Parution du livre « Les femmes de pouvoir sont dangereuses » sous la plume de Dominique Gaulme. Sont ainsi évoqués notamment les destins de Cléopâtre, les reines de Madagascar, Isabelle la Catholique, Christine de Suède, Madame de Maintenon, Elisa Bonaparte, l’impératrice Marie Thérèse, la reine Victoria ou encore Gayatri Devi, maharani de Jaipur.
« Les femmes de pouvoir sont dangereuses », Dominique Gaulme, Flammarion, 2020, 160 p.
stigerss1144
31 décembre 2020 @ 02:28
pourquoi justes les femmes de pouvoir seraient dangeureuse ?
Carolus
31 décembre 2020 @ 15:04
Et pourquoi pas ?
(Je suis une femme).
Teresa2424
31 décembre 2020 @ 18:14
Las mujeres son muy responsables y eficientes peligrosas??? Estamos más preparadas y competimos,igual —pero siguen predominando los hombres-cuando veo conferencias donde toman decisiones importantes
Muscate-Valeska de Lisabé
31 décembre 2020 @ 16:38
TOUTES les femmes sont dangereuses!
Philibert
1 janvier 2021 @ 21:18
Néanmoins, je vous souhaite une heureuse année 2021, Valeska.
Muscate-Valeska de Lisabé
2 janvier 2021 @ 16:43
Moi de même,cher Philibert!😘
Ciboulette
2 janvier 2021 @ 15:26
Toi aussi , Muscaton ?
Muscate-Valeska de Lisabé
3 janvier 2021 @ 16:42
Oulaaaaa….Moi pire qu’une autre!
Bonne année mon chéri 😘😘.
Jean Pierre
1 janvier 2021 @ 10:23
Oui les femmes de pouvoir sont dangereuses…au volant !
Caroline 43
1 janvier 2021 @ 14:24
Les assurances savent que les femmes font moins d’accidents de voiture que les hommes, pourtant n’adaptent pas leurs primes à ces données statistiques, no comment!
Menthe
1 janvier 2021 @ 15:04
Comment m’avez-vous reconnue ?!
Je vous souhaite, cher JP, une belle année 2021 et vous envoie un gros bisou 💞
Muscate-Valeska de Lisabé
1 janvier 2021 @ 17:23
« Femme au volant,mort au tournant! ».
(M’en fous,je n’ai jamais essayé d’avoir le permis 😁).
Auberi
31 décembre 2020 @ 07:54
Quel titre porteur… Bonjour le féminisme, et Dominique Gaulme, femme journaliste (Le Monde, Figaro) enfonce le clou en aissaimant aussi en anglais avec -The trouble with women in power- qui sort simultanément
Plutôt que de choisir la facilité avec ces profils clichés élimés, DG aurait pu traiter des portraits contemporains comme Michelle Obama, Angela Merkel, Simone Veil et j’en oublie et j’en oublie, il y en tant de femmes remarquables. Sur son compte Twitter, elle dit avoir du style et de l’humour mais compte tenu du peu d’abonnés qui la suivent, je doute qu’elle soit entendue. D’ailleurs ce n’est pas bien grave pour la cause féminine, même pas un ricochet dans l’eau
Trianon
31 décembre 2020 @ 10:38
De votre avis, et j’ajoute, sans jouer les suffragettes , que les grandes calamités de l’Histoire ont plutôt des hommes pour auteurs…au débotté je cite Mao, Staline, Hitler( juste pour le XX..)
Donc bon, son raccourci racoleur elle peut se le garder.
Et je termine en disant toute ma méfiance pour les personnes qui sont obligées de mentionner leur talent( qualité de la plume ou humour, en l’occurrence ) pour qu’ill soit remarqué…Grâce Kelly ou Ava Gardner ´avaient pas besoin de souligner leur beauté , pas plus que Glenn Gould son talent ..
