Parution du livre « Les dames de l’Elysée » sous la plume de Bertrand Meyer-Stabley (auteur de plusieurs biographies sur des membres de familles royales) et Lynda Maache. Dans le style narratif très agréable qui le caractérise, Bertrand Meyer-Stabley revient sur la destinée jusqu’aux marches de l’Elysée d’Yvonne de Gaulle, Claude Pompidou, Anne-Aymone Giscard d’Estaing, Danielle Mitterrand, Bernadette Chirac, Cécilia Sarkozy, Carla Bruni, Valérie Trierweiller et Brigitte Macron.
L’occasion aussi de découvrir que les épouses des présidents français ont parfois tissé des liens au-delà du protocole avec des membres de familles royales. Anne-Aymone, épouse du président Valéry Giscard d’Estaing, est la fille du comte de Brantes et de la princesse Aymone de Faucigny-Lucinge, dont le grand-père épousa la comtesse d’Issoudun, fille naturelle légitime du duc de Berry, lui-même fils du roi Charles X. Le duc et la duchesse de Berry furent des locataires de l’Elysée après la chute de l’empereur Napoléon I.
On apprend que Valéry et Anne-Aymone Giscard d’Estaing ont gardé après leur départ du Palais de l’Elysée en 1981 des contacts amicaux avec le roi Juan Carlos et la reine Sophie d’Espagne. Le monarque espagnol qui a abdiqué voici 5 ans, n’a jamais oublié que le président français faisait partie de la poignée de dignitaires à être venu assister à sa prestation de serment en 1975 lorsqu’il avait succédé au général Franco. Depuis, à chaque passage en Espagne de l’ancien couple présidentiel, une invitation leur est adressée pour un déjeuner, un dîner intime au Palais de La Zarzuela ou un week-end de chasse.
Madame Giscard d’Estaing a aussi tissé des liens avec le prince Rainier et la princesse Grace de Monaco, avec l’impératrice Farah d’Iran et avec la princesse Diana qui est venue une année lors de la soirée de gala de sa fondation au château de Versailles.
La première grande réception su septennat fut d’ailleurs en l’honneur de la visite du Shah d’Iran et de son épouse Farah. Anne-Aymone veilla au bon déroulement de la grande soirée donnée à Versailles où le menu se composait de plateaux de foie gras des landes, de ris de veau aux morilles, de caneton Montmorency avec pommes dauphine, cœurs de laitue puis en dessert des fraises des bois glacées.
Claude Pompidou vécut à l’Elysée de 1969 à 1974 moment du décès de son époux. En 1972, elle accueille la reine Elizabeth II en visite. La souveraine ne loge pas à l’hôtel de Marigny qui traditionnellement héberge les hôtes de la République mais à Versailles.
Madame Pompidou avait déjà rencontré la reine en 1948 alors qu’elle était encore princesse héritière. Elles avaient en commun la passion des chevaux. Autant dire que le courant passa très bien entre les deux dames. Claude Pompidou, décédée en 2007, avoue que cette visite royale, donna beaucoup de mal aux services de l’Elysée afin que tout soit parfait et qu’au final la reine était bien plus simple qu’on pourrait le penser.
Claude Pompidou a aussi noué des liens avec Rainier et Grace de Monaco. Elle confiait que le Général de Gaulle avait beaucoup d’admiration pour la princesse. Après le décès de son époux, elle a continué à voir le grand-duc Jean et la grande-duchesse Joséphine-Charlotte de Luxembourg ainsi que le roi Baudouin et la reine Fabiola qui de passage à Paris faisaient toujours halte dans son appartement de l’île Saint-Louis.
Dans les présidences plus récentes, Nicolas et Carla Sarkozy ont reçu dans leur résidence d’été du Cap Nègre le roi Abdallah et la reine Rania de Jordanie tandis que le président Emmanuel Macron et son épouse Brigitte entretiennent d’excellents rapports avec Henri et Maria Teresa de Luxembourg qui sont par ailleurs voisins de la résidence d’Etat du Fort de Brégançon.
« Les dames de l’Elysée », Bertrand Meyer-Stabley et Lynda Maache, Bartillat, 2019, 340 p.
Roxane
24 juin 2019 @ 07:34
Un livre qui semble intéressant ! Ces dames ont un destin vraiment particulier, surtout que ça ne dure que quelques années (depuis que les Français sont passés au quinquennat, c’est un passage éclair à l’Élysée, le temps de prendre ses marques… et ça touche déjà à sa fin). Après, elles doivent se réinventer une vie.
Une lecture pour l’été !
Belle journée sous le ☀️ à tous.
Gibbs 😉
24 juin 2019 @ 07:36
Merci Madame Maache et Monsieur Meyer-Stabley d’utiliser la bonne appellation.
Robespierre
24 juin 2019 @ 07:52
C’est pas un livre sur les dames de l’Elysée, mais sur les relations haut placées des dames.
