Leur relation commence par une rencontre fortuite lors d’un drame musical, menant à une histoire d’amour passionnée et complexe.
Von Arnim explore des thèmes tels que l’âge, les attentes sociétales et la nature de l’amour avec son humour et sa perspicacité caractéristiques. Le roman plonge dans les luttes internes de Catherine et les jugements de la société, en faisant une lecture poignante et réfléchie.
Pour rappel, Elizabeth von Arnim, née Mary Annette Beauchamp le 31 août 1866 à Sydney, en Australie, était une romancière britannique. Elle a grandi en Angleterre et a étudié la musique au Royal College of Music.
En 1891, elle épouse le comte Henning August von Arnim-Schlagenthin, un aristocrate prussien. Après la mort de son premier mari, elle a eu une liaison avec l’écrivain H.G. Wells et a ensuite épousé Frank Russell, frère du philosophe Bertrand Russell .
Elle est surtout connue pour ses romans « Elizabeth et son jardin allemand » et « The Enchanted April ». Ses œuvres sont souvent caractérisées par un humour subtil et une critique sociale perspicace.
Elizabeth von Arnim a écrit sous le pseudonyme Alice Cholmondeley pour un seul roman, « Christine », publié en 1917. Elle est décédée le 9 février 1941 à Charleston, en Caroline du Sud, aux États-Unis.
Italie
20 août 2024 @ 04:01
« Love », l’un des plus beaux romans d’Elizabeth von Arnim, avait déjà bénéficié d’une magnifique traduction par le poète Bernard Delvaille en 1999 chez Salvy éditeur.
Bastide
20 août 2024 @ 05:40
Ses textes me font penser à ceux d’Édouard von Keyserling : comme écrits par un spectateur étonné.
Passiflore
20 août 2024 @ 06:45
Je me demande si le premier mari d’Elizabeth était proche parent d’Achim von Arnim, le poète romantique prussien qui fit partie du Cénacle romantique de Heidelberg avec son beau-frère Clemens Brentano ?
septentrion 🍀🍀🍀
20 août 2024 @ 13:26
Bonjour Passiflore,
Je pense que vous avez raison. Clemens Brentano que la grande (demi) sœur de Marie D’Agoult, Auguste força à l’épouser. Auguste tante de Cosima, future épouse (seconde) de Wagner.
Giséle
20 août 2024 @ 07:18
J’avais lu « Avril enchanté « et beaucoup aimé ce livre. Ce qui m’avait donné envie de le lire était le film, un régal, vu auparavant. Je n’ai jamais retrouvé ce film en DVD, et il n’a jamais été rediffusé. Si quelqu’un a une piste pour se le procurer.
Mademoiselle Heloïse
20 août 2024 @ 11:25
Bonjour Gisèle,
Je viens de regarder sur Amazon et il y a deux versions du film disponibles.
J espère que vous y trouverez votre bonheur.
Heloïse
Giséle
20 août 2024 @ 12:20
Merci beaucoup, je vais regarder. Je pense que je cherche la version la plus récente mais je vais vérifier.
Ludovina
20 août 2024 @ 07:50
Elle était la seconde épouse de Henning August (1851-1910) Graf (comte) von Arnim.
Sa 1ère épouse Anna, Gräfin (comtesse) von Törring-Jettenbach (1863-1888), décédée 2 ans après le mariage, issue d’une maison médiatisée, était la sœur puînée de Hans Veit (1862-1929), chef de la maison précitée, époux de Sophie (1875-1957), Herzogin (duchesse) in Bayern, sœur de Sissi.
5 enfants étaient issus de l’union d’Elisabeth et d’Henning : 4 filles et 1 garçon.
L’une de leurs arrière-petites-filles, Katharina Barbara, Gräfin von Podewils-Dürniz
née le 23/12/1963 est l’ex-conjointe de Bernhart, Fürst (prince) zu Sayn-Wittgenstein-Hohenstein né le 15/11/1962, chef de la lignée de cette autre maison médiatisée : Sayn-Wittgenstein, et mère du prince héritier Wenzel né le 18/10/1997.
Le père de Bernhart, Christian Heinrich (1908-1983) avait été adopté en 1948 par August (1868-1948) chef de la branche Sayn-Wittengenstein-Hohenstein.
Christian Heinrich était le frère cadet de Gustav Albrecht (1907-1944), grand-père de Gustav, actuel chef de la branche Sayn-Wittgenstein-Berleburg (fils de Benedikte de Danemark)
septentrion 🍀🍀🍀
20 août 2024 @ 13:17
Bonjour Ludovina,
La duchesse en Bavière, née en 1875, que vous citez était une nièce d’Elisabeth (Sissi).