Voilà, c’était le petit coup de g…..du jour ..:)
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 13:07
Vous oubliez la guerre de Troie ! 😉
Karabakh
31 décembre 2020 @ 19:10
Nous nous rejoignons sur ce sujet.
Gatienne
31 décembre 2020 @ 10:05
Je me demande ce que cette affirmation volontairement provocatrice recouvre ?
Pourquoi stigmatiser ainsi les femmes (de pouvoir) alors qu’on n’aurait jamais l’idée de mettre en avant, dans un titre, une caractéristique aussi négative à propos d’un homme puissant ?
Quand on entame un livre sur cette idée-là, les a-priori ne sont guère favorables non plus, du côté des lecteurs…;-(
Elsi
31 décembre 2020 @ 10:20
Effectivement, imaginons les propos et qualificatifs si Trump avait ete une femme …..La diablesse orange ou Celle par qui le mal est arrive …. ou La dame a la bombe atomique …. ou … ou … ou …. en tout cas Meilleurs voeux a toutes et tous.
Ciboulette
31 décembre 2020 @ 17:08
Je ne me suis jamais privée de dire tout le mal que je pensais de Trump le fou , le débile . . .et ce n’était rien encore !
Teresa2424
31 décembre 2020 @ 18:16
La guerra de troya fue por poder el rapto de Helena… escusa para atacar lee Homero
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 10:35
Et s’il y avait tout simplement de l’ironie dans ce titre ?
Si vraiment ce monde moderne devient imperméable à l’ironie ,au second degré, à l’humour pince sans rire ,autant qu’il disparaisse ,que ce soit par le covid ou autre chose.
Le monde orwellien qui se profile et que laissait présager le politiquement correct et désormais le sanitairement correct ne m’enthousiasme absolument pas.
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 10:36
Je précise que ce dernier commentaire ne visait pas spécialement celui de notre amie Gatienne.
Pierre-Yves
31 décembre 2020 @ 12:03
Il me semble assez évident en effet que ce ttre est ironique.
Je suis trés étonné qu’on ne le sente pas.
HRC
1 janvier 2021 @ 00:38
Parce que je le trouve plus provocant plus qu’ironique en ce qui me concerne.
Olivier AM de Tokyo
1 janvier 2021 @ 15:27
Parce qu’en effet, pour que l’ironie soit ressentie pleinement, il faut qu’il y ait un arrière-plan qui le signale.
Or, ce titre ne fait que reprendre un cliché, sans que le descriptif du livre ne livre la clé de l’ironie.
L’ironie, donc, tombe quelque peu à plat.
Je me suis demandé en lisant le titre s’il s’agissait d’ironie ou pas… Car, malheureusement, beaucoup encore en 2021 continue de penser cette affirmation au 1er degré… Ce qui renforce le sexisme ordinaire.
Difficile, donc, de ne pas s’interroger sur le sens exact à accorder à ce titre.
Olivier AM de Tokyo
1 janvier 2021 @ 15:28
continuent
Philibert
8 janvier 2021 @ 22:57
Pour ma part, je crois que ce titre est surtout destiné à démarquer ce bouquin des autres et donc à le faire mieux vendre.
Bref : opération marketing, rien de plus.
Gatienne
31 décembre 2020 @ 12:07
Évidement qu’il pourrait y avoir de l’ironie. Encore faudrait-il qu’on n’oppose pas sans arrête les deux sexes comme dans la présentation de l’ouvrage:
« Dominique Gaulme rend hommage aux nombreuses figures du pouvoir au féminin »(…) « Chacune, avec ses atouts, exerce sa puissance en affrontant les lois des hommes.»
Grosse fatigue de ma part lorsque je lis cela…😏
HRC
1 janvier 2021 @ 00:43
Oui, moi aussi.
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 10:13
Qui est cette femme qui semblait avoir une prédilection pour les chiens blancs?
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 10:21
Elle a en effet un petit côté ” mante religieuse ” …
Philibert
1 janvier 2021 @ 06:44
C’est mon avis aussi.
Et c’est évidemment fait exprès, pour illustrer le titre.