S’il y a un repas où j’aurais aimé être invité c est celui en l’honneur du Shah d’Iran par les Giscard à Versailles. Il est rare que j’aime tous les plats d’un dîner et là c’est le cas. Anne-Aymone savait recevoir. C’est un menu raffiné avec des ingredients de qualité, sans appellations chichiteuses et fioritures de plantes et de fleurs tarabiscotées. C’est français et c’est raffiné.
Karabakh
24 juin 2019 @ 18:01
J’abonde.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 juin 2019 @ 08:30
Madame Giscard d’Estaing était une vraie grande Dame qui a aidé ma mère au moment où elle était aux limites du naufrage…une entreprise de confection qui a échoué à cause d’un très mauvais choix d’associé…ledit lascar -serbe..un ami malhonnête de mon père- a été expulsé de France pour fraude et escroquerie,et ma mère qui avait prêté son nom à l’entreprise a reçu toute l’aide possible de la Dame de l’Elysée… Pour cela,je lui garde une reconnaissance et une gratitude immenses,car elle était belle,bonne et digne de son rang.
Des années plus tard,l’Abbé qui m’a baptisée à l’âge de 20ans(chanoine et archi-prêtre de la Cathédrale de Beauvais pendant 13ans),m’a confirmé qu’au sein de ses fonctions,il avait été amené à collaborer avec Madame Giscard d’Estaing, et qu’elle était une femme aussi droite,loyale et efficace qu’exquise à fréquenter.
Baia
25 juin 2019 @ 13:30
MVL, effectivement Mme Giscard d’Estaing était une vraie grande Dame. J’ai eu la chance de la connaître du vivant de ma mère qui était une de ses grandes amies.
Ce qu’elle a fait pour votre mère ne me surprend pas du tout.
CatherineA
26 juin 2019 @ 07:22
Merci Muscate ,pour ce partage , je découvre Anne Aymone sous un jour nouveau !
🌹😘
Carolus
25 juin 2019 @ 12:53
Robespierre, j’avais oublié ce menu, le voici :
http://www.noblesseetroyautes.com/menu-du-diner-a-versailles-en-lhonneur-du-shah-diran/
C’est tout à fait ce que j’aime, merci pour ce rappel 😋
Je faisais moi même des ris de veau aux morilles, selon la recette de Bocuse, mais plus depuis de nombreuses années.
Robespierre
26 juin 2019 @ 12:59
Merci Carolus pour ce menu, parce qu’encore une fois il me plait. Les ris de veau aux morilles, est un de mes plats préférés.
Mary
24 juin 2019 @ 08:40
Objectivement, ces dames n’ont aucun intérêt , et ce sont gobergées (a part Mme de Gaulle),aux frais des français.
Gibbs 😉
24 juin 2019 @ 11:12
Carla Bruni a été d’une discrétion dont Brigitte Macron devrait s’inspirer !
Les Français élisent un président pas un couple présidentiel.
M. Nicolas
24 juin 2019 @ 12:24
Chacune sa personnalité. Brigitte Macron n’est pas Carla Bruni et vice versa.
Mary
25 juin 2019 @ 15:18
Je vous ai répondu Gibbs,
Mais j’ai été zappée…
Rien de grossier pourtant …
Gibbs 😉
26 juin 2019 @ 11:35
Cela arrive Mary…
Laurent
24 juin 2019 @ 12:41
Peut-être devrions nous obliger les présidents à mettre leurs épouses au couvent durant leurs mandats
Qu’en pensez-vous ?
Cela ne coûterait rien aux pauvres contribuables français râleurs
Ou bien n’élire que des célibataires endurcis avec interdiction absolue d’avoir une quelconque relation amoureuse ou autre avec qui que ce soit afin que nos présidents se consacrent 24h sur 24 à leurs mandats
Que pourrions exiger de plus ?
Que nos présidents occupent une cellule avec un lit en fer
Qu’ils mangent le moins possible
Qu’ils se déplacent à vélo ou à pied etc
Heureusement cela n’arrivera jamais
Gibbs
26 juin 2019 @ 09:30
Heureusement en effet !
Corsica
28 juin 2019 @ 11:57
Merci Laurent pour ce commentaire plein d’ironie dont je partage le fond.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 juin 2019 @ 08:31
Exceptée Madame Giscard d’Estaing que je respecte infiniment pour des raisons personnelles,je suis d’accord avec vous,Mary.
Jean Pierre
24 juin 2019 @ 08:58
Les français sont très peu attachés aux épouses des présidents. Aucune ne fût populaire. Elles sont souvent moquées ou caricaturées, le comble de l’ignominie ayant été atteint avec les attaques contre Claude Pompidou.
Claudia
24 juin 2019 @ 12:07
Les attaques contre Claude Pompidou relevaient surtout de la diffamation, mais Bernadette Chirac aussi en a largement pris pour son grade question moqueries, surtout au début….mais elle a su faire taire des caricaturistes en restant elle-même.
Laurent
24 juin 2019 @ 12:54
A quoi les français sont-ils attachés ?
