Ce livre de Stéphanie des Horts retrace la vie des sœurs Tina et Eugenie Livanos, filles de Stavros Livanos. Athina dite Tina (1929-1974) épouse en premières noces l’armateur Aristote Onassis avec qui elle a deux enfants Alexandre et Christina. Tina Livanos demande le divorce lorsqu’elle prend connaissance de la liaison de son mari avec Maria Callas.
Elle épouse ensuite John-Spencer-Churchill et devient pendant 10 ans jusqu’en 1971 marquise de Blandford. La même année après un deuxième divorce, elle épouse Stavros Niarchos, veuf de sa sœur Eugenie Livanos. Elle décède en 1974 dans leur résidence parisienne de l’Hôtel de Chanaleille.
Eugenie Livanos (1927-1970) épouse Stavros Niarchos avec qui elle aura notamment deux fils Spyros marié à l’Honorable Daphné Guiness et Constantin (décédé) qui fut époux en premières noces de la princesse Alessandra Borghèse. Eugenie est décédée en 1970 après avoir avalé des barbituriques. Un an plus tard, son veuf Stavros Niarchos épousera sa sœur Tina, ex-épouse d’Aristote Onassis et du marquis de Blandford.
Baboula
9 novembre 2018 @ 05:35
Eugénie Livanos est née en 1927,mais c’est en 1947 qu’elle a épousé Stavros Niarchos. Pas nécessaire de publier cette petite correction,bonne journée
Baboula
9 novembre 2018 @ 06:09
Les vies de ces deux femmes ,qui avaient Tout pour elles, donnent une impression de gâchis ,des pions dans la guerre que se livraient Onassis et Niarchos . Même parcours haute société et même overdose finale . La mort accidentelle de son fils Alexandre conduisit Athina à l’overdose .
Pas facile d’etre belles et riches …
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 11:58
La brune à l’air très dure.Belles,riches,célèbres, et…ingrates,les enfants gâtés sont toujours trop capricieux.
marianne
9 novembre 2018 @ 06:42
Quelle famille ! Valses des belles-soeurs et beaux-frères entre-soi …
Qu’est devenue Athina ? A-t-elle des enfants ?
Claude-Patricia
9 novembre 2018 @ 11:21
Elle aurait divorcé. Mais je n’en ai aucune confirmation.
Delphine
9 novembre 2018 @ 12:52
Elle s’est séparée de son époux brésilien, elle n’a pas d’enfants.
Gérard
10 novembre 2018 @ 08:24
Athina a fait une belle carrière sportive. Elle est divorcée sans enfant et riche.
Gérard
10 novembre 2018 @ 18:50
Le divorce a été prononcé en Belgique en novembre 2017 après une assez longue procédure en raison des enjeux financiers.
Corsica
9 novembre 2018 @ 07:00
Deux sœurs qui, sur le papier, avaient tout pour elles mais qui, par la rivalité obsessionnelle de leurs armateurs de maris, n’ont pas du rire tous les jours. Eugénie s’est suicidée, les deux enfants de Tina sont morts et elle-même est morte un an après avoir enfin épousé l’amour de ses 14 ans, Niarchos, veuf de sa sœur et suspecté de sa mort…! Disons que la vie des sœurettes Livanos flirtaient plus avec la tragédie grecque qu’avec le bonheur.
Quant à Daphnée Guinness, la bru d’Eugenie, elle est la petite-fille de Diana, l’une des sœurs Mitford, l’amie de Hitler et épouse en secondes noces d’Oswald Mosley le chef du parti fasciste anglais.
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 12:00
Un grand merci pour ce résumé, chère Corsi. ..Personnellement, je manque d’indulgence pour ce genre de femmes. Il semble que la Vie aussi.
monica
9 novembre 2018 @ 12:09
Sans oublier que Constantin, tombé dans les drogues durs, est mort d une overdose
Kaiserin
9 novembre 2018 @ 19:33
Et Daphnée Guiness, maîtresse de Bernard Henri-Levy
Et la boucle est bouclée
olivier Kell
9 novembre 2018 @ 07:56
Eugenie Livanos est née en 1927 et non 1947
monica
9 novembre 2018 @ 12:02
Olivier mais Régine l a précisé dans
Son article !!!