Leonor
31 décembre 2020 @ 10:25
Qu’est-ce que c’est que ce titre idiot ?
Parce que Trump, c’est une femme ? Mao ? Kim Truc etc ? Bolsonaro ? Orban ? Erdogan ? Ah bon, j’savions pas .
Elisa
31 décembre 2020 @ 13:31
Tout à fait d’accord. Si on devait faire la liste des imbéciles mâles et dangereux qui ont le ou du pouvoir …. c’est une encyclopédie qu’il faut prévoir
Menthe
31 décembre 2020 @ 14:20
Je pense qu’il faut le prendre dans un sens ironique, à savoir, dangereuses pour qui ?
Très certainement pour leurs contemporains mâles, qui ont toujours vu la force et la puissance de ces femmes comme dangereuses pour leur notoriété à eux. Dur, dur, d’accepter les qualités politiques d’une personne dite du sexe faible quand on est machiste jusqu’au tréfonds de son âme.
Carolus
31 décembre 2020 @ 15:13
C’est plus subtil chez les femmes, (dont je suis)….
Je précise car mon pseudo est équivoque.
Sur N&R, nous connaissons certains couples dont « madame porte la culotte » expression que je trouve peu élégante, même si elle reflète la réalité.
Je n’ai pas lu ce livre, mon commentaire n’est pas probant.
Ciboulette
2 janvier 2021 @ 15:30
Leonor , ajoutez Staline et Hitler pour faire bonne mesure !
Robespierre
31 décembre 2020 @ 10:51
Titre prétentieux. Pour ne pas présenter ça comme un « digest » sur quelques femmes célèbres, mais qui ne nous apprend rien.
Gérard
31 décembre 2020 @ 17:48
Le titre évidemment est volontairement sarcastique. Mais si je comprends bien il n’y a qu’une page et demie par héroïne.
Charlotte (de Brie)
2 janvier 2021 @ 12:32
Pas très bonne en maths, mais une page et demie par héroïne sur 160 pages, ça nous en fait des « dangereuses » ! et résumer leur coupable influence à quelques lignes ne me paraît pas très crédible.
N’ayant pas du tout envie d’acheter le livre, je serais tout de même curieuse de les connaître ces redoutables !
Par ailleurs avoir choisi en couverture une femme vêtue de jaune, ne me paraît pas innocent, initialement couleur de la joie, du rayonnement, du savoir, petit à petit cette couleur est devenue symbole de tromperie, félonie, mensonge, trahison , adultère : « le jaune cocu ! »
Non vraiment ce livre ne me tente pas.
Hannah
31 décembre 2020 @ 10:58
C’est une série de livres. Pour m’amuser et l’amuser, j’avais offert à ma fille grande lectrice : les femmes qui lisent sont dangereuses.
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 10:59
Sur le fond de l’affaire il n’est selon moi pas concevable de soutenir que les femmes de pouvoir sont plus dangereuses que les hommes de pouvoir et ce n’est peut être pas l’objet du livre .
Et d’ailleurs on sait que le choix du titre n’appartient pas toujours à l’auteur .
Mais je tiens aussi pour certains que dans l’exercice du pouvoir les femmes sont plus rigoureuses, plus intransigeantes, plus incapables de souplesse que les hommes. Et cela est à mon avis une cause majeur du durcissement des conditions de travail de l’époque moderne.
Le féminin est fondamentalement différent du masculin , un avenir heureux de l’humanité passerait dans la complémentarité et non dans l’égalité.
L’égalité est un phantasme délétère.
Menthe
31 décembre 2020 @ 14:27
Là Pascal, je ne suis pas d’accord sur tout.
Plus rigoureuses ? souvent. Plus intransigeantes? ce n’est pas la majorité. Mais sûrement pas plus incapables de souplesse. Chaque femme de pouvoir n’est pas une Miss Maggie en puissance.
