Sortie début novembre 2017 de ce très bel ouvrage consacré à la Maison Worth (1854-1954) ou la naissance de la Haute couture par Chantal Trubert-Tollu, Françoise Tétart Vittu, Jean-Marie Martin-Hattemberg, Fabrice Olivieri. Worth dont l’impératrice Eugénie fut l’une des plus fidèles clientes.En voici le descriptif : « Cet ouvrage retrace le parcours de Charles Frederick Worth, un homme visionnaire. Cet Anglais, arrivé jeune à Paris, qui ose se lancer dans la mode féminine, et qui aujourd’hui est universellement reconnu comme le « père » de la haute couture. Il a contribué à faire de Paris la capitale mondiale de la mode.
Ses descendants ne démentirent pas sa réputation, et cela sur près de quatre générations ! Ainsi Charles Frederick et son épouse Marie, puis Gaston et Jean-Philippe leurs fils, Jacques et Jean-Charles les fils de Gaston, Maurice et Roger les fils de Jacques, toujours en binôme, ont forgé, grâce à des créations fortes, le succès du nom et la pérennité de cette grande maison, pendant près d’un siècle.
Ce magnifique ouvrage présente sous un angle inédit une saga familiale faite de mode, de parfum, d’architecture et d’histoire, la grande et la petite, grâce à des sources jamais exploitées à ce jour (archives familiales, objets personnels, robes et accessoires, flacons de parfum…) ainsi que des sources conservées dans les musées les plus prestigieux, aux quatre coins du monde.
A ce jour, c’est la première monographie – dont l’une des auteurs est descendante du grand couturier – sur l’histoire de la Maison Worth. »
« La Maison Worth 1858-1954. Naissance de la Haute Couture », Chantal Trubert-Tollu, Françoise Tétart Vittu, Jean-Marie Martin-Hattemberg, Fabrice Olivieri, La Bibliothèque des Arts, 2017, 364 p.
ml
19 octobre 2017 @ 05:12
Sublime robe et couverture!
ml
Francois
19 octobre 2017 @ 05:17
Il etait temps de rendre hommage à cette maison de couture
Qu ´ eussent été les fêtes impériales sans la féerie des tenues
de Wort
On ne reculait devant rien pour éblouir
Le fameux tableau de Xavier Wintheralter en est la quintessence
Leonor
19 octobre 2017 @ 08:28
Or donc, la haute couture française fut initiée par un Anglais. Mais c’est ma foi bien vrai. Un Anglais …
Mélusine
20 octobre 2017 @ 16:22
Oui, mais c’est à Paris qu’il doit sa carrière et sa célébrité… Hé hé !
Danielle
19 octobre 2017 @ 09:28
La couverture de ce livre donne l’envie immédiate de l’acheter.
Erato
19 octobre 2017 @ 10:13
Vite,vite il faut lire et parcourir ce livre.
Rien que la robe en couverture est un invitation au rêve.
clement
19 octobre 2017 @ 10:37
Roi de la haute couture de l’époque ,il a fait virevolter les taffetas et les dentelles …. ce livre doit être très intéressant !
bianca
20 octobre 2017 @ 09:04
Comme vous, je pense que cet ouvrage doit présenter un grand intérêt ! Le premier grand couturier de notre époque !
COLETTE C.
19 octobre 2017 @ 14:16
Existe-t-il encore des vêtements Worth que l’on peut voir dans un musée en France ?
JAusten
19 octobre 2017 @ 18:18
je n’ai pas l’impression. Dommage
https://www.google.fr/search?q=worth+dresses&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwjzlMuOmP3WAhXIL1AKHcjbAIIQ_AUICygC&biw=1366&bih=638#imgrc=_
bianca
20 octobre 2017 @ 09:05
Grand merci JAusten de ces images et de toutes ces splendeurs révélées par vos soins !
chiffonnette
20 octobre 2017 @ 13:35
Une robe qui vient d’être restaurée est exposée jusqu’à dimanche:
http://www.lexpress.fr/styles/mode/restauration-aux-arts-deco-la-renaissance-d-une-robe-worth_1944680.html
Le palais Galliera en possède plusieurs présentées lors d’expositions temporaires . L’extraordinaire « Robe aux Lys » a été présentée avec bien d’autres lors de l’exposition en 2015/2016 ( La Mode retrouvée. Les robes trésors de la comtesse Greffulhe .)
Mélusine
20 octobre 2017 @ 16:25
Oui Colette.
On peut voir des robes de Worth au Palais Galliera, musée de la mode à Paris.
ciboulette
19 octobre 2017 @ 15:18
Un livre sans doute merveilleux !
Mary
19 octobre 2017 @ 15:31
It worth it !
Carole 007
19 octobre 2017 @ 18:53
Magnifique couverture, en effet.
Je me souviens de son parfum « Je reviens ».
Gérard St-Louis
19 octobre 2017 @ 21:07
Ma mère de 91 ans porte le parfum « Je reviens » de cette ancestrale maison de couture. J’ai de plus en plus de difficulté à lui en trouver au Canada. La dernière fois, ce fut dans une parfumerie de la Place Vendôme.
Leonor
20 octobre 2017 @ 00:48
Gérard, on en trouve sur Internet ; moins glamour mais plus efficace que la place Vendôme.
Gérard St-Louis
20 octobre 2017 @ 12:05
Merci mais j’ai toujours peur des contrefaçons.
Leonor
20 octobre 2017 @ 00:48
Gérard, on en trouve sur Internet ; moins glamour mais plus efficace que la place Vendôme.
chicarde
20 octobre 2017 @ 16:45
Oui, superbe couverture !! Quelle magnifique robe !!
Michèle Lobre
22 octobre 2017 @ 22:11
Comme disaient les élégantes « oui ma Chère Worth a tue la crinoline »
cubier
24 janvier 2018 @ 12:30
UN Worth a épousé une ISCOVESCO (laboratoire ISCOVESCO PARIS).
Savez-vous lequel?
nc
cubier
24 janvier 2018 @ 12:31
un WORTH a épousé une ISCOVESCO( laboratoires Iscovesco Paris) Savez-vous lequel? merci