaucoup de succès !
Jean Pierre
30 juin 2014 @ 12:22
Moi j’aurais écrit « à la plume de la belle Palatine ».
Je sais je fayote.
Livia
1 juillet 2014 @ 19:33
Peut être la connaissez vous cher Jean-Pierre ? ;-)
Shandila
30 juin 2014 @ 07:33
Palatine, je vous adresse toutes mes félicitations pour la parution de cet ouvrage. Je vais essayer de me le procurer et de le lire cet été.
Pierre-Yves
30 juin 2014 @ 07:50
D’abord, l’histoire est très intéressante car elle tente d’expliquer le plus objectivement possible ce fait divers dont on a maquillé la réalité.
Ensuite, c’est notre Palatine qui est l’auteur de cette enquête, et on en est très fier, et pour elle et pour nous !
Cosmo
30 juin 2014 @ 08:27
Pour avoir eu l’honneur de le lire en avant-première, je ne peux que le recommander car d’une part il se lit comme une véritable enquête, digne des meilleurs policiers, et d’autre part il apporte des éléments nouveaux sur une affaire, dont au fond on ignore beaucoup de choses et dont on se souvient uniquement pour avoir été une des causes de la chute de la Monarchie de Juillet.
A lire absolument pour avoir une idée complète sur l’assassinat de la duchesse de Choiseul-Praslin, née Fanny Sebastiani.
Gérard
30 juin 2014 @ 13:58
Cette histoire avait fait l’objet dans mes jeunes années d’une émission de La caméra explore le temps d’Alain Decaux, André Castelot est Stellio Lorenzi. Pour les jeunes générations rappelons que du temps où il n’y avait qu’une chaîne de télévision française cette émission était tournée en direct et montrait à la fois le crime, en l’espèce, et l’enquête, avant de terminer avec les historiens sur le plateau. Et à l’époque le nom des protagonistes était caché, on disait le duc de P. ou le duc de… et André Castelot expliquait que c’était par respect envers cette famille subsistante… Ce genre de pudeur a depuis longtemps fait place à la vérité historique surtout sur les chaînes de télévision.
Claudia
30 juin 2014 @ 18:04
Il y en a qui sont privilégiés !!! je vais me le procurer, bien sûr.
coco
30 juin 2014 @ 08:41
Ce message n’a pas de rapport mais je voulais vous préciser que votre haut de page avec le logo coloré ne m’est apparu qu’hier soir par hasard. Sinon mon haut de page est toujours vierge depuis le changement de votre site. Est-ce normal ? Merci de votre réponse.
Régine
30 juin 2014 @ 11:14
Cela dépend du navigateur. Avec Firefox cela fonctionne
Gibbs
30 juin 2014 @ 12:17
Je confirme. Avec Firefox cela fonctionne mais pas avec Safari …
coco
30 juin 2014 @ 13:16
Merci de votre réponse mais je viens de lire que certains modules de sécurité de Kaspersky ne sont pas compatibles avec firefox. Donc je reste comme je suis.
Caroline
30 juin 2014 @ 09:43
Je crois avoir déjà lu cette affaire dans un des anciens livres de Pierre Bellemare ‘Dossiers extraordinaires’ !
Merci pour votre information sur ce nouveau livre suspense!
Mayg
30 juin 2014 @ 10:31
Félicitations à Palatine pour son livre.
Damien B.
30 juin 2014 @ 11:12
Félicitations chère Palatine !
patricio
30 juin 2014 @ 11:42
Toutes mes felicitations Palatine. Je vais me le procurer.
Amities
Patricio
Caroline
30 juin 2014 @ 11:43
Palatine ou Luciana,bravissimo pour votre livre!
Je m’excuse de ne pas avoir lu plus attentivement ce matin les explications de cet article et je vous en félicite vivement!
Etes-vous d’origine italienne?
Cordialement,Caroline.
