Publication inédite aux éditions Bartillat de « Lettres à une connue”, un roman de Natalie Clifford Barney. Ce livre est basé sur la relation entre Natalie Barney et Liane de Pougy à la fin du XIXe siècle. Leur relation a inspiré Liane de Pougy à écrire « Idylle saphique » et Natalie Barney à écrire ce texte passionnant.
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milou
28 août 2024 @ 16:35
Donc Stefan Zweig n’a pas inventé le titre… de son si merveilleux livre « Lettre d’une inconnue « ?
Aristocrate
29 août 2024 @ 13:36
Le livre de Natalie Barney n’ayant jamais été publié jusqu’à cette année, Zweig n’avait pas moyen d’en connaître le titre. Le plus probable est que le manuscrit n’avait pas de titre et l’éditeur lui a donné ce titre en référence à la nouvelle de Zweig, ou bien Natalie Barney elle-même, morte dans les années 1970, lui a donné ce titre après avoir lu la nouvelle de Zweig.
milou
29 août 2024 @ 16:03
Merci Aristocrate!
Christine
29 août 2024 @ 21:55
S’agit ici de « Lettre à une connue »
Stéphane G.
28 août 2024 @ 16:53
la photographie de couverture est une oeuvre de jeunesse, un instantané, une photo volée, de Jacques Henri Lartigue d’une de ces petites femmes qui parcouraient les contre-allées du bois de Boulogne vers 1914
Robespierre
29 août 2024 @ 15:18
Ah c’est pour ça qu’elle a cet air inquisiteur ?
MartineR
28 août 2024 @ 17:18
Un complément à ce livre: https://www.radiofrance.fr/franceculture/la-correspondance-amoureuse-de-natalie-clifford-barney-et-liane-de-pougy-5346638
Shabanou
28 août 2024 @ 17:25
Attaque cardiaque en vue pour les esprits fermés.
L’homosexualité féminine comme masculine a toujours existé et existera.
Et pour les esprits chagrins en quoi cela dérangent qui on aime tant que toutes les parties sont majeurs ?
Un bon livre relatant une belle histoire d’amour et ce dernier point me paraît le plus important.
Bastide
29 août 2024 @ 15:54
Tiens, ça dérange encore ici..
Marie-Caroline de Bretagne
29 août 2024 @ 16:00
D’accord avec vous Shabanou … J’ai lu il y a longtemps ‘Chère Natalie Barney’ de Jean Chalon – il en était proche, ainsi que sa biographie de Liane de Pougy. Je crois me souvenir que les deux femmes ont vécu une relation passionnelle.
Malthus
28 août 2024 @ 18:26
« Texte passionnant »… C’est un 4e de couverture qui le dit. Mais passionnant pour qui ?
Christian
28 août 2024 @ 20:09
Mouais, les amours saphiques 🙄😒😏😶
MartineR
29 août 2024 @ 14:26
Christian
Que voulez vous dire l’ amour simplement, hétéro, homo ou bi ….
Ça a toujours existé dans toutes les cultures et religions aussi…
Christian
30 août 2024 @ 15:19
Oui et alors ? Tout ce qui a toujours existe est une référence pour toujours ?.
Les C. ont toujours existe aussi.
Nini Plume
1 septembre 2024 @ 19:51
On peut difficilement nier le bon sens percutant de Christian.
Même si, moi, les homos, je les aime bien. Je ne comprends rien à leur truc mais il faut bien faire avec.
suzy
29 août 2024 @ 07:41
Bof, franchement, les relations entre Anne-Marie Chassaigne-Ghika et Natalie Barney, très peu pour moi. Anne-Marie Chassaigne a connu une véritable conversion à la fin de sa vie.
Robespierre
30 août 2024 @ 12:51
Je ne veux pas casser l’ambiance, mais lire des correspondances amoureuses, bi ou hétéro, c’est très ennuyeux. Je pensait me meubler un peu l’esprit en abordant une brique : la correspondance entre Albert Camus et Maria Casarès, et j’ai renoncé après une cinquantaine de pages. Ce n’était que des « je t’aime, tu m’aimes, on s’aime ». D’autant plus agaçant qu’il restait bien marié et faisait vivre un back street à l’actrice. Je préfère revoir « Les Dames du Bois de Boulogne » car l’actrice a une des plus belles voix que j’aie entendues. Je pourrais discuter des heures sur les voix que j’aime et n’aime pas dans le monde du cinema et du théâtre.
Nini Plume
1 septembre 2024 @ 19:31
Moi aussi, j’ai renoncé après une cinquantaine de pages, Rob. Exactement comme vous dites. Dégringolé du piédestal, le monsieur.
Robespierre
3 septembre 2024 @ 14:46
Ah ça me fait plaisir que vous ayez eu la même réaction que moi.
Christian
2 septembre 2024 @ 22:37
Lire la correspondance de Mitterand et d’Anne Pingeot….je l’ai préféré à Camus…