Prochaine parution de ce livre « Les princesses Mazarines. La gloire du cardinal. Elles voulaient être libres ».
Voici le descriptif : « Les nièces de Mazarin sont des étoiles filantes dont les aventures ont sidéré l’Europe. La plus célèbre est sans doute Marie Mancini qui faillit épouser Louis XIV, mais Marie avait quatre soeurs et deux cousines.
Mazarin, désireux d’inscrire son nom dans la grande Histoire, les avait fait venir en France alors qu’elles n’étaient que des enfants appartenant à la petite noblesse romaine. Choyées par la régente Anne d’Autriche, elles devinrent les compagnes de jeux de Louis XIV et de son frère. Elles avaient toutes reçu en partage la beauté, un charme exceptionnel et un goût inné pour les arts et les lettres.
Mazarin négocia pour elles des alliances prestigieuses. Soumises aux volontés de leur mari, elles savaient qu’elles devaient leur donner des héritiers. Mais allaient-elles se comporter en épouses sages, régulièrement enceintes ? Trois d’entre elles furent vertueuses, mais les autres ne s’embarrassaient ni de morale ni de religion.
Éprouvant le désir d’exister réellement, elles refusèrent de vivre dans le silence des passions. Elles ont préféré se lancer à la conquête de situations imprévues et embrasser les périls de la liberté pour s’accommoder de la vie. Chacune a trouvé sa voie avec plus ou moins de bonheur. Alors que la plupart des femmes de la Cour essayaient de sauver les apparences, elles n’ont pas hésité devant le scandale qu’elles étaient sûres de provoquer ».
« Les princesses Mazarines. La gloire du cardinal. Elles voulaient être libres », Evelyne Lever, Tallandier, 2023, 352 p.
Val
27 mars 2023 @ 05:14
J’apprecie beaucoup Madame Lever, je vais acheter cet ouvrage .
Cosmo
27 mars 2023 @ 07:09
Le sujet est intéressant et on peut faire confiance à Evelyne Lever.
Passiflore
27 mars 2023 @ 07:57
Marie Mancini (1639-1715) était le premier amour de Louis XIV. On dit qu’il se virent une dernière fois à Brouage avant le départ du roi pour son mariage à Saint Jean de Luz avec l’infante Marie-Thérèse d’Espagne. Elle, épousa, en 1661, Lorenzo Colonna. Passionnée d’arts et de théâtre, elle organisait avec son mari des bals costumés au palais Colonna à Rome. Elle divorça, en 1672, après avoir donné naissance à Filippo Alessandro, Anna Lucrezia, Marcantonio et Carlo. Elle parcourut l’Europe avec sa soeur Hortense (mariée au duc Armand-Charles de La Meilleraye à condition qu’il porte les armes et le nom de Mazarin) et son frère Philippe, duc de Nevers.
Marie était l’aïeule de la reine Paola, à la 9e génération, par les Colonna.
Marie-Caroline de Bretagne
27 mars 2023 @ 20:52
Non Passiflore, Marie Mancini (ancêtre de l’actuel roi des Belges) ne divorça pas, cela n’existait pas alors en Italie. Il y eut séparation mais point de divorce.
Passiflore
28 mars 2023 @ 11:34
En effet, Marie-Caroline (pas vraiment bretonne ?), je ne sais pas pourquoi est écrit « divorcés » dans le site généalogique.
Vous êtes professeur d’histoire ou correctrice dans un hebdo ?
Marie-Caroline de Bretagne
28 mars 2023 @ 17:30
@Passiflore, si, si, je suis bien bretonne, passionnée d’histoire mais point professeur ni correctrice dans un
hebdomadaire tout en étant plutôt à cheval sur les faits historiques et l’orthographe même s’il m’arrive – cela me fait mal de l’admettre – de commettre des fautes … J’en rougis !:)
Jean Pierre
27 mars 2023 @ 08:20
Une des « Petites Mazarines » n’avait-elle pas épousé le neveu de Richelieu ?