Pascal🍄
1 janvier 2021 @ 08:34
Peut-être suis-je victime d’autres stéréotypes qui me faisaient espérer que l’entrée massive de femmes dans le monde du travail apporterait une certaine douceur…
Bonne année !
Menthe
1 janvier 2021 @ 15:11
Belle année à vous aussi💞
Il est vrai que l’on réagit toujours en fonction de ce que nous connaissons ou constatons.
Mysia
1 janvier 2021 @ 08:17
Pascal,en beaucoup de points,je suis d’accord avec vous.Vos remarques sont pertinentes.Et je préfère la complémentarité à la compétition. Cette dame sur la couverture me fascine par son air mutin.Qui était-elle?
Quant aux femmes de notre époque,celles qui ont du pouvoir, on en parle assez dans les conférences de tout ordre, ou en politique.Ce n’est pas très fascinant
Olivier AM de Tokyo
1 janvier 2021 @ 15:38
Si par « intransigeante » et « incapable de souplesse » vous voulez parler de femmes politiques qui ne retournent pas leur veste au moindre « souffle » des lobbies et qui ont un VRAI programme politique pour améliorer la vie des gens, alors, personnellement, je préfère 1000 FOIS voter pour de telles femmes!
Parce que, en termes environnementaux (pour ne reprendre que cet exemple ultra urgent), on sait parfaitement quels sont les enjeux et ce qu’il faut faire, mais aucun « MEC » n’a la volonté sérieuse de prendre la situation en main et de faire les changements nécessaires afin d’enrayer le processus dans lequel nous sommes en train de nous faire broyer.
Quand on voit qu’en France le gouvernement a lâchement baissé les bras face aux lobbies contre les néonicotinoïdes qui déciment les insectes pollinisateurs et qui vont, donc, à très court terme, poser de sérieux problèmes pour la faune et la flore mondiale… Merci MESSIEURS!!
Pascal🍄
2 janvier 2021 @ 22:19
Je ne pensais pas spécialement aux femmes en politique mais plutôt dans le monde du travail.
Une dame a dit un jour devant moi : ”dans l’urgence prenons notre temps ” et je l’ai vivement approuvée. A mes yeux gouverner n’est pas chercher la solution la plus ”intelligente” ou la plus efficace (qui conduit les mieux intentionnés et aussi les autres à devenir de nouveaux Savonarole) , c’est savoir écouter, décider bien sur , mais essayer de comprendre et savoir pardonner, c’est aussi évidemment l’art des compromis.
Pour ma part ce mot ”urgent” est devenu si fréquent et pas toujours à bon escient que j’y réponds souvent par ”si c’est urgent il est déjà trop tard ”.
Je ne connais pas le détail de la question des nicotinoïdes mais je sais qu’on ne doit pas imposer des changements sans laisser aux concernés le temps de s’adapter , voire les y aider , même si vous avez certainement raison sur le fond et le long terme.
Pardonnez-moi de l’écrire mais votre ”on sait parfaitement ce qu’il faut faire ” me fait un peu froid dans le dos.
Mais d’une certaine façon je trouve que vous me donnez ,au moins partiellement, raison .
Olivier AM de Tokyo
5 janvier 2021 @ 15:09
Si vous ne savez pas, allez donc vous renseigner!
Cela fait déjà 40 ans que les spécialistes préviennent de la nocivité de ces produits (sans parler de tous les autre produits chimiques utilisés dans l’agro-alimentaire de la monoculture).
Cela fait 40 ans que le signal d’alarme est tiré (comme pour le réchauffement climatique – les deux sont liés d’ailleurs) et cela fait 40 ans que les politiques passent la patate chaude aux générations suivantes pour de basses tractations politiciennes et pécuniaires…
Mais, comme d’habitude, vous retournez mes phrases pour surtout rester « droit dans vos bottes », sans surtout ne rien vouloir changer… Et tant pis pour vos enfants et petits-enfants…
HRC
31 décembre 2020 @ 11:03
Ça m’agace, ces clichés.
Et ça me laisse indifférente maintenant.