Caroline
30 juin 2014 @ 11:46
Palatine ou Luciana,
Je m’excuse de ne pas avoir lu attentivement ce matin les explications de cet article et je vous en félicite vivement!
Etes-vous d’origine italienne?
Cordialement,Caroline
Actarus
30 juin 2014 @ 11:57
Bravo ma cousine.
Nul doute que cela donnera des idées à certain(e)s, comme par exemple de manger des pralines. ;-)
Francine du Canada
30 juin 2014 @ 12:06
Félicitations Palatine; je le lirai c’est certain car cette histoire m’intrigue. Je vous souhaite un grand succès avec votre livre. FdC
*gustave de montréal
30 juin 2014 @ 12:09
Ce crime a été la source du très beau film de 1940, All This and Heaven Too (L’Étrangère en version française) avec Charles Boyer en duc de Praslin et Bette Davis en Henriette Deluzy. Je le recommande, un classique.
Palatine
1 juillet 2014 @ 19:48
Le film est bien mieux que le livre qui est naïf et gnangnan. Mais à l’époque il a eu du succès parce que en 1937, l’histoire semblait vraiment saisissante. J’ai vu ce film debut des années 2000 en seconde partie de soirée en noir et blanc. A l’époque, j’avais de l’Affaire une opinion diametralement opposée à celle que j’ai aujourd ‘hui, mais je n’avais pas vu les documents qui m’ont fait changer d’avis. J’avais cru la version que les autorités de l’époque ont tout fait pour accrediter. « All this and heaven too » va dans un tout autre sens. Preuve que cette affaire Praslin, même aujourd ‘hui ne mettra jamais tout le monde d’accord. En 1962, comme je l’ai dit ci-dessous, Alain Decaux et André Castelot avait des avis opposés. Mais c’est ça qui est amusant dans l’affaire Praslin : les discussions sans fin qu’elle suscite.
Claude-Patricia
30 juin 2014 @ 12:18
Bonjour à tous,
Chère Palatine, nul doute que ce livre aura un franc-succès et sera le premier d’une longue série!! Je vous le souhaite vivement.
Gibbs
30 juin 2014 @ 12:23
Palatine,
18 août 1847 : l’assassinat de la duchesse de Choiseul-Praslin
Retour sur un scandale qui précipita la chute de la Monarchie de Juillet, avec l’historienne Anne Martin-Fugier
Le 18 août 1847, la duchesse Fanny de Choiseul-Praslin fut sauvagement assassinée. Le coupable était son mari. L’institutrice des enfants, Mlle Deluzy, supposée maîtresse du duc, fut arrêtée comme complice. Qui était la duchesse Fanny ? Comment expliquer cet acte du duc ? Quel rôle a joué Henriette Deluzy dans cette tragédie ? Anne Martin-Fugier, dans son livre Une nymphomane vertueuse, tente de percer ce drame énigmatique qui ne fut pas sans incidence sur l’abdication de Louis-Philippe.
– Dans la nuit du 17 au 18 août 1847, la duchesse de Choiseul-Praslin, fille du maréchal Sébastiani, épouse d’un pair de France chevalier d’honneur de la duchesse d’Orléans, fut sauvagement assassinée dans son hôtel particulier du faubourg Saint-Honoré. Des preuves accablantes ne laissèrent aucun doute sur l’auteur du crime : il s’agissait de l’époux de la victime, Théobald de Choiseul-Praslin. Un meurtrier duc et pair de France, proche du roi, allié aux meilleures familles de l’aristocratie, le scandale était immense. Pair de France, le duc de Choiseul-Praslin bénéficiait du privilège de l’inviolabilité. Assigné à résidence dans un premier temps, il fut finalement transporté au palais du Luxembourg en attendant son jugement par la Chambre des pairs. Horrifié de son forfait, ou peut-être désireux de ne pas révéler le mobile de son acte, il absorba une forte quantité d’arsenic qui devait le conduire lui-même à la mort. Il décéda le 24 août 1847, dans sa prison, sans avoir reconnu sa culpabilité. Avec le duc de Choiseul-Praslin disparaissait la possibilité de faire la lumière sur un acte inexplicable.