Marie-Caroline de Bretagne
27 mars 2023 @ 20:57
Oui ou presque Jean-Pierre, c’est un petit cousin de Richelieu qu’épousa Hortense, la plus belle et la plus coquine dit-on des Mazarinettes.
plume
27 mars 2023 @ 08:51
Moi je connais de Mazarine que celle engendrée par un certain F M 😁
Menthe
27 mars 2023 @ 09:50
Des femmes libres avant l’heure! J’aime bien.
Marie-Caroline de Bretagne
27 mars 2023 @ 21:00
Très libres en effet Menthe ! Je les ai toujours trouvé assez fascinantes. Que ne dirait-on d’elles si elles existaient aujourd’hui …
SISSI
27 mars 2023 @ 09:29
Pourquoi ne pas aller plutôt directement à la source et lire les mémoires d’Hortense et Marie Mancini dans le Mercure de France ?
Catherine
27 mars 2023 @ 16:47
Merci pour cette référence que je ne connaissais pas.
Marie-Caroline de Bretagne
28 mars 2023 @ 17:47
@Sissi, quelle bonne idée ! Dans la collection Le Temps retrouvé, n’est-ce pas ? Je viens de regarder dans ma bibliothèque, convaincue d’avoir ces mémoires mais non, dommage. À souvent déménager, il arrive qu’on y laisse quelque(s) chose(s) …
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:26
Marie Mancini (Rome, 28 août 1639 – Pise, 8 mai 1715), fille de Geronima Mazzarini (la soeur du Cardinal Marzarin lui-même) et du baron Michele Mancini, et sœur de Laure-Victoire, Paul, Olympe, Philippe, Alphonse, Marie-Anne et Hortense Mancini, Marie Mancini est réputée pour avoir été le premier véritable amour du jeune Louis XIV .
C’est Mazarin qui l’a fait venir de Rome à la cour de France avec ses soeurs, qui avaient la bénévolence de la Reine Régente qui les avaient chargé d’être les compagnes de jeux du jeune Roi Soeil. Lorsque la Cour regagne Fontainebleau, Marie Mancini en est devenue le point d’attraction, présidant aux fêtes et aux bals. Marie est une précieuse, et entoure sa relation avec le roi d’un luxuriant imaginaire romanesque, inspiré de l’Arioste et du Tasse. Elle organisait avec Louis Xiv des bals costumés qui sont restés célèbres.
La mère du Roi, la Reine Anne d’Autriche, et le Cardinal Jules Mazarin s’opposèrent à une éventuelle union des deux jeunes gens, d’autant plus que le cardinal étaiten pourparlers afin de négocier un mariage royal avec l’infante Marie-Thérèse d’Autriche.
Le jeune Roi alors agé de 24 ans aurait eu un accès de folie, allant jusqu’à harrenguer le cradinal Marzarin en public :
-C’est, bon ! J’accepte ce mariage (avec sa cousine Marie-Thérèse d’Autriche) pour raison d’Etat. Mais c’est la dernière fois que vous me donner des ordres M. le Cradinal. Ici se termine le pouvoir des Prélats en France !!! (le pouvoir du Roi Très Chrétien n’est pas un théocratie).
Mazarin se plia en deux et se retira, comprenant que l’heure était venu pour le Roi Soeil de régners seul. Louis XIV fera la GRAND SIECLE FRANCAIS par une autorité affirmèe, un puissant ordre moral aasis sur un fort protectionisme économique appellé « Colbertisme ».
L’éloignement forcé de Marie pendant quelques mois, d’abord à l’Abbaye du Lys de Dammarie-lès-Lys(77), à La Rochelle puis à Brouage, et sa dernière entrevue avec Louis XIV avant son départ de la cour, le 22 juin 1659, qui aurait versé des larmes, auraient inspiré un vers célèbre de Racine dans sa tragédie Bérénice :
« Vous êtes empereur, Seigneur, et vous pleurez ! »
— Bérénice, Acte IV, scène 5
Marie Mancini accepta d’épouser Lorenzo Colona. Elle part vivre à Rome. Mais sa relation conjugale ne tarde pas à se dégrader. Après avoir donné trois fils à son époux (Filippo en 1663, Marcantonio en 1664 et Carlo en 1665), Marie estime pouvoir se soustraire à son devoir conjugal, tout en courant les galants. Les infidélités de son mari sont par ailleurs connues, mais ce dernier, de caractère ombrageux et violent, n’en refuse pas moins la vie dissolue de sa femme. Prétendant craindre pour sa vie, Marie quitte époux et enfants pour parcourir l’Europe avec sa sœur Hortense Mancini, duchesse de Mazarin et Philippe, duc de Nevers, son frère.