Merci pour vos interventions sur les généalogies, toujours pleines d’intérêt.
J’espère que vous allez bien et je vous souhaite une belle après-midi.
Cordialement Florence.
septentrion 🍀🍀🍀
20 août 2024 @ 13:31
Je voulais écrire la duchesse Sophie en Bavière, enfant du duc Charles-Theodore.
Ludovina
20 août 2024 @ 16:50
Oh là là, grand merci Septentrion d’avoir rectifié mon erreur : en effet c’était la 2ème fille de Karl Theodor, frère puîné de Sissi.
Vous retrouver est un immense plaisir.
Amitiés et bonne semaine
septentrion 🍀🍀🍀
22 août 2024 @ 17:25
Bonjour Ludovina,
J’espère que vous n’avez pas mal pris mon commentaire, c’était aussi une occasion de pouvoir vous saluer.
Et comme nous ne sommes pas encore en Corée du Nord sur N&R (😱), oui pendant que l’on peut encore s’intéresser aux détails d’une généalogie quelle qu’elle soit je le fais ! Je pense que se pencher sur une généalogie princière ou non c’est toujours s’approcher de l’Histoire, la Vraie.
Bien à vous Florence
Ludovina
23 août 2024 @ 15:00
Bonjour septentrion
Au contraire, je vous remercie : j’avais précédemment écrit sur une autre rubrique que je n’étais pas exempte de commettre des erreurs.
Je vous souhaite un bon week-end et je vous envoie une pensée d’Auvergne, ma région natale.
Joelle Iemma
20 août 2024 @ 16:11
Mais comment peut-on s’intéresser à des détails généalogiques aussi peu intéressant ?
Cela n’apporte rien à l’histoire, la Grande, la Vraie.
Ludovina
21 août 2024 @ 11:23
Si nos commentaires ne vous conviennent pas, abstenez-vous de les lire et surtout faites preuve de tolérance à l’endroit de ceux qui son intéressés. Votre jugement à l’emporte-pièce et vos certitudes quant à l’Histoire, la vraie, selon votre affirmation, dénotent une condescendance mal placée et déplorable.
Elisabeth-Louise
20 août 2024 @ 08:08
J’ai lu d’elle « Avril enchanté » ; lecture agréable qui ne m’a cependant pas laissé un souvenir marquant…..
Robespierre
20 août 2024 @ 08:50
je ne lis pas de romans parce que je trouve la vie réelle tellement plus intéressante. Je pensais ce matin à Simenon. Il a pondu deux briques, deux récits autobiographiques, qui sont plus étonnants que ses romans. Ajoutons à cela un petit livre oublié de sa seconde épouse et qui répond à des critiques de la première « brique » et on voit un personnage complexe, saisissant, qu’il n’a jamais mis dans ses ivres. Il parle aussi de ses enfants, et cela aussi est intéressant.
Des ces deux briques, il m’en reste une et je crois que je vais relire cela à la Réntrée.
Solenn
20 août 2024 @ 11:33
Je suis un peu comme vous Robespierre mais en ce moment, je lis un roman tiré d’une histoire vraie…et me rappelant la vie de ma grand-mère fin du XVIIII ème siècle en Bretagne. Je n’en suis qu’au début… » La goelette du Tregor » je verrai si bien écrit et prenant.
Kamila
21 août 2024 @ 10:10
Puisque l’on est dans le coin lecture, je lis en ce moment « Les dames de nage » de Bernard Giraudeau. Il a plusieurs cordes à son arc et comme il a été marin, il est beaucoup question de voyages dans ses écrits. Rochelais, il s’est engagé très jeune dans la Marine Nationale. Je suis fascinée par cette côte Atlantique qui a donné des navigateurs qui ont permis la découverte et la conquête du Nouveau Monde.
De même qu’ Olivier de Kersauson, il ont souvent une belle plume.
L’été, comme je travaille, j’aime lire des récits de voyages ; j’ai l’impression de boulinguer avec les auteurs !
Muscate-Valeska de Lisabé
23 août 2024 @ 18:14
Il manque des bijoux à cette dame des années passées pour sublimer la couverture .
Isabelle Marie
24 août 2024 @ 14:44
Personnalité originale et pétillante ; l’écriture d’E von Arnim est tout en nuances comme la vie, douce et amère à la fois. J’avais lu aussi avec plaisir « En caravane » et « L’été solitaire ». En revanche, « Avril enchanté », « Father » et « Christopher et colombus » m’ont un peu ennuyée.