– Dès le 21 août, pour tenter d’éclaircir l’affaire, le chancelier Pasquier, président de la Chambre des pairs, avait réuni une commission d’instruction. La mort du duc le 24 août annulait le procès et libérait la commission. Néanmoins, pour répondre aux premières polémiques, le chancelier Pasquier décida de rendre publiques les différentes pièces de l’instruction dont les lettres de la duchesse. Etait-ce suffisant pour calmer les esprits ? Loin de là, on assista à un déballage intime qui mettait l’accent sur la mésentente du couple et présentait une aristocrate désoeuvrée, en manque d’homme. En effet, les Praslin s’étaient mariés en 1824 et avaient eu dix enfants. Après quoi, monsieur se détachât de son épouse, chose qu’elle n’accepta jamais. Dès lors, leur union devint tumultueuse et orageuse. La duchesse se montrait d’une grande possessivité à l’égard de son époux, multipliait les crises de jalousie et le menaçait d’un procès en séparation de corps.
Le récit de Maxime Du Camp est éloquent : « Je me rappelle la duchesse ; c’était une femme grasse, très blanche, qui avait été et qui était encore belle. Sans habileté, poursuivant son mari de ses désirs, lui(…)
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Le mot praline français n’est pas le même que la succulente praline belge.
Merci Palatine pour ce livre.
Palatine
3 juillet 2014 @ 06:16
Gibbs, ce résumé, je ne sais qui l’a fait, car moi je n’aurais jamais mis « se détachaT » avec un « t » , mais je l’ai vu sur internet.
Mon ouvrage parle plus abondamment que les précédents de la gouvernante. Fut-elle la maîtresse du duc ou la victime de rumeurs calomnieuses? J’apporte ma réponse à cela. Je suis la seule qui ait raconté ce qu’elle devint après le drame et quelle fut sa seconde vie dans le Nouveau Monde. Grâce à internet, j’ai pu trouver des documents américains très intéressants et cela fait la 3e partie de mon livre. Il faut remonter à 1968 pour avoir des ouvrages sur l’affaire Praslin, que je trouve biaisés ou incomplets. Après il n’y a eu qu’un roman, qui ne s’appuie pas sur des documents et ce roman ne comporte évidemment aucune bibliographie.
June
30 juin 2014 @ 12:50
Est-ce la raison pour laquelle à mon grand regret, Palatine ne commentait pratiquement plus sur N&R ces derniers mois, certainement très occupée par cet ouvrage ?
En tous cas bravo et je vais me le procurer rapidement sûre de passer un bon moment.
Palatine
3 juillet 2014 @ 06:18
oui, c’est la raison.
Claude-Patricia
30 juin 2014 @ 12:53
Est-ce qu’il s’agit de la même famille que celle qui a inventé la praline?
COLETTE C.
30 juin 2014 @ 13:34
J’avais entendu parler de cette affaire. S’il y a une autre version, je suis impatiente de la connaître. Je vais me procurer ce livre.
wilgeforte
30 juin 2014 @ 13:39
Est-ce ce fait divers qui a inspiré à Jean de La Varende son roman « l’homme aux gants de toile »?
Charlanges
30 juin 2014 @ 21:35
C’est exact. Cet excellent roman de La Varende s’inspire de cette affaire et de l’hypothèse de la survie du duc de Praslin.
agnes
30 juin 2014 @ 13:54
livre commandé, je l’aurai pour les vacances, j’allais pas louper le talent de Palatine.
wilgeforte
1 juillet 2014 @ 13:29
Merci Charlanges ! Effectivement, je recommande ce roman qui est extraordinaire!
flabemont8
30 juin 2014 @ 14:37
Félicitations , chère Palatine, je vous lirai avec plaisir et ferai volontiers ce voyage avec vous . Tous mes voeux pour votre livre !
