C’est l’année du centenaire Marcel Proust et, quoi de plus chic d’avoir pour guide Elisabeth de Gramont pour mieux comprendre le personnage de Proust et son oeuvre.
Elisabeth de Gramont, c’est en fait Elisabeth de Clermont-Tonnerre (1875-1954). Surnommée la duchesse rouge, elle a choqué la société de son temps par son indépendance amoureuse et sexuelle et par ses opinions politiques proches du marxisme et du Front populaire.
Le grand intérêt de ce livre est qu’Elisabeth de Gramont fut une des premières à montrer combien « La recherche » est une oeuvre autobiographique. Familière du monde dans lequel Marcel Proust a puisé son inspiration pour composer sa cathédrale littéraire, elle v donne plusieurs clés pour identifier les personnages. Et elle avoue enfin avoir été un des modèles pour la duchesse de Guermantes. Un essai passionnant.
« Marcel Proust », Elisabeth de Gramont, Bartillat, 2022, 300 p.
Antoine
26 janvier 2022 @ 01:38
Elisabeth de Gramont se fait mousser en prétendant être un des modèles de la duchesse de Guermantes. Elle n’était ni assez flamboyante ni assez élégante. Ce sont la comtesse Greffulhe et, dans une moindre mesure, la comtesse Adhéaume de Chevigné qui sont les modèles d’Oriane de Guermantes. A noter que toutes ces belles dames n’accordaient à Proust qu’un intérêt lointain lorsqu’il allait encore dans le monde. Le succès venu, c’était à qui se targuerait d’avoir inspiré l’auteur, de préférence pour les personnages les plus élégants. Robert de Montesquiou, qui s’était reconnu dans le baron de Charlus, était moins emballé…
Bambou
26 janvier 2022 @ 06:34
Encore un livre sur Marcel Proust mais son histoire vue » de l’intérieur » peut être intéressante…!
miloumilou
26 janvier 2022 @ 06:51
J’hésite toujours avec ce genre de livre….
Chacun à ses images avec Proust!
Charlotte (de Brie)
26 janvier 2022 @ 07:02
Il a aussi été beaucoup dit que l’une des muses de Marcel Proust, fut la comtesse Greffuhle, née Elisabeth de Caraman-Chimay.
Elisabeth de Gramont ou Clermont-Tonnerre, elle signait alternativement l’un ou l’autre, a fait partie du monde de Marcel Proust, son demi-frère le duc de Guiche étant un grand ami de l’écrivain.
« Marcel Proust » paru en 1948 reprend tout ce qu’elle a écrit dans les quatre tomes de ses « Mémoires »entre 1928 et 1935 sur » A la recherche du temps perdu » notamment dans le tome 2 : » Les marronniers en fleurs » Ca ne vous rappelle rien ?
Antoine
27 janvier 2022 @ 10:27
Vous faites bien, Charlotte, de rappeler les mémoires d’Elisabeth de Gramont qui constituent un régal de lecture facile. Le style est enlevé et on y apprend tout sur le mode de vie de la haute aristocratie au début du XXe siècle. Rappelons que le duc de Guiche a épousé Hélène Greffulhe, la fille unique de la comtesse. Proust offrit à son ami des pistolets de duel comme cadeau de mariage. A l’époque, cela n’avait rien d’original.
Antoine
27 janvier 2022 @ 10:30
Elaine Greffulhe, contrairement à sa mère, était très effacée et n’aspirait qu’à la discrétion. Quant aux pistolets, j’ignore s’ils ont servi un jour.
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 21:55
Curieuse idée de cadeau ! y aurait-il eu un message codé dans ce présent ?
Malthus
26 janvier 2022 @ 08:39
« …un des modèles… ». C’est elle qui le dit.
Beque
26 janvier 2022 @ 10:25
A propos d’Elisabeth de Gramont, André de Fouquières écrit :
« Un vaste public aussi a été conquis par les ouvrages d’Elisabeth de Gramont – ainsi signe la duchesse de Clermont-Tonnerre. Elle fut l’amie de Barrès, de Bourget et d’Anatole France, elle a réussi le tour de force de donner une version satisfaisante en notre langue des poèmes de Keats ; elle s’est intéressée à l’art des jardins avec un goût et une compétence que les techniciens les mieux avertis reconnaissent ; son érudition en matière de gastronomie est fameuse et elle a signé le livret d’un des plus beaux parmi les ballets actuellement au répertoire de notre opéra : « Le Chevalier Errant ». Quant à ses mémoires : « Au temps des Equipages », ils connurent un succès qui dépasse de loin celui réservé d’ordinaire à ces sortes d’ouvrages. Tous les admirateurs de Marcel Proust enfin, gardent dans leur bibliothèque les pages qu’elles a écrites sur le grand romancier disparu.
Nous n’irons plus dans son hôtel qui jouxtait l’illustre « Maison de Balzac » rue Raynouard, et où je me souviens d’avoir jadis écouté avec ravissement un beau concert de musique ancienne. Sur les terrasses fleuries du jardin suspendu, je contemplais ce panorama de Paris et je tentais de retrouver dans ma mémoire l’Auteuil tel qu’il était naguère….