Pascal🍄
31 décembre 2020 @ 11:04
Sur le fond de l’affaire il n’est selon moi pas concevable de soutenir que les femmes de pouvoir sont plus dangereuses que les hommes de pouvoir et ce n’est peut être pas l’objet du livre .
Et d’ailleurs on sait que le choix du titre n’appartient pas toujours à l’auteur .
Mais je tiens aussi pour certains que dans l’exercice du pouvoir les femmes sont plus rigoureuses, plus intransigeantes, plus incapables de souplesse que les hommes. Et cela est à mon avis une cause majeur du durcissement des conditions de travail de l’époque moderne.
Le féminin est fondamentalement différent du masculin , un avenir heureux de l’humanité passerait dans la complémentarité et non dans l’égalité.
L’égalité est un phantasme délétère.
PS: La maharani de Jaipur fut à mon avis infiniment moins malfaisante que sa rivale Indira Gandhi, une femme de pouvoir réellement mauvaise plus encore que dangereuse.
Trianon
31 décembre 2020 @ 12:26
Je pense, Pascal, qu’on ne peut imputer aux femmes la responsabilité d’un durcissement des conditions de travail,Je penche plutôt pour une société qui place le fric et la rentabilité au dessus de l’Homme , ce sont les valeurs normes suprêmes.Du coup, beaucoup de régressions en découlent .
Mayg
31 décembre 2020 @ 12:42
Pas plus que les hommes de pouvoir.
Katellen
31 décembre 2020 @ 13:04
Il s’agit d’une collection de titres (comprenant également Les femmes qui écrivent sont dangereuses et Les femmes qui pensent sont dangereuses) très intéressante et qui propose une jolie collection de portraits féminins. Des femmes qui grâce à leurs combats, initiatives et courage, ont permis l’évolution de beaucoup de choses dans notre société. Je ne comprends pas pourquoi certains s’arrêtent au titre (qui est réfléchi et très pertinent avec le contenu des livres) sans prendre la peine de lire la description qui en est faite dans le post. Il faut lire avant de se faire un avis !
Jakob van Rijsel
31 décembre 2020 @ 19:07
Intéressante collection en effet, merci de ce rappel Kattelen.
Intéressantes aussi les réactions épidermiques de nos amis de ce site ( je reste vieille école et ce masculin réuni les hommes et les femmes) qui semblent considérer qu’il est malséant d’associer certains mots et qui, aussitôt, distribuent critiques de principe et anathèmes. Dommage.
JvR
plume
31 décembre 2020 @ 13:07
Des commentaires bien trop agaçants à mon avis.
nck
31 décembre 2020 @ 13:21
Bien sûr, comme une une femme ne peut être qu’une fille, une épouse ou une mère, sitôt qu’elle quitte ces attributions pour devenir « de pouvoir », « dirigeante » ou « chef d’entreprise », elle est forcément dangereuse. Ce ne sont pas ses seuls talents, compétences, convictions, qualités qui peuvent expliquer son ascension, il y a forcément des histoires d’empoisonnements, de triangles amoureux sordides, de plans retors qui expliquent qu’elle soit parvenue à ce statut. Je pense que le titre s’amuse de ce cliché. En espérant que le livre s’en défasse.
Cosmo
31 décembre 2020 @ 14:08
Elisa Bonaparte, grande-duchesse de Toscane, princesse de Lucques et Piombino, princesse impériale de France, une femme dangereuse ? Ce n’est pas le souvenir qu’elle a laissé.
Carolus
31 décembre 2020 @ 15:27
Piombino, très bons souvenirs de cette région, plus précisément à San Vincenzo, sur la côte face à l’île d’Elbe, berceau de la famille du père de ma fille.
aubepine
31 décembre 2020 @ 14:12
Femmes ou hommes de pouvoir ….du moment que le pouvoir est utilisé à bon escient qu’importe ……le titre de ce livre va soulever bien des polémiques !