Mélusine
30 juin 2014 @ 15:52
Je ne suis pas surprise que la belle plume et l’esprit curieux de Palatine s’expriment enfin dans un ouvrage, que j’ai hâte de lire.
Le sujet choisi interpelle et le fait que ce duc de Praslin porte un nom de bonbon (les « pralines », créées par le chef cuisinier de l’un de ses ancêtres) me le rend sympathique…et je parie sur son innocence. :)
Quoi qu’il en soit, bravo et grand succès à Palatine.
Maguelone
30 juin 2014 @ 16:51
Peut-être un livre à glisser dans la valise des vacances ! Félicitations à Palatine !
Corsica
30 juin 2014 @ 16:53
Palatine, c’est avec une grande joie que j’apprends la nouvelle de la parution de votre livre, de plus chez un éditeur connu : toutes mes félicitations ! J’adore votre plume et votre esprit, c’est donc avec plaisir que je vais acheter votre livre ( j’aime beaucoup sa page couverture et aimerais savoir quel lieu elle représente ? ) .
Étant à nouveau loin de tout ordinateur depuis quelques semaines, je suis heureuse d’avoir eu une connexion juste pour ce post !
Nana
30 juin 2014 @ 17:26
Palatinie,
C’est bientôt mon anniversaire, et si personne n’a la bonne idée de m’offrir votre ouvrage, je l’achèterai ! Félicitations, j’espère que vous aurez beaucoup de lecteurs.
COLETTE C.
30 juin 2014 @ 18:05
Mon pseudo n’apparaît plus sous « laisser un commentaire ». Normal ?
Je lirai ce livre , car il a l’air d’apporter des éléments nouveaux.
Mayg
1 juillet 2014 @ 12:00
J’ai ce même souci depuis quelques jours. Il me faut à chaque fois réinscrire mon pseudo.
Gibbs
30 juin 2014 @ 18:52
Régine,
Je ne comprends vraiment pas pourquoi censurer mon ajout …
Idem pour Joachim : c’est de notoriété publique.
Tant de choses imbéciles passent …
Régine
30 juin 2014 @ 20:17
Pas de commentaires à cette heure-ci en attente
Gibbs
30 juin 2014 @ 18:53
Maintenant, vous tenez les rênes !
corentine
30 juin 2014 @ 18:53
Voilà un livre qui m’intéresse, félicitations Palatine
Gibbs
30 juin 2014 @ 18:54
Je sais que Palatine, contre laquelle je n’ai rien, fait partie de l’élite mais c’est Choiseul Praslin et pas Praslin.
Madeleine
10 juillet 2014 @ 10:26
??????
septentrion
30 juin 2014 @ 19:10
Bonsoir,
Félicitations à Palatine. Je réserverai votre livre pour mes vacances.
Cdt,
Marquise
30 juin 2014 @ 22:07
Nous sommes gâtés!
Deux talentueux écrivains/historiens sur le site… Bravo Palatine et Cosmo!
Ouvrages commandés et attendus avec impatience !!! :-)))))
lorraine 1
30 juin 2014 @ 22:25
Il s’agit bien du roman de Jean de La Varende : ‘ L’Homme aux gants de toile’ ou raconte que le duc n’est pas mort, mais cache sous une fausse identite en Normandie.
La raison du crime serait sordide et affreuse.
Michèle
30 juin 2014 @ 22:27
De la part de Palatine,
pour une raison que je ne m’explique pas, je ne parviens pas à poster sur N&R or je voudrais repondre à des questions précises et intéressantes. Michèle vous fera donc passer ce message :
Gerard : oui, cette émission de 1962 « la camera remonte le temps » est incontournable et j’en parle dans mon livre. J’en parle d’autant plus que Alain Decaux et André Castelot ont des avis divergents sur les mobiles du crime, et moi j’ai encore un autre avis. Dommage qu’Alain Decaux n’ait pas mieux examiné la correspondance occultée mais disponible aux archives. Il a dû manquer de temps pour exprimer une opinion que des documents contredisent. André Castelot comme avant lui Albert Savine croit à un inceste, pas moi et j’explique pourquoi.
