Parution de ce livre « Malmaison, palais d’une impératrice« . En voici le descriptif : »Le livre sur la Malmaison ! Les conservateurs de la Malmaison réalisent, sur des documents d’archives et un somptueux reportage de photographique de Guillaume de Laubier un ouvrage de référence. Un livre sur un sujet quasiment jamais traité.
Une évocation émouvante de Joséphine au travers de ses choix dans la décoration de la Malmaison. Un texte réalisé par les meilleurs connaisseurs de la Malmaison, ses conservateurs. Un reportage photographique exceptionnel avec une introduction historique puis promenade commentée et illustrée dans les différentes pièces (ouvertes à la visite ou non) de la Malmaison.
« Malmaison, palais d’une impératrice », Isabelle Tamisier-Vetois, Editions Des falaises, 2017, 130 p.
Muscate-Valeska de Lisabé
19 novembre 2017 @ 11:10
J’ai visité la Malmaison plusieurs fois quand je vivais en France,et j’ai vraiment le sentiment que le sujet justement,par la littérature,a été traité abondamment. ..^^.
Diana,Grace,Wallis,et maintenant Joséphine…dernier fantôme royal et féminin en date à être convié sous le sapin des familles pour rémunérer les radotages des écrivains qui reprennent sempiternellement les mêmes refrains…^^
ciboulette
19 novembre 2017 @ 17:51
Je pensais bien, chère Muscate , que le sujet allait vous intéresser . Vous m’avez fait une fois une évocation très émouvante de ce lieu et de son occupante .
Marcel
19 novembre 2017 @ 12:37
Je vois que l’on parle beaucoup plus souvent de l’impératrice Joséphine qui a fait énormément pour la France que Marie-Louise la seconde épouse de Napoléon I
LPJ
19 novembre 2017 @ 18:33
Marie-Louise avait déjà le handicap d’être née étrangère. Arrivée en France dans la dernière partie du règne de Napoléon 1er, elle quitta le pays dès la chute de l’Empire. Elle ne suivit pas son mari en exil et parut se désintéresser de son fils. Tout cela ajouté au mythe qui se développa autour de l’Empereur fit qu’elle fut au mieux oubliée au pire détestée.
Pour Joséphine ce fut tout autre chose. Ce fut le grand amour de Napoléon. Malgré ses défauts elle fut un personnage aimé par les Français. Dans l’imagerie populaire elle resta l’impératrice malgré le divorce. De plus Napoléon III était son petit-fils et put donc raviver la flamme du souvenir.
COLETTE C.
19 novembre 2017 @ 14:47
Ce livre doit être passionnant. J’ai visité La Malmaison, c’est un lieu qui a une âme.
galaxie20
19 novembre 2017 @ 16:14
J’ai eu la chance de visiter La Malmaison il y a plusieurs années. L’endroit était fort beau et reposant tout en étant proche de Paris. Un havre de paix.
bianca
20 novembre 2017 @ 17:44
J’ai aussi visité La Malmaison et ses jardins, déçue car l’été brûlant m’a privée de ses jardins paraît-il si beaux !
Olivier Kell
21 novembre 2017 @ 14:03
Il ne reste plus grand chose du parc d’origine qui avait une superficie de 260 hectares
Actuellement seulement 6 hectares !!
Francois
19 novembre 2017 @ 16:47
L’impératrice Joséphine avait beacoup de goût
Elle perpétuait la douceur de vivre de l’ancien régime
Une anecdote par rapport à ses innombrables factures à payer
n’a jamais laissé de me faire sourire
À un décorateur qui lui présentait des croquis elle dit
Que ce soit simple
Je paierai plus mais surtout que ca fasse simple
Car l’empereur bien sûr n’était pas satisfait de ses dépenses somptuaires
Pascal
20 novembre 2017 @ 12:05
Cette répartie ne me surprend pas et me plaît beaucoup .
Je pense en effet qu’il est souvent , sinon toujours plus coûteux , du moins plus compliqué en matière de jardin ou de décoration de « faire simple » .
Mais malheureusement je crains que les conservateurs ne puissent jamais faire revivre les jardins , les serres , les volières qui étaient paraît-il exceptionnels au temps de leur créatrice.
Lors de la guerre avec les Anglais , Joséphine réussissait à se faire livre des plantes en provenance du Royaume-Uni malgré le blocus , tant était vive sa passion pour les plantes.
La plante emblématique du Chili , une plante grimpante qui fait de très jolies fleurs , lui a été dédiée : Lapageria rosea.
Francois
20 novembre 2017 @ 17:10
Vous avez absolument raison
Le simple en décoration demande une précision extrême
Donc beacoup pus de temps
Le chargé permet de masquer facilement un défaut etc
Des murs de travers des plafonds pas tres droits
Mais des que l’on épure beaucoup d’éléments deviennent difficiles
clement
19 novembre 2017 @ 19:26
Oui ce lieu a une âme , on le sent habité ; dans le silence et le calme d’un salon,on a l’impression que Joséphine va apparaître et jouer de la harpe ….. on imagine sans peine sa silhouette dans le parc au détour d’un buisson de roses…..il se dégage une mélancolie inexplicable quand on quitte le domaine ….
bianca
24 novembre 2017 @ 16:15
En voyant quelques uns de ses vêtements exposés elle devait être de petite taille et menue…
framboiz 07
20 novembre 2017 @ 01:41
Joséphine, qui a beaucoup dépensé , plus que Marie-Antoinette ?
Si c’est le cas ,c’est étrange de voir qu’elle reste très sympathique aux Français,plus que Marie-Antoinette , sans doute à cause des raisons évoquées par LPJ, mais aussi ,à cause de ses tristes amours :Se sacrifier pour rien finalement …Puisque Napoléon perdit son trône …
La même histoire que Soraya , toujours appréciée, elle aussi …
Philippe Gain d'Enquin
21 novembre 2017 @ 08:20
T’as vu Yton une maison où l’on aime déposer ses bagages et les beaux harnais de nos chevaux… Hélas Yton réalise son séjour sera court, attendu qu’il est à Ostende où il doit prendre « la malle », la bonne, pour regagner l’Albion. La morale de l’histoire, quelle idée eut il de visiter ce sublime lieu un jour de Sainte Hélène ? Notre héro se tressant les lauriers du martyr s’efface de nos mémoires, mais pas ses malles !!!
Pascal
21 novembre 2017 @ 12:32
D’après un livre de J.P. Kauffmann (la chambre noire de Longwood) après Waterloo Napoléon et dans l’attente du sort qu’on lui réserverait , Napoléon passa une dernière journée (nuit?) à la Malmaison .
Peut être pour le souvenir de Joséphine mais peut être aussi parce qu’il appréciait lui aussi cette maison et son charme ?
Peut être aussi parce qu’elle marquait le temps de sa splendeur.