Parution aux éditions « Seuil » de cet ouvrage intitulé « Le Palais des Doges. Mythe et pouvoir » qui revient avec de nombreuses illustrations et photographies inédites sur la construction du Palais des Doges à Venise.
En voici le descriptif : « L’histoire de la construction du Palais des Doges est fortement liée à celle de la ville de Venise, se développant au gré de ses victoires et de ses défaites. Sa situation géographique – à proximité de la basilique Saint-Marc, patron de la cité – est le reflet d’une volonté de lier le gouvernement vénitien au mythe fondateur de la ville dans le but de rivaliser avec Rome. Dès 1342, le palais prend une forme proche de celle que nous lui connaissons. Au cours des agrandissements successifs, divers artistes de renom, parmi lesquels Giovanni et Gentile Bellini, Carpaccio, Titien, Tintoret, Véronèse, Sansovino et Tiepolo, travaillent à son ornementation et à l’illustration du pouvoir. Cet ouvrage, illustré de photographies inédites, nous permet d’en admirer la magnificence. »
« Le Palais des Doges. Mythe et pouvoir », Alessandra Zamperini, Seuil, 2014, 256 p.
Francine du Canada
19 novembre 2014 @ 10:27
Merci pour l’article Régine; voilà un autre endroit à visiter à Venise pour ceux et celles qui s’intéressent à l’art gothique et byzantin. FdC
Gibbs
19 novembre 2014 @ 12:41
S’il est bien un lieu à visiter à Venise, c’est le Palais des Doges : sublime !
Gibbs
19 novembre 2014 @ 12:42
S’il est bien un lieu à visiter à Venise, c’est le Palais des Doges : sublime !
Souvenir inoubliable.
flabemont8
19 novembre 2014 @ 12:56
Oh ! Zeugma en couverture du livre ! Quel bel homme ! Et pas de noir !
Zeugma
19 novembre 2014 @ 21:08
Evidemment, pas de noir : Venise était une cité somptueuse et raffinée.
Le doge est coiffé du corno ducal, emblème de sa fonction, auquel certains ajoutaient des pierres précieuses.
Les descendants d’un doge – j’en connais un – peuvent faire graver un corno sur leur carte de visite.
Un dernier mot pour rappeler que c’est le dictateur Bonaparte qui mit fin à la République de Venise – qu’il livra à l’Autriche – par le traité de Campo-Formio.
flabemont8
20 novembre 2014 @ 20:53
Zeugma, ne faites pas le modeste, bien sûr que sous ces magnifiques vêtements, ce ne peut être que vous !
Merci pour l’information concernant la carte de visite .
Campo-Formio , oui, je savais …