Parution en mars 2021 du roman « L’œuvre de Napoléon« . En voici le résumé : « Napoléon ne s’est pas ennuyé à Sainte-Hélène, il y paracheva secrètement l’un de ces grands poèmes qui fondent la dignité humaine. Une oeuvre élaborée au long et en marge de sa célèbre carrière; et que la malveillance fit disparaître. Chateaubriand seul devina sous le « Dieu de la guerre » un être contemplatif, notant : « Il n’eût pas été ce qu’il était, si la muse n’eût été là. »
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Pascalavecunchampignon
6 février 2021 @ 09:36
C’est vrai qu’il y a eu sans doute plusieurs Napoléon 1er et que le plus intéressant qui était presque un érudit ou un savant n’est peut être pas celui dont on parle le plus .
Kalistéa
6 février 2021 @ 19:29
c’est vrai Pascal !
Julia
6 février 2021 @ 09:54
Regardez les chaussures : elles sont si fines.
Je me demande comment les hommes de cette époque faisaient pour marcher avec des chaussures si fines et si basses.
On dirait pratiquement des ballerines de femme.
Caroline
6 février 2021 @ 22:41
Julia,
Ce sont certainement des chaussures en cuir fin sur mesure !
Julia
7 février 2021 @ 10:56
Oui, certainement : le cuir devait être vraiment très fin et très souple, pour des chaussures réalisées sur mesure..
Pistounette
6 février 2021 @ 10:53
J’ai tous les livres de Jean Tulard traitant de Napoléon sous toutes ses formes, et je suis un peu sceptique devant cette avalanche de livres sur le sujet cette année.
Bien sûr l’occasion (200 ans de sa mort) s’y prête, mais je me cantonne (et reste fidèle) à celui qui, à mes yeux, est le spécialiste.
Mais on peut, bien sûr, avoir un avis différent ! 🙄😏🤣
Kalistéa
16 février 2021 @ 20:33
Jean Tulard c’est parfait, Pistounette … si on veut bien admettre toutefois que la perfection n’est pas de ce monde . Le conférencier Jean Tulard est incomparable.
Gérard
6 février 2021 @ 13:16
Il s’agit ici d’une partie d’un tableau : Sainte Hélène 1816 : Napoleon dictant au comte Las Cases le récit de ses campagnes, par Sir William Quiller Orchardson (1832-1910), 1892, conservé aux National Museums Liverpool.
On doit également à cet artiste une toile bien connue Napoléon à bord du Bellerophon (Tate Britain).
ciboulette
6 février 2021 @ 16:22
Quelle maladie de toujours représenter l’empereur , certes vaincu , en vieillard ventripotent et dépouillé de tout ! A la veille de sa mort, peut-être , mais il me semble qu’il a toujours gardé sa dignité !
Gérard
7 février 2021 @ 20:00
Mais il n’a pas perdu sa dignité. Il souffre à tous les points de vue mais il a une mémoire phénoménale des champs de bataille et vérifie toutes les cartes qu’il étale par terre parce qu’on ne sait pas où les mettre tandis que Las Cases écrit.
Kalistéa
16 février 2021 @ 20:39
Lorsque Las Cases fut prié de regagner l’Europe par Hudson Lowe, c’est madame de Montholon qui prit la dictée des mémoires de l’Empereur chaque après- midi. ( d’où la supposée liaison du proscrit avec cette dame , dont on n’a naturellement aucune preuve .)