Elisabeth Badinter s’est lancée dans l’écriture d’une biographie consacrée à l’impératrice Marie Thérèse d’Autriche, mère notamment de la reine Marie Antoinette.
« Le pouvoir au féminin. Marie Thérèse d’Autriche 1717-1780 », Elisabeth Badinter, Flammarion, 2016, 380 p.
Jérôme J.
1 novembre 2016 @ 10:18
Un précédent ouvrage d’Elisabeth Badinter consacré à l’éducation (finalement ratée) de Ferdinand, duc de Parme, époux de Marie-Amélie, fille de Marie-Thérèse, était très intéressant et donne envie de lire sa biographie de l’impératrice.
Erato
1 novembre 2016 @ 13:48
Pour une fois le compliment serait teinté de misogynie: une des rares femmes de pouvoir, l’Impératrice Marie Thérèse, dont on peut dire qu’elle fut un grand Monarque.
Les biographies, bien documentées, sont toujours passionnantes, ici le titre éveille naturellement la curiosité de lire.
clement
1 novembre 2016 @ 14:22
Au cours des siècles passés le féminisme n’existait pas ce qui n’a pas empêché de grandes souveraines d ‘être aux commandes de grands pays : Elizabeth I ,Catherine II, Marie – Thérèse…..si nous évoquons le féminisme aujourd’hui avec tant de force,c’est que la position des femmes est en perte de vitesse !
Denis
1 novembre 2016 @ 14:52
Belle main…on aurait peut-être mieux apprécié le portrait entier de la souveraine …
les maquettistes ont érigé en processus la démolition des oeuvres du passé…c’en devient presque comique !
Gérard
1 novembre 2016 @ 15:55
Le chapeau archiducal d’Autriche, la couronne de Saint Étienne, c’est-à-dire la sainte couronne de Hongrie et son sceptre, et la couronne de Saint Venceslas, c’est-à-dire la couronne de Bohême, figurent auprès de l’impératrice Marie-Thérèse, reine de Hongrie, sur son portrait, l’un de ses portraits par le suédois Martin van Meytens (1695-1770), peint en 1742, et conservé au Musée de Vienne, Karlsplatz.
Ghislaine
1 novembre 2016 @ 19:08
J »apprécie Elizabeth Badinter , ses derniers propos sur le port du burkini était pleins de justesse . Clément , vous avez hélas complètement raison.
Pascal
1 novembre 2016 @ 20:18
Marie Thérèse fut je pense une femme extraordinaire , quand elle monta sur le trône l’avenir paraissait bien sombre et pourtant elle devint « la grande Marie Thérèse » .
Elle eut l’immense mérite de s’opposer à ce brigand de Frédéric II .
Je cherchais justement une biographie de cette extraordinaire souveraine.
Zorro
2 novembre 2016 @ 12:46
Attention, prudence !
Elisabeth Badinter n’est pas une historienne, c’est une idéologue.
Cette « biographie » sur l’impératrice Marie-Thérèse sera à coup sûr encore un prétexte à falsifier l’histoire. Les Badinter n’en sont pas à leur coup d’essai malheureusement ! En 1988, Les Badinter avaient déjà écrit une « biographie » sur Condorcet (parue chez Fayard en 1988) qui n’avait rien d’un ouvrage historique. Ci-joint, avec la permission de Régine, un lien très intéressant : il s’agit d’une relecture et une analyse critique qui a été faite de cet ouvrage par une vraie historienne (qui s’appelle Marion Sigaut) et qui pointe de manière très méthodique toutes les erreurs et les manipulations qui se trouvent dans cet ouvrage. C’est passionnant ! Un magnifique exemple de critique historique !
https://www.youtube.com/watch?v=Ppz1XJD0tJQ
Gérard
3 novembre 2016 @ 19:11
Dans l’infant de Parme elle n’épargne guère les philosophes.