A rien d’autre qu’à eux-mêmes
Ils sont pour l’abolition des privilèges : ceux des autres mais surtout pas les leurs
Il suffit de voir les réactions dès que s’annonce la moindre réforme dans ce pays
Personnellement les réactions des enseignants me font exploser de rire ou me déprime
Reforme : passage de 4 jours à 4 jours et demi à l’ecole
Tout le monde enseignant descend dans la rue contre cette réforme
Réforme : retour à 4 jours à l’ecole
Tout le monde enseignant descend dans la rue contre cette réforme
Comment comprendre ?
Beaucoup de français sont attachés à une chose l’immobilisme
Charlotte
25 juin 2019 @ 11:47
Comme je partage votre avis Laurent !
Il m’arrive de me demander si je fais bien partie de ce monde.
Mais vous savez, on entend sur les antennes et on voit dans la rue des systématiques du « Non » quelle que soit la réforme, mais il existe un monde enseignant silencieux, mais efficace et soucieux des jeunes qui leur sont confiés, ceux-là ont d’autres priorités que la contestation bruyante, la culture du « pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour » .
Leur priorité reste : la mission d’éducation, de transmission du savoir, d’appel à la réflexion personnelle à l’épanouissement individuel de chacun. Mais d’eux on parle peu, vous savez c’est comme les trains qui arrivent à l’heure !
CatherineA
26 juin 2019 @ 15:16
Merci Charlotte , C’est bon de vous lire .
Laurent
26 juin 2019 @ 16:41
Il est bien évident que de nombreux enseignants sont des gens passionnés par leur mission
Et vous avez parfaitement raison nous ne les entendons jamais
HortenseB2
27 juin 2019 @ 17:50
BRUNI et TRIERVILLER dames de l’Elysée 😰 ??!!!!
Quelles références pour la France 🥴🥴🥴
Charlotte
28 juin 2019 @ 09:10
Puis je me permettre HortenseB2 puisque vous vous adressez à moi en hurlant, de vous signaler que je ne suis pas l’auteur de l’ouvrage en question ?
Claudia
25 juin 2019 @ 15:33
Je suis entièrement d’accord avec vous, mais bon ce site n’est pas une tribune politique.
Gérard
24 juin 2019 @ 20:53
Tout de même Madame de Gaulle était très respectée et ce malgré sa discrétion, Madame Pompidou aussi fut aimée.
Charlotte
25 juin 2019 @ 11:56
Gérard, Madame De Gaulle restait surtout dans les souvenirs des Français de l’époque comme une figure des années sombres auprès de son mari.
On la présente souvent comme un parangon de vertu, interdisant l’accès de l’Elysée aux divorcés, tricotant derrière le Général, pas faux, mais elle avait une forte personnalité, poussant à l’adoption de la contraception, qui l’eut cru ?
Quant à Madame Pompidou, elle fut peut-être aimée, mais fortement attaquée aussi pour diverses raisons, voire même trainée dans la boue lors de l’affaire Markovic.
La place d’épouse de Président n’est pas enviable à mes yeux : elle ne fait rien, elle est une potiche, elle agit, elle est une intrigante que l’on n’a pas élue…
Je rejoins l’avis d’un de nos amis, qui préconise que l’élection d’un président soit conditionnée à son célibat doublé du voeu de chasteté et d’abstinence de tout plaisir terrestre
HortenseB2
27 juin 2019 @ 17:55
MERCI Charlotte !
Mais que voulez-vous, il faut bien que les médias gagnent leur vie ! le négatif, la vulgarité, la violence, le voyeurisme etc … ça rapporte plus !
Auberi
24 juin 2019 @ 09:17
Un livre qui n’apprendra pas grand-chose sachant que ces pseudos first ladies ne sont pas reconnues comme telles en France, donc muselées, sans statut propre. Certaines ont dû contribuer dans l’ombre à quelques actions d’influences politiques mais à petits niveaux, l’Oligarchie a une résistance redoutable.
Une Anémone-potiche snobissime, trop aristocratique Bernadette Chirac qui se tenait à distance du peuple malgré ses Pièces jaunes qu’elle n’a jamais dû utiliser, la redoutable Cécilia ex-Sarkozy qui a bien fait de partir suivre son amant aux US et s’y marier Attias, l’apeurée politique Carla Bruni qui ne peut exhaler son feulement que dans son monde musical, Bref, pour ma part ma préférence irait sans hésiter à Mme Claude Pompidou qui a bp contribué au développement de l’art contemporain et qui avait une grande élégance
Laurent
24 juin 2019 @ 12:58
Que de mépris !
J’ai toujours préféré Madame Giscard d’Estaing très discrète à Madame Mitterand copinant avec Castro ,soutenant cet assassin par pur idéologie
Et si il faut aimer l’art contemporain pour vous plaire vous devriez adorer Brigitte Macron
Baia
25 juin 2019 @ 13:38
On va se calmer sur les prétentions artistiques de Mme Macron qui ne sait pas q’un « triptique » ne peut être séparé en trois parties pour n’en accrocher qu’une dans son bureau à l’Elysée..