Jeanne-Marie
31 décembre 2020 @ 14:44
Oh ! Oh ! Je me sens pousser des ailes de pouvoir et de dangerosité. A mon âge, il est plus que temps !
mariejeanne
31 décembre 2020 @ 19:56
eh ! eh ! j’aime le pouvoir !
aubert
31 décembre 2020 @ 17:21
Puisque les femmes n’ont pas souvent le pouvoir, il n’y a pas grand danger.
Mais comme me l’a si gentiment écrit Léonor je crois, enfin une de ces dames qui encombrent le site, je ne connais rien aux femmes.
Charlotte (de Brie)
1 janvier 2021 @ 21:03
Vous finissez l’année en beauté, dites moi !
Voudriez-vous, cher aubert, vous êtes un homme je pense, que nous nous retirions, nous, femmes, faire de la dentelle, de l’aquarelle, de la tapisserie, de la pâtisserie (ça j’en conviens, nous en faisons, sur le site), nous contentant de vous lire, vous laissant à loisir encombrer le site ?
Allez, bonne année à vous et surtout ne cherchez pas à connaître les femmes.
Miléna K
4 janvier 2021 @ 08:57
De la provocation stérile…
Karabakh
31 décembre 2020 @ 19:12
Sauf à être ironique, ce titre est assez prétentieux, voire inconvenant. Au passage, pourquoi ne pas parler d’Elizabeth II? Je la pense bien plus dangereuse pour le RU que son arrière-arrière-grand-mère.
Athena
31 décembre 2020 @ 20:35
Elle a oublié de citer la première des plus dangeureuses : Eve ! … Non mais franchement … Si c’est de l’humour au 18543ème degré, c’est raté de chez raté …
HRC
1 janvier 2021 @ 00:41
J’ai rencontré des pestes et des impeccables de tous les genres.
Mysia
1 janvier 2021 @ 08:18
Pascal,en beaucoup de points,je suis d’accord avec vous.Vos remarques sont pertinentes.Et je préfère la complémentarité à la compétition. Cette dame sur la couverture me fascine par son air mutin.Qui était-elle?
Quant aux femmes de notre époque,celles qui ont du pouvoir, on en parle assez dans les conférences de tout ordre, ou en politique.Ce n’est pas très fascinant
Elsi
1 janvier 2021 @ 14:07
Ces dames ont certainement eu leur personnalite et rempli un role, mais apres tout, elles devaient toutes leur situation a leur pere, a leur frere ou a leurs epoux royaux. Il y manque Coco Chanel, tout certainement pas non plus une dame de coeur, mais si elle etait propulsee dans les hauteurs, ce fut a cause du travail accompli par elle-meme.
Vitabel
1 janvier 2021 @ 16:35
Pour moi qu’il soit détenu par une femme ou par un homme, le pouvoir est toujours dangereux..en ce qui concerne ce livre, je partage l’avis de Katellen.
Gérard
2 janvier 2021 @ 16:11
Ce très beau portrait s’intitule Pauline in the Yellow Dress et Pauline (Marie Pauline Miller) était le modèle et à partir de 1944 la deuxième épouse du peintre écossais Sir Herbert James Gunn (1893-1964).
Cette huile sur toile date d’environ 1932.
Elle fut présentée à la Royal Academy en 1944 et eut un grand succès.
Le portrait est conservé à la Harris Art Gallery ou Harris Museum de Preston (Lancashire) et la robe est présentée à côté.
Pascal🍄
3 janvier 2021 @ 10:42
Merci Gérard.
Gérard
3 janvier 2021 @ 20:31
😉
Baboula
2 janvier 2021 @ 19:11
Angela Merkel va quitter le pouvoir,et cela m’inquiète infiniment .
Elle a été un rempart .
Le fossé est devant nous .
Ghislaine GLP
4 janvier 2021 @ 12:04
les femmes de pouvoir ? Ah oui
Permettez moi de m’incliner devant les femmes de devoir .
A la mémoire du Sergent Yvonne Huyn tué en opération au Mali récemment