Elle meurt en 1715. Elle repose à l’entrée de l’église du Saint-Sépulcre de Pise.
Catherine
27 mars 2023 @ 16:54
Les anciens amoureux meurent la même année, à quelques mois de décalage seulement. Elle le 8 mai, lui le 1er septembre.
Carole 007
27 mars 2023 @ 11:29
Intéressant, c’est une période que j’apprécie particulièrement.
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:29
Laure-Victoire Mancini (née en 1636 à Rome – morte en 1657 à Paris)1, fille du baron romain Michele Mancini et de Geronima Mazzarini, elle était une des nièces du cardinal Mazarin, l’aînée des sœurs Mancini. Celui-ci ramena ses nièces à la cour du roi Louis XIV dans l’espoir de leur faire contracter des mariages avantageux. Laure-Victoire épousa dès 1651 Louis II de Vendôme, duc de Mercœur, petit-fils de Henri IV, Prince et Duc de Bretagne de qui pourrait -grace à Laure-Victoire Mancini !- descendre le futur Grand Monarque Henri V de La Croix selon certaines théories provodentialistes.
Pacific
27 mars 2023 @ 19:25
Je ne connaissais que Marie Mancini. Vos portraits des autres membres de la famille m’intéressent bcp.
Je ne vois pas qui est « le futur Grand Monarque Henri V de La Croix », pourriez-vous m’éclairer ?
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:33
Olympe Mancini, comtesse de Soissons et de Dreux, née à Rome le 11 juillet 1638 et décédée à Bruxelles le 9 octobre 1708, nièce du cardinal Mazarin, vécut à la cour de France, entre amours et complots, jusqu’à sa disgrâce, en 1680.
La comtesse se lie alors d’amitié avec la belle-sœur de ce dernier, Henriette d’Angleterre, dite « Madame ». Louis XIV et Henriette, tous d’eux vifs d’esprit et partageant une « amitié galante », font de longues promenades dans les bois pendant la nuit, en compagnie d’Olympe, ce qui fait jaser la cour et surtout la reine Marie-Thérèse d’Autriche et la reine mère Anne d’Autriche, cette dernière très inquiète. Dans une lettre, Mademoiselle de Fouilloux écrit qu’Olympe fut très mécontente d’apprendre que Louise de La Vallière s’attirait les faveurs du roi, puisqu’elle aurait voulu la grande confiance que le roi lui attribuait a elle seul. Elle ajoute qu’Olympe sait pertinemment que Louise œuvra longtemps à ce but. Finalement, Louis XIV tombe amoureux de Louise et se détourne de sa belle-sœur, qui s’emploie, avec la complicité d’Olympe, à détrôner Louise de La Vallière. La comtesse de Soissons révèle à la reine l’adultère de Louis XIV et de Louise, mais Marie-Thérèse est impuissante contre son époux.
Olympe Mancini est la grand-mèrede tous les catuels membres de la Maison Royale de Savoie.
Catherine
27 mars 2023 @ 17:06
Et mère surtout du général du Sainte-empire Eugène de Savoie-Carignan.
Passiflore
28 mars 2023 @ 10:28
Oui, le célèbre prince Eugène à qui l’on doit, entre autres, le palais du Belvedere à Vienne.
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:44
Marie-Anne Mancini (Rome, 1649 – Paris, 1714), Duchesse de Bouillon et Comtesse d’Évreux, est une aristocrate italienne. Nièce de Mazarin, elle est la benjamine de sa fratrie, après Laure-Victoire, Paul, Olympe, Marie, Philippe, Hortense et Alphonse Mancini.