Auberi
25 juin 2019 @ 16:29
Yep, bien vu Laurent ! Je n’adore pas B. Macron mais j’aime bien les enseignants de sa nature, en l’occurence elle me paraît être femme intelligente, moderne, peut-être pas racée par un pedigrée de naissance mais engagée fermement auprès de son époux, et je me fiche totalement qu’elle soit plus âgée que lui, tant que les gens s’aiment peu importe Oedipe ou autres
CatherineA
24 juin 2019 @ 21:09
Anne Aymone ,à qui Juan Carlos faisait compliment concernant sa maîtrise de la langue de Cervantes,lui répondît qu’elle n’avait aucun mérite ,elle avait apprit l’espagnol,petite fille avec le …personnel de maison !
La tête du roi 👑 !!!😜
Gatienne
24 juin 2019 @ 22:49
Oui, moi aussi: Claude Pompidou, une allure et une modernité rare dans ce milieu-là à cette époque et puis, un couple authentique, dont on devinait la totale complicité qui partageait, entre autre, le même amour pour l’art abstrait.
Contrairement à d’autres, elle confessa que l’Elysée, où le couple ne vivait pas, était une prison qu’elle appelait « la maison du malheur. »
Après le décès de son époux, elle n’y remis d’ailleurs jamais les pieds.
Menthe
24 juin 2019 @ 09:35
Dans un thème similaire, je viens de terminer: L’Élysée au féminin, de la IIe à la Ve République: entre devoir, pouvoir et désespoir de Joëlle Chevé, un pavé ! que néanmoins je ne saurai que recommander, travail d’historienne sans hagiographie aucune ! et avec des épouses que nous connaissons un peu moins comme Mesdames Coty, Auriol, Lebrun…
Baboula
24 juin 2019 @ 16:35
Ça devient trop difficile ! Orchidée sauvage ,delphinium ? De toutes façons ce violet est superbe.
Menthe
25 juin 2019 @ 14:03
Delphinium! mais vous avez tout à fait raison quant à l’orchidée sauvage, plante protégée, qui pousse en abondance au printemps dans les prés à côté de chez nous,sur cette photo en gros plan on peut confondre!
Charlotte
26 juin 2019 @ 12:47
Y est il fait référence à Madame Loubet qui lors de la visite officielle du tout nouveau roi d’Angleterre, Edouard VII, lui demanda parlant du futur George V : « Et ce grand garçon, qu’allez-vous en faire ? »
Menthe
27 juin 2019 @ 15:41
Charlotte, charmante anecdote ! L’auteur fait le portrait d’une trentaine d’épouses de président, portraits plus ou moins longs, Marie-Louise Loubet y est
effectivement évoquée.
Leonor
24 juin 2019 @ 09:42
V. Trierweiler n’avait pas sa place à l’Elysée – hormis dans l’alcôve – et encore moins dans les manifestations officielles.
Ma belle-fille , double nationalité française et américaine :
» What ? First Lady ? No. First Girl Friend. Until the next one . »
Je me refuse à traduire » First Lady ». Car justement, de Première Dame il n’y a pas en France. Il y a l’épouse d’un Président – et pas ses maîtresses successives – , mais de Première Dame, non. Ce statut n’existe pas en France.
Gibbs 😉
24 juin 2019 @ 11:09
Le titre est « Les Dames de l’Elysée » !
Point de First Lady qui n’existe qu’aux USA.
Leonor
24 juin 2019 @ 16:43
C’est bien ce que j’écris.
Karabakh
25 juin 2019 @ 17:45
Une précédente version du livre se nommait « Première dame ».
Ellen
25 juin 2019 @ 08:25
Personne ne parle de First Lady, sauf vous
Gibbs
25 juin 2019 @ 11:25
Le « vous » étant Leonor !
Esquiline
25 juin 2019 @ 12:44
Il est vrai, Leonor, que la France n’est plus qu’une monarchie républicaine.
Les maîtresses du temps de la vraie monarchie ont leur place dans l’histoire, alors pourquoi Mme V. Trierweiler ne pourrait figurer dans un petit ouvrage estival?
Leonor
25 juin 2019 @ 16:52
Ellen et Gibbs, vous avez peut-être remarqué que Vincent Meyer-Stabley a eu l’habileté de titrer » Les dames de l’Elysée », à moins que ce soit son éditeur, bien sûr. Sans doute pensait-il que cela lui permettait sans que cela pose question de joindre au panel la dame Trierweiler, de passage à l’Elysée car de passage dans le lit du locataire officiel de l’Elysée.
Il y eut toutes sortes de « dames » à l’Elysée, certes.
L’une des histoires ( vraies) les plus drôles à ce sujet étant celle de la dame qui contribua par ses dévoués services à faire passer Félix Faure de vie à trépas. Les histoires de coucherie à l’Elysée sont légion, évidemment.