Gustave : Rachel Field est l’arrière-petite-nièce par alliance du troisième personnage de cette histoire. « All this and heaven too » figure dans ma bibliographie, mais c’est romancé et cela ne s’appuie pas sur des documents disponibles ou occultés. Toutefois la tradition orale familiale apporte quelques détails intéressants que j’ai pu mettre dans mon ouvrage.
On a écrit des romans sur ce drame, mais dès qu’une histoire ne s’appuie pas sur des documents et des faits réels, cela ne m’intéresse pas, car la réalité est ici bien plus complexe et riche que la fiction.
La couverture : c’est l’hôtel particulier où habitaient le couple, les 9 enfants et le maréchal Sebastiani. En fin d’ouvrage il y a la chambre du crime, le rez-de-ch. du crime, sans la topographie des lieux on ne peut comprendre le déroulé de l’assassinat. Il y a aussi une gravure ancienne du château de Vaux.
Les corrections de cet ouvrage, et surtout le traitement de texte aux norme de l’éditeur m’ont éloignée de N&R. Et cela explique mon silence.
J’aime les polars, j’aime l’Histoire et les histoires de bonnes femmes, les énigmes donc j’ai eu du plaisir à faire ces recherches. Et il y a quelques énigmes qui demeurent et que ni moi ni les distingués historiens précités n’avons pu résoudre. J’en parle dans le livre.
Gibbs : dans le monde, on appelait le couple « duc et duchesse de Praslin », même si leur vrai nom était Choiseul-Praslin. Théobald de Choiseul-Praslin était le 5e duc de Praslin, donc lui et sa femme étaient les Praslin. Vaux-le-Vicomte à cette époque s’appelait Vaux-Praslin ou Praslin tout court. Les journaux, les annales, les enquêtes de l’époque parlent tous de la duchesse et du duc de Praslin.
Une expression « prasliner sa femme » courut à l’époque pour dire « assassiner sa femme » mais elle fit long feu.
Enfin, Michèle, notre généalogiste, a découvert que Louise de Choiseul-Praslin, la fille préférée du duc est, en ligne directe, l’ancêtre de Diana duchesse de Cadaval. Le sang des Orléans et des Praslin se retrouve dans leur petite Isabelle (Clin d’oeil à Charles)
Enfin, je remercie mes amis de N&R de leur intérêt et de leur gentillesse. J’espère qu’ils auront autant de plaisir à lire ce livre que moi j’ai eu à l’écrire.
Vassili
1 juillet 2014 @ 05:01
Mes felicitations chere Palatine! Des amis francais vont me procurer le livre en Aout.
Sylvie-Laure
1 juillet 2014 @ 05:39
Je comprends aussi le « silence » de Palatine, qui était toute à la sortie imminente de son livre. Je vais le lire également, et apprendre cette affaire qui a fait du remous sous Louis Philippe.
Finalement, chaque roi de France, ou celui là roi des Français a eu son affaire retentissante qui a ébranlé le trône. Mais Louis Philippe avec celle là, et l’héritage des Condé a été « peut être » celui qui a battu les scores des rois Bourbons et Autres, en un temps plus court. Pensez en ce que vous voudrez !
Félicitations à chère Palatine,
Louise.k
1 juillet 2014 @ 06:40
Félicitations Palatine. Je vous envie pour avoir eu accès à « L’armoire de fer », le rêve de toute personne aimant l’histoire.
Je vais me procurer votre livre et j’espère que d’autres suivront.