Robespierre
9 novembre 2018 @ 07:58
Les armateurs grecs sont les seuls qui n’épousent pas des bergères, ça m’a toujours frappé. Les soeurs Livanos c’est un très bon sujet de livre. Elles sont mortes relativement jeunes et toutes deux pendant leur mariage à Niarchos. Dans des circonstances bizarres, mais Niarchos n’a jamais été inquiété pour cela.
Baboula
9 novembre 2018 @ 09:50
Christina,sa fille a intenté un procès à Niarchos pour récupérer l’héritage de sa mère , il a je crois ,tout restitué,objets personnels,argent ,bijoux .
IANKAL21
9 novembre 2018 @ 13:03
Christina est née de son mariage « éclair » avec la tres jeune Charlotte Ford de la fameuse famille des industriels.
Ce mariage mexicain était déclaré nul et Niarchos est retourné à son épouse légitime Eugenie, car divorce il n’y a pas eu.
Ca m’étonnerait que Niarchos réputé pour ses largesses a pu retenir du patrimoine de cette jeune et tres brève épouse.
IANKAL21
9 novembre 2018 @ 13:22
@Baboula
Désolé j’ai confondu Christina Onassis, laquelle a fait exactement ce que vous décrivez et Elena Ford la fille que Niarchos a eu de son bref mariage avec Charlotte Ford. D’après ce que je lis à http://www.ranker.com, Elena Ford est vice présidente chez Ford la première femme de la famille avec un poste important dans l’ l’entreprise
Baboula
10 novembre 2018 @ 11:06
IANKAL,pas grave votre erreur nous a permis de découvrir un autre chapitre de cette saga . 🙂
Robespierre
10 novembre 2018 @ 22:08
En fait voici ce qui s’est passé. Charlotte Ford a eu une breve aventure d’un soir avec Niarchos et s’est retrouvée enceinte. Niarchos a divorcé avec l’accord d’Eugénie pour donner un nom et un père à l’enfant. en épousant Charlotte. Après la naissance de cet enfant, il a de nouveau divorcé et a réépousé Eugénie. Dans ces années-là on ne faisait pas d’enfant hors mariage, mais on divorçait facilement.
Baboula
11 novembre 2018 @ 12:22
Quelle largesse d’esprit !
IANKAL21
11 novembre 2018 @ 21:45
Merci pour votre indulgence. Le mariage Niarchos-Ford était civil et eu lieu au Mexique, comme probablement le divorce aussi.
Le mariage Niarchos-Livanos religieux Grec Orthodoxe seul légal à l’ epoque en Grèce et jamais dissolu.D’ ailleurs il etait déjà le troisième pour lui et un quatrième n’est pas admis en cette eglise.
Nicolette
9 novembre 2018 @ 08:04
N’y a t-il pas erreur sur les dates d »Eugénie ?
IANKAL21
9 novembre 2018 @ 08:57
Stavros et Eugenie Niarchos ont eu trois fils, Philippos, Spyros et Constantin et une fille Maria.
Mamie Clémy
9 novembre 2018 @ 09:01
Que de souvenirs qui remontent avec l’histoire des soeurs Livanos. Amour, gloire, pouvoir, mariages, tromperies, drames et enterrements (tout y est) qui ont fait de ses soeurs les dommages collatéraux de leurs époux, 2 « beaux salauds » se déchirant pour avoir la suprématie maritime…
Je suis toujours prête à dépenser pour lire cette histoire malheureuse qui a fait aussi le bonheur de certains.
J’espère juste que S. Des Horts révèle dans son approche, un beau portrait du caractère de ces deux femmes face aux rouages de la vie de leurs puissants maris; et non une histoire de presse people.
Bien présenté, l’histoire de ces soeurs peut servir de miroirs pour nos jeunes filles d’aujourd’hui qui doivent apprendre à s’auto construire pour se faire respecter des uns et des autres.
Hilde
9 novembre 2018 @ 09:20
L’argent ne fait pas toujours le bonheur dans une vie .
Leonor
9 novembre 2018 @ 09:53
L’argent et le pouvoir détruisent plutôt qu’ils ne construisent.
Menthe
9 novembre 2018 @ 11:42
Ce n’est pas l’argent qui détruit mais la toujours soif insatiable d’argent.
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 12:02
Quand on ne sait gérer ni l’un ni l’autre,peut-être,ma Léo…mais quand l’intelligence est au rendez-vous,la gloire d’une vie réussie et bien remplie est au bout!