Mesdames De Gaulle, Pompidou, Giscard d’Estaing, Mitterrand, Chirac, Carla Bruni-Sarkozy , Brigitte Macron ne méritaient pas d’être mises sur le même pied que la dame Trierweiler, et en ce sens, rabaissées.
Sous Hollande,il est un fait que la presse entière parlait de V. Trierweiler comme de la « Première Dame ». Ce qu’elle n’était à aucun titre. Ni équivalent First Lady puisque la fonction n’existe pas en France et que els Français n’en veulent pas. Ni épouse légitime du Président.
Il était indécent d’ imposer aux Français la maîtresse en titre du moment, dans la tribune du défilé militaire du 14 juillet, fête de la nation.
Que Hollande – et d’autres avant et après lui- fassent ce qu’ils veulent dans leurs chambres à coucher, ça les regarde. Mais qu’on ne nous impose pas leurs partenaires de galipettes d+ans des manifestations officielles de la République.
Qu’on ne nous les impose pas non plus dans un ouvrage sur les épouses des présidents de la République.
Surtout quand les-dites hétaïres ont pondu des bouquins sur les-dites galipettes.
Voilà les choses explicitées, puisque vous le cherchiez.
Car, sauf à le faire exprès, n’est-ce pas, vous aviez fort bien compris ce que je voulais dire dans mon premier message.
Gibbs 😉
26 juin 2019 @ 11:38
Je suis en accord pour écrire que Valérie Trierweiller ne doit pas se trouver sur la couverture du livre.
Gibbs 😉
28 juin 2019 @ 07:59
Bien reçu en effet Leonor !
Gibbs
26 juin 2019 @ 10:16
« First girl friend » signifie « première petite amie ».
Gatienne
24 juin 2019 @ 09:44
Parution ou plutôt réédition avec mise à jour ?
En 2015, déjà :
http://www.noblesseetroyautes.com/livre-premiere-dame-les-femmes-de-president/
Un bon « filon » en tout cas, que d’autres ont déjà exploité.
Ici, on nous épargne l’expression « première dame » comme c’était le cas précédemment:
un terme fréquemment utilisé, mais qui ne s’applique vraiment qu’à l’épouse du président américain qui a une fonction et un rôle protocolaire officiel.
Les activités de Brigitte Macron reposent sur une « charte de transparence » qui est censée « clarifier et rendre public tant la mission du conjoint de chef de l’état que les moyens qui lui sont alloués pour la remplir. »
Ce n’est pas un statut officiel comme cela avait été envisagé un temps puis abandonné, suite à la levée de boucliers que suscitait l’établissement d’un vrai statut juridique.
Antoine
24 juin 2019 @ 10:22
L’ordre de mes préférences concernant ces dames suit exactement l’ordre chronologique… Si cet ouvrage n’est pas trop laudatif et édulcoré, il doit être assez savoureux.
milou
24 juin 2019 @ 10:36
Lecture d’été caniculaire….;)))
Je n’aurai pas mis Mme Trierweiller dans cette liste, elle fut si peu et si mal « première dame »…je trouve!!!
milou
24 juin 2019 @ 11:12
Brigitte Macron est pour moi la plus moderne et la plus efficace de ces dames de l’ombre…puisque de « première Dame » on ne peut dire…
En ce qui concerne le statut officiel de Melania…une vraie potiche, un robot!
Gauthier
24 juin 2019 @ 15:17
Tellement efficace qu’elle a presque disparu des radars depuis l’été dernier et l’affaire Benalla, après avoir été partout dans la presse depuis 2017! Sans doute son rôle auprès de son mari devenait-il peut-être un peu trop évident….
Gibbs
24 juin 2019 @ 15:56
Une « potiche » qui parle cinq langues !
milou
25 juin 2019 @ 11:42
Ca ne veut absolument rien dire…cher-ère Gibbs!
Sarita
25 juin 2019 @ 12:05
Parler plusieurs langues quand la vie vous place dans des situations où vous n’avez pas d’autre choix, ce qui est le cas de Melania, n’est en rien une preuve d’intelligence. Si vous me dites qu’elle a parfaitement appris le chinois et l’arabe depuis son bureau de Washington, alors là oui j’applaudis, mais ça fait des décennies qu’elle est aux Usa et elle a un accent à couper au couteau.
Claudia
24 juin 2019 @ 12:08
En tout cas je ne les envie pas ces dames !!
Gibbs 😉
26 juin 2019 @ 10:22
Nous sommes deux Claudia.
framboiz 07
27 juin 2019 @ 14:44
J’ai rencontré Mme VGE , discuté avec Elle ,j’en déduis qu’elle n’était pas heureuse comme Présidente …Elle s’est beaucoup occupé des enfants malheureux .
