Parution de ce bel ouvrage intitulé « Les paradis secrets de Marie-Antoinette. Le hameau de la Reine et le Petit Trianon« . En voici le descriptif : « Le Petit Trianon a été construit pour fuir Versailles et le Hameau de la Reine pour fuir le Petit Trianon…
Ces deux lieux emblématiques et mystérieux constituent une « folie » romantique comme on les imaginait à l’époque : c’est là que se réfugiait la Reine. Alors que ses moindres faits et gestes étaient regardés, commentés et régulés au château de Versailles, selon l’étiquette stricte imposée par Louis XIV, Marie-Antoinette décida qu’elle n’avait plus aucun compte à rendre lors qu’elle franchissait les haies de ses jardins privés, où sa liberté d’esprit la poussait à se retirer avec ses intimes…
Ce livre, illustré par les photographes officiels du domaine du Château de Versailles propose une promenade inédite et d’une richesse inégalée dans ce monde parallèle et secret qui fut l’objet de tous les fantasmes et qui continue d’intriguer et fasciner »
« Les paradis secrets de Marie-Antoinette. Le hameau de la Reine et le Petit Trianon« , Christophe Fouin, Albin Michel, 2017, 240 p.
ml
20 novembre 2017 @ 06:14
Intéressant…comme je comprends Marie -Antoinette …
ml
Jul
20 novembre 2017 @ 06:36
Oh, magnifique photo et très bonne idée que de consacrer un livre à ce sujet.
Muscate-Valeska de Lisabé
20 novembre 2017 @ 10:17
En recomptant mes fantômes au pied du sapin, je me disais bien qu’il manquait quelqu’un! ;-)
Gatienne
20 novembre 2017 @ 11:26
Très modestement, dans les pas de Marie-Antoinette, ces lieux furent ceux…de mes premiers pas ! J’ai donc une tendresse particulière pour cet endroit qui a, pour moi, tous les parfums du paradis de l’enfance. L’ombre bienveillante de la reine y veillait…
Pierre-Yves
20 novembre 2017 @ 12:38
Cette aspiration, si naturelle aujourd’hui, de Marie-Antoinette à se constituer un domaine privé où elle pouvait vivre sans les contraintes de l’étiquette, était totalement incongrue à son époque, sidérante et impossible à comprendre.
De ce point de vue, elle eut quasiment deux siècles d’avance, et cela lui fut fatal. Il n’est jamais bon d’avoir raison trop tôt.
Robespierre
20 novembre 2017 @ 16:56
Oui, ce besoin de privacy lui fut fatal. L’Etiquette, l’obligation de vivre en public, l’aurait protégée des calomnies. Or elle voulait s’isoler, et on a echafaudé toutes sortes de scenarios immondes . Quand les poissardes sont arrivées au Hameau de la Reine elles furent étonnée de ne pas voir les murs de la Maison de la Reine tapissés de pierres précieuses, comme elles l’avaient entendu dire.
ciboulette
20 novembre 2017 @ 14:19
Ce sont deux endroits que j’aime particulièrement .
clement
20 novembre 2017 @ 14:29
Il est évident qu’à l’approche de Noêl tout le monde se précipite pour vendre qui un livre qui un DVD , on nous sollicite de toutes parts même dans l’humanitaire pour faire fondre notre bon coeur et récolter de l’argent dont on ignore la destination …. on oublie l’essentiel : la naissance du seul Etre qui nous a fait un magnifique cadeau : l’amour et l’espérance !Noël malheureusement a perdu tout son sens pour beaucoup , ce n’est plus qu’un prétexte pour faire la fête et gagner de l’argent !
Robespierre
20 novembre 2017 @ 16:56
… étonnéeS…
Vitabel
20 novembre 2017 @ 17:38
Gatienne vous avez eu beaucoup de chance de profiter de ce bel endroit pour faire vos premiers pas, c’est tout à fait charmant et je vous envie un peu…
Gatienne
21 novembre 2017 @ 12:40
On me le dit souvent, merci Vitabel !
Francois
20 novembre 2017 @ 18:53
Le charme discret de la nature de la simplicité
La Reine Marie Antoinette etait le contraire de ce que ses détracteurs
en disaient
En est pour preuve l’immense déception des gens arrivés à Trianon
Venant voir ou espérant piller le petit trianon dont ils pensaient
que tout etait d’or massif et de luxes suffoquants
Quelle ne fut leur déception devant la simplicité des lieux
L’histoire a fini par réhabiliter notre dernière Reine en la rétablissant
en tant que femme et en tant que Reine
Elle n’était ni le monstre grotesque des révolutionnaires
Ni la sainte imaginée par les angiographies du XIXEME
Elle etait surtout elle même
Et sa fin édifiante s’il en est a prouvé le caractère exceptionnel de cette
princese autrichienne devenue Reine de France
Ses décors merveilleux tant à Trianon qu’à Versailles nous révèlent
cette femme de son temps
Quant à ses jardins quelle revanche sur l’histoire que de voir les jardiniers
de notre époque en train de les reconstituer avec minutie
Quelle revanche éclatante que de voir les étrangers visitant ces lieux magiques
demander toujours davantage de précisions dans les restitutions
Personne n’en fait autant pour connaître les lieux où vécurent ses bourreaux…..
JAusten
20 novembre 2017 @ 20:34
cette photo est extraordinaire de luminosité ! On dirait du pixel de pixel tellement tout est distinct. Et le contraste réside dans le côté très français de l’intérieur et ce temple de l’amour que les jardins anglais ont repris à l’infini.
Sincèrement cette couverture me donne envie d’acheter le livre ou de me le faire offrir.
Tourmaline
22 novembre 2017 @ 23:10
En adéquation avec le descriptif, la couverture du livre invite à l’escapade. On n’a qu’une envie, enjamber le fauteuil et sauter par la fenêtre pour rejoindre le point de fuite au fond du jardin. Jolie mise-en-scène avec un interieur exquis dont le rideau entrouvert offre au regard on ne sait pas trop si c’est une fresque représentant la nature, ou la nature faite art grâce au sublime paysagisme anglais. C’est le genre de livre que j’aimerais posséder rien que pour l’exposer sur un chevalet, comme le tableau qu’il imite. Avec le même genre de salon et le même style de parc, cela ferait une jolie mise-en-abîme. (On peut rêver.)