Leonor
10 novembre 2018 @ 18:27
Menthe et Muscate : oui, je suis bien d’accord avec vous.
En effet, ce n’est pas l’argent qui pourrit. L’argent est un moyen. Tout dépend de ce que l’on en fait. J’aurais dû préciser, vous l’avez fait, Menthe.
Pour le pouvoir, je suis plus dubitative. Peut-être en ai-je trop vu …De trop près. Trop souvent.
Arielle
9 novembre 2018 @ 10:11
Très compliqué… bien vide tout cela.
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 12:07
Oh ma Mie…des existences oisives mais plus remplies que nos vies ne le seront jamais, ne nous aveuglons pas.
Aller au bureau ou à l’usine tous les matins meublent le temps et permet matériellement d’exister,mais de telles destinées permettent de VIVRE vraiment,tout simplement.Entre s’ennuyer au boulot ou vautrée dans du satin,je connais le choix qui eût été le mien. ;-)
Menthe
10 novembre 2018 @ 15:21
Chère Muscate, là, je ne vous suis pas, pourquoi s’ennuyer au travail ? Mon exercice professionnel m’a apporté beaucoup de satisfaction, certainement beaucoup plus que de se vautrer dans le satin, et je pense ne pas être la seule dans ce cas !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 novembre 2018 @ 11:40
C’est une chance que vous avez eue là, chère Menthe,et je la souhaite à tout le monde.Parfois,souvent, le travail est plus une obligation alimentaire qu’une occupation épanouissante.On ne fait pas toujours ce qu’on aurait voulu….
Je prends exemples chez moi:mon mari médecin a adoré son job mais est aujourd’hui bien content d’être en retraite, mon père taxi parisien ne supportait plus ses 43ans de rues parisiennes,ma mère infirmière a tout fait pour être femme au foyer…et moi,j’estime avoir bénéficié d’un grand privilège à n’avoir jamais travaillé à l’extérieur de chez moi.
Comme pour tout,c’est un choix.
♡
Arielle
10 novembre 2018 @ 16:02
Muscate-Valeska de Lisabé : à y bien réfléchir, vous avez sans doute 100% raison. J’ai fait une réponse disons… correcte, vertueuse, celle d’une femme qui reggarde le passé avec les lunettes du présent et qui n’a rien attendu des hommes pour exister. Ces dames, elles, ont TOUT attendu des hommes, mais elles appartenaient à une autre génération. Je suis heureuse de vivre dans un nouveau monde. A leur place, comme vous j’aurais aussi choisi les draps de satin.
Baboula
11 novembre 2018 @ 12:27
Je vous déconseille les draps de satin ,ils sont très glissants ,on peut chuter.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 novembre 2018 @ 20:59
Oui mais à deux c’est sensuel.;-)
Lily
9 novembre 2018 @ 10:17
«L’une épouse Onassis, l’autre Niarchos…» j’ajouterai juste « et l’une épouse après, le mari de l’autre…». Quelle histoire! Quand le pouvoir se mêle des histoires d’Amour.
Je me demande ce qu’aurait fait ces deux dames si on leur avait donné l’occasion de tout recommencer ?
Capucine
9 novembre 2018 @ 13:45
Au vue de la grande tragédie vécu par ces dames, j’aimerai à croire qu’elles auraient préféré épouser le charpentier et le moniteur de voile comme proposé si bas.
Mais c’est sans compter les visions de leur paternel aussi.
particule
9 novembre 2018 @ 10:28
La tragédie grecque au 20ème siècle.
Pierre-Yves
9 novembre 2018 @ 10:32
En dépit de leur train de vie grandiose, de leur beauté et de leurs somptueux joyaux, on ne les envie pas, ces soeurs. Peut-être, en définitive, auraient-elles été mieux inspirées d’épouser l’une un charpentier et l’autre un moniteur de voile.
Baboula
9 novembre 2018 @ 12:07
Christina la fille d’Athina a essayé dans ce sens mais ça n’a pas marché !