Bambou
24 juin 2019 @ 12:17
Y donne de Gaulle très grande dame…mais on ne peut évidemment pas comparer, par exemple, l’épouse du général à Brigitte Macron. Autre temps, autre société….mais je regrette ces années de notre belle France de l’époque, où tout allait si bien, les années 50-70
Aramis
26 juin 2019 @ 13:53
Tout allait si bien… de multiples attentats contre de Gaulle et même son épouse ( Petit Clamart,) guerre d’Algérie, d’Indochine, putsch militaire à Alger, attentats Oas, jacqueries très violentes dans les campagnes à cause des remembrements, pays totalement paralysé en mai 68, départ anticipé de De Gaulle, etc etc … tout allait si bien ….!
HortenseB2
27 juin 2019 @ 18:17
OH OUI Bambou, combien vous avez raison ! Il n’y avait pas cette VULGARITÉ ambiante actuelle !
Sophie
24 juin 2019 @ 12:31
Sans vraiment les apprécier, se démarquent par leur personnalité dancing cette liste Mmes Macron et Chirac.
Bambou
24 juin 2019 @ 12:50
Sur la photo de couverture manquent : Yvonne de Gaulle, Claude Pompidou, Anne-Aymone Giscard d’Estaing, Danielle Mitterrand. Valérie Trierweiller n’a pas à y figurer.
Ghislaine-Perrynn
24 juin 2019 @ 14:10
J’ai eu le privilège d’approcher Danielle Miterrand , ancienne Résistante à 17 ans elle était agente de liaisons dans une famille de Résistants , réseau Combat (Fresnay)
C’est une femme qui m’a marquée par sa simplicité , son amour des Landes , l’élégance de son écriture , son amour de la France , de la Liberté .
Une grande Dame que l’on ne peut oublier , en tous les cas moi pas.
Carolus
25 juin 2019 @ 12:38
Je ne risque pas de l’oublier !
Avoir été complice de la double vie que menait son époux bien avant les premières élections (M.Pingeot née en 1974), puis pendant deux septennats jusqu’en 1995, relève de la plus grande duplicité.
Ces « éléments » auraient dû être portés à la connaissance des électeurs en 1981, cela n’aurait peut-être rien changé, mais aurait été plus honnête.
Je n’ai jamais eu la moindre considération pour cette personne.
YOM
26 juin 2019 @ 20:54
Caroline,
Je ne suis pas du tout pour les opinions de madame Mitterand mais quant aux choix de sa vie privée ça ne regardait qu’elle,et vous oubliez que messieurs Giscard D’Estaing et Chirac,entre autres ont cocufié leurs femmes toute leur vie,et que Chirac était sur le point de divorcer,mais ses conseillers lui ont dit qu’il ne pourrait jamais être président de la république s’il divorçait,alors les leçons ,à droite et à gauche,même combat..
Charlotte
27 juin 2019 @ 19:02
Yom, je suis d’accord avec vous concernant « le choix de sa vie privée » encore sommes nous certains que ce fut son choix ?
En revanche, d’après les traits de caractère qu’on lui attribue : honnêteté, fidélité à ses convictions etc, pour en venir à la double vie du président Mitterrand, qu’elle ne pouvait ignorer, comment a t elle pu accepter que cette deuxième famille soit logée et entretenue aux frais de la République ?
Car que François Mitterrand ait une maîtresse et une fille cachées, enfin pas pour tout le monde, Dumas, Grossouvre, Edern Allier ( qui a fait du vélo bien imprudemment ) et bien d’autres étaient au courant, soit, mais alors discrétion pour discrétion, autant les avoir logées dans un appartement payé par lui, sans gardes du corps et autre…
Donc pour en revenir à Danièle Mitterrand, je pense que capable de s’opposer à la politique de son mari et de ses gouvernements : Castro, le Dalai Lama, les sud américains etc elle aurait pu lui rappeler qu’il y avait une différence entre fonds publics et fonds privés.
Alors, certes je lui reconnais des initiatives louables, notamment son combat en faveur de l’eau, des Tibétains, des Kurdes, mais au nom de la liberté cultuelle et culturelle, je ne lui reconnais pas le bien fondé de la position qu’elle avait concernant l’excision et la polygamie.
Charlotte
27 juin 2019 @ 19:27
Yom, je suis d’accord avec vous concernant « le choix de sa vie privée » encore sommes nous certains que ce fut son choix ?
En revanche, d’après les traits de caractère qu’on lui attribue : honnêteté, fidélité à ses convictions etc, pour en venir à la double vie du président Mitterrand, qu’elle ne pouvait ignorer, comment a t elle pu accepter que cette deuxième famille soit logée et entretenue aux frais de la République ?
Car que François Mitterrand ait une maîtresse et une fille cachées, enfin pas pour tout le monde, Dumas, Grossouvre, Jean -Edern Hallier ( qui a fait du vélo bien imprudemment ) et bien d’autres étaient au courant, soit, mais alors discrétion pour discrétion, autant les avoir logées dans un appartement payé par lui, sans gardes du corps et autre…
Donc pour en revenir à Danièle Mitterrand, je pense que capable de s’opposer à la politique de son mari et de ses gouvernements : Castro, le Dalai Lama, les sud américains etc elle aurait pu lui rappeler qu’il y avait une différence entre fonds publics et fonds privés.
