Parution chez Plon de « L’Irlandais de Bonaparte » qui retrace la vie du général Charlie Kilmaine qui fut choisi par le jeune Bonaparte pour être son bras-droit et qui devint son ami.
« Pourquoi Bonaparte choisit-il en 1796 l’Irlandais Charlie Kilmaine pour diriger sa cavalerie en Italie et son Bureau secret afin de renverser la république de Venise ? Du fait d’un pedigree exceptionnel ! Fils d’émigrés à l’origine du cognac en Charente, hussard à seize ans, Kilmaine a combattu, jusqu’à devenir général, sur les champs de bataille les plus glorieux : Yorktown, en Amérique, avec La Fayette, Valmy et Jemmapes pendant la Révolution.
Emprisonné par Robespierre, il a échappé de peu à la guillotine. L’Irlandais possède un sens inouï de l’intrigue et sait échapper aux pires conjurations y compris celles montées par son ami Bonaparte. Car il reste fidèle en amitié comme en amour. Même si son coeur balance entre sa femme irlandaise Susan, « la Petite hussarde », et la comtesse Eleonora Pellegrini, blonde espionne de Venise. Bientôt, en 1798, il mettra à exécution le rêve qu’il caresse depuis toujours : l’expédition à partir de Brest pour libérer à la fois l’Écosse et son Irlande natale.
« L’Irlandais de Bonaparte », Roger faligot, Plon, 2014, 500 p.
DEB
18 août 2014 @ 08:51
Il paraît qu’il a son nom sur l’arc de triomphe à Paris.
Il était à Valmy et Jemappes.
J’avoue n’avoir jamais entendu parler de lui, avant cet article.
COLETTE C.
18 août 2014 @ 11:08
Intéressant parcours ! Je découvre ce personnage !
Francine du Canada
18 août 2014 @ 13:20
Merci Régine; les romans historiques me plaisent bien et celui-ci est tentant. FdC
Palatine
19 août 2014 @ 07:25
c’est vraiment une mode dans l’édition de montrer des 1e de couverture avec un personnage à la tête coupée. J’ai acheté plusieurs livres ainsi, avec des reproductions de peintures avec une femme en vêtements anciens dont on montre la tronc sans tête. Tout en voyant de riches étoffes et des bijoux. Ici pour la première fois je vois un homme. Je me demande si c’est une façon d’évader les droits de reproduction ou l’autorisation. Comme toute les modes, ça passera.
Francine du Canada
19 août 2014 @ 18:03
Têtes coupées ou flouées mais… ça m’agace autant que vous. FdC