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 12:14
….Ou de rester libres,riches et célibataires. ..voyageant à travers le monde,rencontrant des gens intéressants,changeant d’amours et d’itinéraires à tout instant,fuyant l’ennui,la médiocrité et la banalité des existences ordinaires,sans la crainte d’aucun jugement, avec l’assurance et la tranquillité que procure un avenir assuré et une bonne santé. Je me suis toujours demandé pourquoi les gens qui ont tant de moyens s’obstinent à vouloir vivre comme tout le monde, selon les bases étriquées du schéma judéo-chrétien. D’autant qu’ils sont gâtés, donc moins stables, plus capricieux et changeants que les autres,qui l’ont moins été.
j21
10 novembre 2018 @ 15:27
J’adhère à 100% à votre commentaire, Muscate-V de L. C’est ainsi que j’aurais vécu si j’avais été riche et belle.
Muscate-Valeska de Lisabé
11 novembre 2018 @ 11:44
Eh oui,ma Mie :Comme un homme…LIBRE.
La Liberté est sans doute le plus grand avantage que la richesse puisse offrir,pourquoi l’aliéner de son plein gré, et se retrouver prise dans le filet?
Amitiés.
Arielle
11 novembre 2018 @ 15:27
Totalement d’accord avec vous, Muscate-Valeska de Lisabé.
Gérard
10 novembre 2018 @ 08:29
On a connu une femme très bien qui épousa un charpentier et fut bien heureuse finalement.
Antoine
10 novembre 2018 @ 19:09
Oui, enfin tout dépend du plan sur lequel on se place…
Muscate-Valeska de Lisabé
10 novembre 2018 @ 19:28
Les légendes, c’est toujours joli.
Claude-Patricia
9 novembre 2018 @ 11:28
J’ai vu ce livre avant-hier et déjà je connaissais cette saga grecque.
Des personnages célèbres dès leur naissance, dont la vie pourrait faire l’objet d’un film pour mieux les resituer auprès du grand public actuel, bien que cela fasse maintenant quelques années qu’Athina Roussel Onassis ne fasse plus l’objet des médias. J’espère pour elle qu’elle est heureuse, rompant ainsi avec cette légende de tragédie familiale.
Claude-Patricia
9 novembre 2018 @ 11:29
PS, Une bd sur le parfumeur Guerlain est sortie aussi.
Marie de Cessy
9 novembre 2018 @ 12:40
Très glauque la vie des deux soeurs…
Et se remarier avec son beau-frère… 😱
Baboula
10 novembre 2018 @ 11:15
Il y a des religions qui exigent qu’une veuve épouse un frère de mari décédé.
Pas le cas ici !
Muscate-Valeska de Lisabé
10 novembre 2018 @ 19:34
Chez les musulmans,par le passé,quand les femmes n’étaient pas autonomes,on entendait qu’un homme pouvait secourir la veuve de son frère en lui assurant la protection par le mariage,ainsi que la sécurité et l’éducation de ses enfants, dont il était l’oncle par le sang. .Mais dans ce cas, c’est plutôt le frère qui est obligé à cela,par devoir,pas l’inverse,Baboula-mia.
Les femmes veuves et mères, sans travail, trouvaient un secours dans cette situation, à l’époque.
Baboula
11 novembre 2018 @ 12:45
Tant pis si mon message est passé,Je doublonne.
Muscate,je pensais aux juifs orthodoxes il y a eu un film israélien qui mettait très bien en scène le sujet .
Muscate-Valeska de Lisabé
12 novembre 2018 @ 21:01
Merci de m’apprendre quelque chose que je ne savais pas,ma Mie Baboula.
Robespierre
14 novembre 2018 @ 12:51
Ce film; ce n’était pas Rosa quelque chose, ou Rosa je t’aime ?
Mayg
9 novembre 2018 @ 13:20
Eh…. épouser son beau-frère (époux veuf de sa sœur) faut le faire. C’est à se demander si elle n’avait pas déjà des vues sur lui avant même le décès de sa soeur…
Numérobis.
9 novembre 2018 @ 13:21
Que devient Athina Roussel-Onassis ?
Il me semble avoir lu qu’elle était divorcée de son mari ?
Marie de Cessy
10 novembre 2018 @ 15:00
C’est vrai que nous n’avons plus de nouvelles d’elle…
j21
10 novembre 2018 @ 15:36
Athina Roussel est bien divorcée de son mari brésilien. Ce dernier s’est remarié avec une présentatrice de la télévision brésilienne. Athina traîne sa tristesse de concours hippiques en concours hippiques. Elle suit le même circuit hippique que les filles de Bill Gates, Bruce Springfield,……et que faisait Charlotte Casiraghi.