Alors, certes je lui reconnais des initiatives louables, notamment son combat en faveur de l’eau, des Tibétains, des Kurdes, mais au nom de la liberté cultuelle et culturelle, je ne lui reconnais pas le bien fondé de la position qu’elle avait concernant l’excision et la polygamie.
Leonor
25 juin 2019 @ 16:14
Elle aurait dû résister à Fidel Castro, au lieu d’aller lui faire des risettes.
Son gauchisme proche de l’extrême lui a mis des oeillères : elle n’a pas voulu voir à quel point, de liberté, il n’y avait pas, à Cuba. Fidèle en cela, si j’ose dire, à toute une gauche intellectuelle marxiste de l’époque, qui est restée si longtemps aveugle, envoûtée par les sirènes du communisme soviétique .
L’époque où il valait mieux » avoir tort avec J.-P. Sartre que raison avec Raymond Aron. «
Robespierre
26 juin 2019 @ 13:08
Je vous reçois 5 sur 5, Leonor Et Carolus aussi. En outre, je crois que Danielle n’était pas très intelligente. Pleine d’idées toutes faites, sans jamais analyser les choses, les mettre dans leur contexte et les relativiser. Quand son mari a été élu, elle a dit d’un ton pincé « Moi, je reste une militante » . Je crois qu’elle restait tout simplement stupide, etait-ce une chose à dire à ce moment-là ?
Muscate-Valeska de Lisabé
27 juin 2019 @ 10:27
La Vérité est souvent toute simple,en effet,Rob.
Pas de quoi se pâmer devant Danielle…ni aucune d’entre elles.
Ghislaine-Perrynn
27 juin 2019 @ 17:12
Libre à vous Robespierre de trouver Madame Danielle Miterrand femme de peu d’intelligence mais alors comme elle était une femme d’idées où les puisait elle ? J’adore vous lire , vous êtes ma tasse d’eau vinaigrée favorite !
Alinéas
24 juin 2019 @ 14:49
Voilà, un livre qui semble fort intéressant… Idéal pour l’été !!!
Martine
24 juin 2019 @ 15:23
Elles ne sont que les conjointes d un élu…
Un rôle et une place qu elles s octroient
Gibbs 😉
26 juin 2019 @ 09:36
Je vous envie Martine.
Votre commentaire juste n’est pas attaqué. 😇
Toujours deux poids deux mesures avec certain(e)s intervenant(e)s sur ce site.
Danielle
24 juin 2019 @ 17:48
Valérie Trierweiller n’est pas une première dame de l’Elysée.
Yvonne de Gaulle fut la plus discrète et avec un mari militaire elle ne pouvait pas être autrement.
Caroline
25 juin 2019 @ 00:04
Madame de Gaulle était la plus discrète de nos dames de l’ Elysée ! On ignorait tout d’ elle sauf pour sa grande piété .
limaya
25 juin 2019 @ 12:23
Je ne retiendrai que Mme Pompidou intelligence ,classe ,élégance .
beji
25 juin 2019 @ 12:29
En France,il n’y a pas de première dame mais simplement l’épouse du président;la
femme de celui que nous avons en ce moment se met trop à l’avant et Jupiter ne devrait pas l’accepter.
Carolus
25 juin 2019 @ 12:45
Mes deux préférées sont sur la couverture, Madame Chirac et Madame Carla Sarkozy qui partagent une distinction naturelle qui fait défaut aux deux suivantes.
Madame Pompidou et Madame Giscard d’Estaing me plaisaient aussi.
beji
25 juin 2019 @ 23:10
Dans les revues gardées par ma famille,il y en a une éditée à la mort de madame Coty
qui était très aimée,des journalistes ou humouristes,se croyant spirituels se moquaient
d’elle pour son côté pot au feu;que fit-elle ? elle les invita à l’Elysée où leur fût servi un pot au feu ! cela leur cloua le bec.
Je viens de finir la lecture d’un ouvrage sur le couple de Gaulle,tante Yvonne n’était effacée qu’en apparence. Après la mort du général ,elle se retira dans une maison de retraite dirigée par des religieuses et lorsque son fils l’accompagna qu’il vit la chambre si simple,si austère qu’elle avait choisie sans salle de bains mais une à l’étage, commune pour les pensionnaires,son fils marqua son désaccord mais elle maintint sa décision.
Gibbs
26 juin 2019 @ 14:27
Quoique certains écrivent, comme chacune et chacun sur ce site, j’écrirai ce que je pense même si cela déplaît.
Je le fais poliment et je n’ai pas l’habitude de la pensée unique.
Nous sommes tous différents et apportons des avis et opinions divers.
Tant que nous restons corrects et je ne pense pas que certains rares cas le soient toujours, il n’y a pas de raison de recevoir des leçons de « mise au point » telles que lues ici et ailleurs.
