Parution du livre de Marcel Brion de l’Académie française « Les Médicis XIVe-XVIIIe siècle« . En voici le résumé : « Banquiers, maîtres de Florence, papes, humanistes et mécènes, les Médicis ont incarné la Renaissance italienne. Du XIVe au XVIIIe siècle, ils ont été des acteurs majeurs de l’échiquier politique européen. De Cosme l’Ancien à Laurent le Magnifique et Cosme Ier, premier grand-duc de Toscane, l’ascension des Médicis a été exceptionnelle : ils ont marié leurs filles à des rois, ont prêté de l’argent aux monarques, sont devenus papes et ont été au cœur des grands courants sociaux, culturels et politiques de leur temps. Rois sans couronne, ils ont été les maîtres de la République de Florence.
Encourageant et subventionnant les génies naissants, la Renaissance toscane a rayonné grâce à eux du plus magnifique éclat. De la Florence de Dante à la veille de la Révolution française, Marcel Brion fait revivre les passionnants destins de cette captivante lignée. »
« Les Médicis », Marcel Brion, Talalndier, 2015, 304 p
6 mai 2015 @ 07:59
Les Médicis…On les connaît par coeur,depuis toujours leurs vies et leurs personnalités nous font rêver ou nous révulsent,mais ils restent éternellement fascinants et leurs fantômes hantent encore notre époque…Pour preuve cet énième ouvrage.Il faudrait toujours apprendre aux enfants quelle fut l’Histoire de la Dynastie Médicis…A elle seule,c’est une leçon de vie.
6 mai 2015 @ 10:27
A lire ce livre sérieux et intéressant à la fois!
6 mai 2015 @ 18:31
Puis-je, au passage, conseiller les Médicis d’Alexandre Dumas ?
En ce moment, je lis « La gloire de l’empire » de Jean d’Ormesson (en poche). Passionnant ! (et beaucoup plus agréable à lire que « Le Rivage des Syrtes » de Julien Gracq (1910-2007).
6 mai 2015 @ 21:43
C’est Lorenzo, adolescent, que l’on voit sur la page couverture du livre . Cette image est tirée de la splendide fresque des Rois Mages peinte par Gozzoli dans la chapelle du palais Medici Riccardi, devenu bâtiment administratif . Situé non loin du Duomo, il vaut vraiment le détour rien que pour la beauté, la magnificence et les couleurs du cortège peint dans la deuxième moitié du XVe siècle par cet élève de Fra Angelico . Une merveille dont je ne me lasse pas .
7 mai 2015 @ 12:22
Merci Corsica; je viens d’ajouter le Palais Medici-Riccardi à ma longue liste de choses à voir en Italie. Bonne journée, FdC
7 mai 2015 @ 09:53
Je viens de terminer « Sur Catherine de Médicis » de Balzac qui n’est pas sans intérêt mais un peu déroutant de par sa construction qui manque d’unité.
Je vais me rattraper avec celui là.