Michèle
1 juillet 2014 @ 12:19
Une petite consolation Louise.K voici l´armoire de fer
http://www.lepoint.fr/culture/dans-les-secrets-de-la-republique-12-08-2011-1362185_3.php
Michèle
agnes
1 juillet 2014 @ 13:25
je n’arrive pas à poster, comme Palatine.
agnes
1 juillet 2014 @ 13:26
ah oui, c’est bon.
Un plaisir de relire Palatine et j’attends son livre avec impatience.
Charlanges
1 juillet 2014 @ 14:07
Chère Palatine,
Je me promets beaucoup de plaisir à la lecture de votre ouvrage. L’œil neuf que vous portez sur cette triste affaire le rend certainement passionnant et j’ai hâte de prendre connaissance de vos découvertes.
Trianon
1 juillet 2014 @ 16:21
Je sens que je vais le lire cet été ….j’adore ce genre de livre ..:)::)
Claude-Patricia
1 juillet 2014 @ 20:56
Donc c’est bien la même famille. Vive les confiseries et autres douceurs!!
Michèle
2 juillet 2014 @ 11:20
César de Choiseul est un aristocrate et militaire français du XVIIème siècle. Comte du Plessis-Praslin il était un fin gourmet. Il disposait d’un cuisinier Clément Jaluzot qui inventa un bonbon composé d’une amande trempée dans du sucre cuit qui pouvait être teinté et parfumé de diverses manières. En hommage à son maître, le cuisinier décide de donner à ce bonbon le nom de « prasline » qui par la suite est devenue « praline ». Elle sera ensuite concassée et broyée pour devenir le « pralin » utilisé en pâtisserie ou écrasée et mélangée à du chocolat pour former le praliné qui donne naissance à la praline belge en 1912.
Musée du chocolat Paris 10e
La praline belge quant à elle, a été inventée et baptisée « praline » en 1912, par Jean Neuhaus, grand confiseur belge…
Michèle
Claude-Patricia
2 juillet 2014 @ 15:30
Bonjour et merci, Michèle. Mais vu mon allergie gravissime aux amandes je me contenterai de les offrir!! Merci encore de me le signaler, à chaque fois que je dois acheter gâteau ou autre bonbon, je dois être très vigilante.
Philippe gain d'enquin
1 juillet 2014 @ 21:33
Vous publiez chez L’Harmattan quand la pauvre Fanny Sébastiani passa, elle, « L’arme à gauche »… Il y a quelques années, j’avais publié dans « Historia » un article relatif à cette passionnante affaire… Je vous lirai avec plaisir et intérêt, croyez le bien. PGE
Michèle
1 juillet 2014 @ 23:15
Pour ceux et celles qui sont impatients de découvrir le livre de Palatine je vous propose de feuilleter les 26 premières pages du livre « l´affaire Praslin ».
http://www.didactibook.com/produit/145943/9782336351773/Laffaire%20Praslin
Michèle
Sébastien
2 juillet 2014 @ 13:53
Félicitations Palatine !!!!!
Kalistéa
4 juillet 2014 @ 21:34
Je me suis toujours passionnée pour cette histoire peu banale, qui,à cause du suicide du duc pour échapper à un procès retentissant et redoutable à cause de ce qu’il pouvait mettre en lumière,n’était jamais sortie du mystère.Le livre de notre amie nous en dira plus et j’ai hâte d’en prendre connaissance!
Bravo de nous enchanter Chère amie Palatine.Félicitations! K
Marie de Bourgogne
7 juillet 2014 @ 11:32
Chère Palatine,
Je viens juste de prendre connaissance de cet article (étourderie de ma part).
Je vous félicite et vais le lire le plus rapidement possible.
Très amicalement
Juliette
13 août 2014 @ 17:05
Comme Marie, je viens de prendre connaissance de cet article.
Je vous lirai avec grand plaisir chère Palatine, tout comme j’ai plaisir à vous lire sur ce site.
Nous allons même vous demander une dédicace.