Gibbs 😉
27 juin 2019 @ 07:46
Afin d’être très claire, dans le cas présent, seul Laurent fait l’objet de ma mise au point.
Laurent
29 juin 2019 @ 18:02
Pourriez vous m’expliquer ce que me vaut cette mise au point ?
Mon opinion sur Danielle Mitterand ?
Si tel est le cas je n’en retire pas un mot et je pourrais même en ajouter beaucoup d’autres
Gibbs
30 juin 2019 @ 10:32
Certainement !
Absolument pas votre opinion de Danielle Mitterrand.
Chacun a le droit de penser, du moins j’ose le croire mais il s’agit d’un autre débat.
Ce que je mets en cause c’est votre réponse « emportée » et sans véritablement fondement du 24 juin à 12h41.
Menthe
27 juin 2019 @ 16:07
Très bien Gibbs ! J’aime les commentaires qui apportent de véritables infos supplémentaires et non des avis hypertranchés qui ne supportent. pas la contradiction.
YOM
27 juin 2019 @ 02:53
Carolus,
Les idées politiques de madame Miterrand ne me plaisaient pas,mais pour ce qui est de sa vie privée,elle a fait comme elle a pu,comme mesdames Giscard D’estaing et Chirac qui ont été trompées et archi trompées,Jacques Chirac a été à deux doigts de divorcer mais ses conseillers lui ont rappelé qu’il ne serait jamais président de la république s’il divorçait.
Gauche ou droite le même topo.
Gibbs 😉
27 juin 2019 @ 08:35
Je ne dis pas qu’elle est un génie mais le fait est là.
Quant à l’accent, de nombreuses personnes ne le perdent jamais.
Sarita
27 juin 2019 @ 23:13
Gibbs, je suppose qu’il est question de Mélania Trump et non de Danielle Mitterand ici, ah les mystères de l’informatique ;-) Elle parle 5 langues certes, mais qu’en fait elle ? Ou plus exactement qu’en fait son époux ? Rien. Avez vu entendu Melania (à part dans un discours pompé sur celui de Michelle Obama)? Elle pourrait bien être incroyablement intelligente, elle est traitée comme une potiche et elle s’en accommode.
Gibbs 😉
28 juin 2019 @ 07:57
Melania, en effet et non Danielle Mitterrand, semble s’accommoder de sa position comme vous l’écrivez Sarita.
Je pense cela un peu dommage et j’ignore comment fonctionne le couple Trump mais comme chacun, j’ai bien une petite idée.
Carolus
27 juin 2019 @ 19:13
Yom, vous avez raison sur les nombreuses infidélités de certains présidents.
Le cas Mitterand est différent, c’etait une vraie vie parallèle avec un enfant issu de cette union, et son second « foyer » était hébergé aux frais des contribuables, nécessitait des agents de sécurité etc…
Il n’y a pas d’équivalent chez les autres présidents français, même si leurs maîtresses ont sans doute bénéficié de certains avantages.
Sans parler de la main mise sur la presse pour dissimuler cette double vie.
Ghislaine-Perrynn
27 juin 2019 @ 16:58
Aramis j’adore votre commentaire , je n’ajouterai rien à celui-ci tout est dit mais vous avez vraiment bien fait de rectifier cette transposition de l’histoire
Ghislaine-Perrynn
27 juin 2019 @ 17:00
ces votre droit Carolus mais pour ce qui est de la double vie , vous avez quelques autres cas cités ici sans réaction (rire)
Ghislaine-Perrynn
27 juin 2019 @ 17:06
Leonor , ce n’est pas à la fine analyste politique que je vais rappeler qu’elle a été la première à aider les kurdes vous savez ces combattants et tantes actifs actuellement au Moyen Orient contre l’avis général ….
Je suppose que vous avez du avoir un hoquet de surprise en voyant leurs altesses royales britanniques faire du tourisme à Cuba récemment .
Ghislaine-Perrynn
27 juin 2019 @ 17:16
Quant à Madame Giscard d’Estaing ce que je retiens d’elle ce sont ses voeux guindés et les boutons d’uniformes rutilants . Je passe sur l’épisode du laitier !!!
Brigitte et Christian
4 juillet 2019 @ 14:28
bonjour è tous
On peut dire que les dames de l’Élysée ont bien tenu leur rôle auprès de leur mari respectif. Et si nous devons en retenir une seule, ce sera Madame de Gaulle pour sa discrétion et son savoir vivre. On peut effectivement retenir des détails sur chacune mais ces détails sont-ils la vérité. Maintenant en remontant dans le temps on peut aussi regarder les princesses qui ont accompagné nos Rois de France et voir qu’elles étaient aussi d’une grande discrétion et d’un savoir vivre parfait. la dernière Reine étant Marie Amélie femme de Louis Philippe et la dernière impératrice, Eugénie femme de Napoléon III.
amitiés de Dracénie sous la chaleur