Fille de Geronima Mazzarini et du baron Michele Mancini, Marie-Anne Mancini arriva très jeune en France et elle fut beaucoup aimée, car c’était une enfant très mignonne. La reine Anne d’Autriche l’aimait beaucoup, et on la surnomma « l’enfant chérie de la reine ». Elle fut aussi la protectrice de certains artistes comme Jean de La Fontaine. Elle éleva les enfants de sa sœur Hortense. Compromise dans l’Affaire des poisons, elle finit par rentrer en grâce, contrairement à sa sœur Olympe.
Le 20 avril 1662, Marie-Anne, âgée de 13 ans, épouse Godefroy-Maurice de La Tour d’Auvergne (1636-1721), Duc de Bouillon et neveu de Turenne qui en avait 26. Malgré son jeune âge, le jeune homme, issu d’une des plus prestigieuses Maison, assumait la charge de Grand chambellan de France. Ce fut une union prolifique qui donna 10 enfants, dont l’un des fils, Louis-Henri de La Tour d’auvergne (1674-1753), Comte d’Évreux, lieutenant-général des armées du Roi, épousa la fille du financier Antoine Crozat et fit construire l’hôtel d’Évreux, aujourd’hui… palais de l’Élysée !
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:53
Hortense Mancini, duchesse de Mazarin, comtesse de Rozoy, née le 6 juin 1646 à Rome, morte le 2 juillet 1699 à Chelsea, est une nièce du cardinal Mazarin et la sœur de Laure, Paul, Olympe, Marie, Philippe, Alphonse et Marie-Anne Mancini.
Elle est mariée le 1er mars 1661 au duc Armand-Charles de La Meilleraye (1632-1713) sous la condition que celui-ci prenne le nom et les armes de Mazarin. Quatre enfants naissent de cette union : Marie-Charlotte (1662-1729), Marie-Anne (1663-1720), Marie-Olympe (1665-1754) et Paul-Jules (1666-1731). L’union est mal assortie : Hortense est jeune, vive et légère, elle aime le monde, et est entourée d’une foule de prétendants ; le duc de Meilleraye au contraire est avare et jaloux, engoncé dans une dévotion exagérée, fuit la société et oblige sa femme pourvue d’une dot de trente millions à renoncer au séjour de Paris et à le suivre de ville en ville dans ses différents gouvernements. Ils résident au Grand-Logis de Mayenne.
Hortense décide de s’affranchir de ce qu’elle appelle « un esclavage odieux ». Grâce à son frère Philippe, duc de Nevers, qui lui procure des chevaux et une escorte, elle s’enfuit dans la nuit du 13 juin 1668 à Rome où elle se réfugie auprès de sa sœur Marie, la princesse Colonna.
Agacé par le comportement du duc qui, pris d’un accès de bigoterie, mutile des œuvres d’art de la précieuse collection de Mazarin, le Roi Soeil est touché et lui fait obtenir une pension annuelle de vingt-quatre mille livres et douze mille livres argent comptant pour s’en retourner à Rome, malgré l’ire du mari.
Elle quitte Rome peu après, en compagnie de sa sœur, la princesse Colonna. Elle se retire seule à Chambéry, où elle séjourne trois ans. Autour d’elle se crée un cercle de gens distingués et bien nés. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel II, se déclare aussi son protecteur mais il meurt jeune.
Charles II accueille Hortense avec bienveillance et lui octroie sur sa cassette une pension de quatre mille livres sterling. Elle aurait probablement remplacé la duchesse de Portsmouth dans le cœur du monarque si elle ne s’était montrée sensible aux soins que lui rendait le prince de Monaco.
Elle est dans le plus grand dénuement lorsque le roi Guillaume III, informé de sa situation, lui assure une pension de deux mille livres sterling. Elle revient alors à la vie mondaine, passant l’hiver à Londres et la belle saison à Chelsea.
Sa fille, Marie-Charlotte de La Porte de La Meilleraye (28 mars 1662 – 13 mai 1729), est mariée à Louis-Armand de Vignerot, Marquis de Richelieu (1654-1730) dont elle a un fils, Armand-Louis de Vignerot du Plessis de Richelieu, duc d’Aiguillon (1683-17501).
Marie-Charlotte de La Porte de La Meilleraye est surtout connue pour avoir été la maîtresse supposée de son cousin germain, Philippe de Vendôme, dit le prieur de Vendôme.