Robespierre
14 novembre 2018 @ 12:57
Sans doute a-t-elle fini par comprendre que cet aigrefin ne l’avait épousée que pour son argent, malgré les mises en garde de son père… qui avait fait pareil. Ca fait désordre pour la jeune femme d’avoir un frère né en Suède qui a à peu près le même âge qu’elle. Roussel avait une femme suédoise back street au moment où il affichait avec Christina son bonheur conjugal (factice). Ironie du Destin, la fille de Roussel s’est fait épouser par son argent par un Brésilien qui disait à sa compagne qu’il trouvait Athina moche. Quel fut l’étonnement de cette compagne quand elle fut quittée pour Athina. Le père Roussel qui avait eu deux ménages a voulu mettre sa fille en garde mais en vain, elle s’est mariée avec son Bresilien. J’ignore pourquoi elle a fini par divorcer. Le père a fait un mariage d’argent et sa fille a rencontré un mec comme lui. Justice immanente.
Esquiline
9 novembre 2018 @ 13:31
Tous les ingrédients de la tragédie grecque si présente dans notre culture.
Ne manque qu’un Eschyle pour nous expliquer le rôle des dieux dans ces exceptionnels destins.
beji
9 novembre 2018 @ 13:53
Drôle de famille!
Jean Pierre
9 novembre 2018 @ 15:13
Elles ne devaient pas être faciles à vivre.
clement
9 novembre 2018 @ 15:43
A la mort d’Eugénie ,on a soupçonné Niarchos d’avoir battu sa femme ; dans son cercueil certains disaient à l’époque qu’elle avait le dos tout bleu , il y eut une enquête,et je ne sais si cela a donné quelque chose ……
Baboula
10 novembre 2018 @ 11:16
Non lieu .
Muscate-Valeska de Lisabé
10 novembre 2018 @ 19:37
L’argent achète même une innocence douteuse.
Robespierre
14 novembre 2018 @ 12:58
On ne met pas un armateur grec en taule, les dirigeants grecs avaient du savoir vivre.
Menthe
10 novembre 2018 @ 16:54
… et des ecchymoses sur le cou !
DEB
9 novembre 2018 @ 16:02
J’ai lu son Pamela sur Pamela Harriman ( l’ex bru de Churchill et ambassadrice de Clinton à Paris).
C’était bien écrit et dépassait les amours de la dame pour nous conter la société de l’époque.
Donc celui-ci pourrait être de la même mouture.
clementine1
9 novembre 2018 @ 16:32
un pan de ma jeunesse qui défile …
guizmo
9 novembre 2018 @ 19:13
Quelle famille compliquée et malheureuse. Je ne les envie pas. Par contre le livre doit être un vrai thriller.
Héloïse
10 novembre 2018 @ 11:11
C est un livre haletant que j ai lu cette nuit.le pire étant niarchos
Eloïse
10 novembre 2018 @ 12:40
tu es insomniaque ! c’est marrant mais d’autres pseudos le sont comme toi
Héloïse
10 novembre 2018 @ 18:25
Athina onassis jeune à divorce et son mari lui demande une fortune
Cosmo
10 novembre 2018 @ 18:29
Livanos, Stupre et Drogue, LSD, une vie d’héroïnes pas piquée des vers…
Robespierre
10 novembre 2018 @ 22:14
ce n’est pas tant la richesse qu’il faut blâmer mais le manque d’intelligence de certaines personnes très riches. Quand on a bcp bcp d’argent il vaut mieux avoir une tête bien faite, sinon c’est la porte ouverte à toutes les dérives. Je suis aussi intéressé de voir ce que deviennent les gens qui deviennent riches du jour au lendemain. Les sages s’en sortent bien et les gens bêtes déc….t.
Juba
10 novembre 2018 @ 23:33
Une belle histoire familiale aristocratique.
Cosmo
12 novembre 2018 @ 13:35
Vous avez un drôle de sens de la beauté…à moins que ce ne soit du seconde degré.
Inaara
13 octobre 2020 @ 22:57
Je suis totalement d’accord avec vous. Le travail, surtout de nos jours n’est épanouissant pour aucune femme, à moins d’être très haut placée. Celles qui disent le contraire n’ont sûrement jamais rien connu d’autre.