Parution du livre « Le roman de Jeanne d’Arc » par Philippe de Villiers. En voici le résumé : « Pour rendre à Jeanne, au-delà de la place qu’elle occupe dans l’Histoire, un peu de son humanité et de sa fragilité, Philippe de Villiers est parti sur ses traces : il a visité et revisité Domrémy, Chinon, Orléans et Compiègne, Le Crotoy et Rouen.
Il a longé la Loire, refait la route du Sacre et celle de la capture. Il s’est imprégné de l’air qu’elle a respiré, a renoué avec sa langue, son univers, les saisons de son enfance. Il a relu les dernières minutes du procès et s’est laissé habiter par la force unique de cette guerrière.
Philippe de Villiers dessine ici le portrait d’une Jeanne loin des stéréotypes, celui d’une âme simple et portée par la grâce, tout entière vouée à la sincérité de son combat – à l’amour de son pays, la France. »
« Le roman de Jeanne d’Arc », Philippe de Villiers, Editions du Rocher, 2021
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Ciboulette
9 mars 2021 @ 05:45
Un livre qui ne peut me laisser indifférente !
Baboula
9 mars 2021 @ 05:51
Autrement dit Philippe de Villiers a fait son autoportrait celui d’un homme voué à l’amour de son pays .
Bambou
9 mars 2021 @ 06:42
J’aurai bien aimé le croiser dans les rues de ma chère ville, pour discuter quelques instants avec lui.
Artistocrate
9 mars 2021 @ 07:36
Qu’il est bon de se remémorer le temps long, à notre époque où l’instantané, le buzz, prennent souvent le pas sur la profondeur de réflexion.
CharlotteBE
9 mars 2021 @ 09:21
C’est une réédition , le roman de Jeanne d’Arc a été publié en 2014 aux éditions Albin Michel.
Philibert
9 mars 2021 @ 09:59
Ce livre est paru depuis plusieurs années, avec cette couverture.
Alors, ou bien l’auteur n’est pas au courant de ce fait, ou bien Philippe de Villiers a revu son texte et nous livre ici une nouvelle version.
Quel est le fin mot de l’histoire ?
Caroline
9 mars 2021 @ 10:28
Merci pour cette information !
Karabakh
9 mars 2021 @ 13:56
Si Monsieur de Villiers est vraiment venu au Crotoy, il s’est fait discret car les Crotellois ne s’en souviennent absolument pas! 🤣
La prochaine fois, venez donc à Saint-Valery (sans l’accent!) ; Jeanne y a aussi séjourné et surtout, c’est nettement plus joli que le Crotte-Crotte. 😀
Leonor
9 mars 2021 @ 15:57
On va remettre ça ? Ciel !
Hervé J. VOLTO
10 mars 2021 @ 09:49
Pour les Monarchiste de France et de Navarre, Royalistes parce que Catholiques et Français, Sainte Jeanne d’Arc fut l’Apôtre et la Martyre de la Royauté Universelllede N.S. Jésus-Christ et du caractère Sacré et Divin du Roi de France Son Lieutenant.
Pour ceux qui ne croient pas en Diu, Siante-Jeanne d’Arc demeure le symbôle de l’identité nationale Française.
Un livre pour tout homme aimant son Pays.
Leonor
10 mars 2021 @ 12:47
Bon. On vous laisse à vos croyances et à vos majuscules .
Mais non sans préciser que, de ne pas les partager n’empêche pas d’aimer son pays.
Hervé J. VOLTO
10 mars 2021 @ 14:02
Visiter Domrémy, Chinon, Orléans et Compiègne, Le Crotoy et Rouen, et je rajouterai Giens, qui est merveilleuses, est une idée pour retouver un peu d’authenticité.
BEQUE
10 mars 2021 @ 20:45
Il y a eu un colloque très intéressant à l’Université de Lorraine à Nancy en octobre 2018 : « L’image de Jeanne d’Arc dans les littératures européennes des XIXe et XXe siècles ». D’où il ressort que les Russes ont toujours éprouvé une grande admiration pour Jeanne d’Arc, en particulier grâce à la tragédie de Schiller qui inspira l’opéra de Tchaïkovski. Plusieurs écrivains russes l’ont célébrée : Tourguéniev, Dostoïevski. Plus tard, l’histoire de la sainte figurait en bonne place dans la bibliothèque de Lénine. En 1917, Gorki demandait à Romain Rolland d’écrire pour les enfants russes des biographies de personnages célèbres dont Jeanne d’Arc mais il craignit, finalement, que ce sujet fasse une trop grande part à « l’âme mystique du peuple ». L’actrice Maria Iermolova joua, de 1884 à 1902, le rôle de Jeanne d’Arc qu’elle considérait comme « la figure la plus pure et la plus lumineuse de l’histoire mondiale ». Ludmilla Pitoëff interpréta Jeanne d’Arc, la première fois à Londres, en 1923, puis à Paris, en 1925. Parmi les Russes émigrés, on peut citer Serge Obolensky auteur de « Jeanne, la Pucelle de Dieu » écrit après la seconde guerre mondiale.
Il y a quelques années, un « Club Jeanne d’Arc » a été fondé dans une école de la république des Komis, ancienne république autonome de l’URSS dont les habitants parlent russe et komi, une langue finno-ougrienne. Par ailleurs, une demande de jumelage avec Orléans avait été faite par la municipalité de Makhatchkala, ancienne capitale du Daghestan, mais sans suite. Entre 2012 et 2018, ont été écrites en russe 60 œuvres sur Jeanne d’Arc.
D’autres pays admirent Jeanne d’Arc, dont l’Albanie : A Tirana, la rue Maurice Thorez a été rebaptisée « rue Jeanne d’Arc », l’ancien chef du parti communiste étant, lui-même, un fervent admirateur de l’héroïne. Par ailleurs, deux colloques sur Jeanne d’Arc et Péguy ont été organisés en Finlande. Enfin, notons qu’un grand nombre de Japonais se rendent, chaque année, à Domrémy, Jeanne inspirant… des auteurs de mangas, depuis de nombreuses années.
Hervé J. VOLTO
11 mars 2021 @ 06:33
Ce que Philippe de Villiers, un homme qui aime son Pays, a voulu dire dans son livre c’est que, quelques soient nos opinions aujourd’hui, la France, ce her pays de notre enfance, a un passé : c’est un héritage, et cet héritage est Chrétien…
dradomir
13 mars 2021 @ 19:55
« Aimer son Pays » ? Bof ! Vaste sujet… Personnellement, en respectant le point de vue de chacun(e), j’aime plutôt les habitants de cette planète…
Hervé J. VOLTO
16 mars 2021 @ 11:44
Pour nous Français, il est esentiel de chercher ce qui relève de l’absolu : quand on est Français, la France, et quand on est humain, le Beau.