Leonor
27 mars 2023 @ 22:39
Sire Volto, vous n’en avez pas marre de recopier des trucs en long, en large et en travers, et toujours sans donner l’ombre d’une référence ?
C’est franchement lassant .
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:56
Mancini : d’azur à deux brochets nageants au naturel l’un sur l’autre.
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 11:59
Pour revenir à maria Mancini, qui fut le premier amour de Louis XIV, elle sera l’arrière-arrière-grand-mère du prince Camille Borghèse (1775-1832), second époux de Pauline Bonaparte (1780-1825).
Par son arrière-petite fille Felice Colonna (épouse de Giuseppe Alliata, prince de Buccheri) et par la petite-fille de celle-ci Maria Felice Alliata, épouse de Fulco Giordano Ruffo di Calabria, 8e prince de Scilla, Marie Mancini est aussi l’aïeule à la 9e génération de Paola Ruffo di Calabria, reine des Belges, de 1993 à 2013 en tant qu’épouse d’Albert II.
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 12:02
Il y a plusieurs familles Mancini en Italie. La plus célèbre est la famille Mancini de Rome.
Leur titres et fiefs furent nombreux: Duc de Nevers et Donzy, Prince de Vergagne et du Saint-Empire avec le traitement de Son Altesse Sérénissime, Pair de France, Grand d’Espagne de la première classe, Comte de Montefortino, Vicomte de Clamecy, Baron de Tardello, Tumminii et Ogliastro, Seigneur de Claye-Souilly, noble romain et vénitien. Ils furent Chevaliers de l’Ordre de la Toison d’or, de l’Ordre du Saint-Esprit et de l’Ordre de Saint-Michel. L’humaniste Marco Antonio Altieri (1457-1537) dans Li Nuptiali, une importante collection d’informations sur Rome au xvie siècle, avec la classification des familles nobles, les inclut parmi les familles nobles romaines. Elle a joui des Honneurs de la Cour.
Votre serviteur et son épouse eurent le plaisir en 2003 de connaitre un certain Carlo Mancini-mazarini, membre du partit Aleeanza Monarchica, à l’ocasion du premier congrès de ce parti à Superga.
Ciao, caro…
Armes des Mancini-Mazzarini : écartelé aux premier et quatrième d’azur à un faisceau des licteurs d’or lié d’argent la hache du même; aux deuxième et troisième d’azur à deux brochets nageants d’argent l’un sur l’autre.
Hervé J. VOLTO
27 mars 2023 @ 12:06
A la Cour de France les Princesses Mazarines était surnommé les Mazarinettes.
Pour résumer, Mazarin les fit venir d’Italie, ainsi que trois de ses neveux, entre 1647 et 1653. Par la suite, il arrangera des mariages avantageux pour ces dernières avec des Princes Français et Italiens influents. Pour vaincre les réticences aristocratiques à ces unions, le cardinal leur accorde généreusement des dots très importantes.
DENIS
27 mars 2023 @ 12:06
Encore un ouvrage qui n’apportera rien de nouveau, tant le sujet est rebattu…
Pascal M
27 mars 2023 @ 16:48
Albert II de Monaco, par son grand-père Pierre de Polignac et par Louise d’Aumont (épouse d’Honore IV de Monaco), est un descendant des Mancini.
Mais pour être plus exact, P. de Polignac a comme ancêtre leur frère, quant à lui…
Marie-Caroline de Bretagne
27 mars 2023 @ 21:01
Pour le coup, il se peut que vous ayez raison Denis …
Brigitte et Christian
28 mars 2023 @ 10:37
bonjour à tous
Nous venons de ressortir de la bibliothèque : les Petites Mazarines de Pierre Combescot, livre complet et bien documenté. Maintenant nous regardons ce qu’un nouveau livre apporte par rapport au prédécesseur !!!
amitiés du sud ouest sous le soleil
kalistéa
2 avril 2023 @ 19:19
Le livre que vous citez est en tout cas fort agréable à lire , et j’ai fait comme vous Brigitte et christian… sous un peu de pluie .