Beque
26 janvier 2022 @ 10:29
De son côté, Gabriel-Louis Pringué écrit : « La duchesse de Clermont-Tonnerre me raconta un jour que son père se rendait à Chantilly dans un wagon bondé de femmes élégantes. Quatre dames connues de lui s’y rendaient et bavardaient beaucoup. Une cinquième d’aspect effacé, observait, se taisait. Le duc d’Aumale habitait à cette époque le château de Chantilly. Ces dames se vantaient toutes d’avoir, qui l‘altesse royale à dîner, qui de l’avoir à déjeuner, qui de l’avoir à goûter un de ces jours à venir. Tout d’un coup la dame silencieuse s’ écria « eh bien, je couche avec Son Altesse ce soir. » C’était Léonide Leblanc, liaison du duc d’Aumale ».
Aldona
27 janvier 2022 @ 09:32
Beque, merci pour ce passage, et j’aime encore plus la chute de ce passage
Beque
27 janvier 2022 @ 14:38
Merci, Aldona, je peux continuer à vous faire rire en vous disant ceci :
Léonide Leblanc (1842-1894), dite Mademoiselle Maximum, était comédienne et courtisane. Elle se plaignait de la pingrerie de son protecteur le plus célèbre : « Ces Orléans, vous ne les connaissez pas : ils en sont restés aux prix d’avant 48 ! ». Et Clemenceau disait d’elle : « Placez-là au sommet du Mont-Blanc, je crois qu’elle y sera encore très accessible ».
Aldona
27 janvier 2022 @ 20:00
Oh , merci Beque, j’ai bien ri ! J’apprécie le sens de la répartie de ces personnes
Leonor
26 janvier 2022 @ 10:44
Attention, coming out :
Proust me barbe au dernier degré.
Je sais, je sais, on est censé admirer, encenser, se pâmer d’admiration etc etc.
On est censé dire » La Recherche », en abrégé comme si on n’avait jamasi fréquenté que cette oeuvre-là dans la vie . Dire » La reherche » au lieu du titre complet, c’est un snobisme comme un autre.
Bon, allez Marcel, je t’ai bien lu. J’ai même fait l’effort ( dur, dur), de te relire, comme il est de bon ton de le dire
( tout le monde » relit », en ce moment, à croire que les gens sont nés en ayant lu toute la littérature dans le sein de leur mère). Donc, j’ai lu, évidemment, voire relu. Mais qu’est-ce que je me suis ennuyée !
Allez, mes haters habituels, pouvrez me taper dessus, si ça vous fait du bien.
Je laisse Marcel dans son lit avec son thé, sa madeleine et son nombril, et je retourne à d’autres amours .
Camille
26 janvier 2022 @ 21:09
J’ai dû lire un texte de Proust en classe il y a une bonne quinzaine d’années et je compte en rester là.
Nini Plume 🌻
26 janvier 2022 @ 22:10
Léonor, je vous comprends. Il m’a fallu des années et des années de tentatives infructueuses et de poings sur la table de découragement pour enfin me laisser ensorceler par « La Recherche » (ce raccourci du titre va, aussi, tout simplement plus vite à dire).
J’ai trouvé en Marcel Proust un complice, comme dans cette phrase que j’aime tant : « Quand, plus tard, j’ai eu l’occasion de rencontrer au cours de ma vie, dans des couvents par exemple, des incarnations vraiment saintes de la charité active, elles avaient généralement un air allègre, positif, indifférent et brusque de chirurgien pressé, ce visage où on ne lit aucune commisération, aucun attendrissement devant la souffrance humaine, aucune crainte de la heurter, et qui est le visage sans douceur, le visage antipathique et sublime de la vraie bonté. »
Si j’osais, je dirais que Pascal pourrait aussi ne pas être insensible à cette phrase.
Pascal avec un champignon
29 janvier 2022 @ 10:40
Suis-je le Pascal en question?
Si oui , je suis touché et un peu gêné que vous m’ayez si bien deviné !
Je suis en effet sensible à cette phrase et elle correspond très bien à quelques personnes que j’ai pu rencontrées ou dont j’ai entendu parler .
Dans un monastère par exemple !
Je n’ai lu que » La Recherche » , je l’ai même en livre audio que j’avais acheté pour égayer un voyage en voiture un peu long , ce qui rend cet ouvrage attachant selon moi c’est certes le souci de précision de Proust pour les descriptions botaniques , le fait que curieusement il y décrie un monde que je n’ai absolument pas connu mais qui par certains détails me rappelle celui de mon enfance (peut-être plus sa partie onirique que réelle ) et surtout comme vous le soulignez son talent extraordinaire pour l’introspection et la peinture psychologique.
Les aubépines…les nénuphars…les asperges…les tantes qui se torturent la cervelle pour remercier Swann pour une caisse de vin , la lanterne magique et surtout le merveilleux » Mon Dieu , combien de vertus vous nous faites haïr » .
Proust est pour moi celui qui sait si bien décrire des sentiments , des impressions que nous n’arrivons nous mêmes pas à percevoir nettement .
Mais je n’ai lu que » La Recherche » .
Les spécialistes nous diront-ils si le reste de son oeuvre est aussi brillante ?
Marjolaine
30 janvier 2022 @ 02:01
Quelle excellente illustration de l’art de Proust vous nous offrez, Nini Plume, dans le passage que vous citez. Proust, c’est l’écriture à la recherche d’elle-même. La Recherche, c’est la recherche du mot juste, et comme le mot juste n’existe pas, cent fois sur le métier il remet son ouvrage, bien qu’il faille reconnaitre que nonobstant Boileau il ajoute beaucoup plus qu’il n’efface. N’empêche : dans cet extrait, entre l’exemple tiré de sa vie, son don d’observation, le souci de précision, l’analogie inattendue, le passage des adjectifs concrets vers des substantifs abstraits, le crescendo de négatifs, une progression toujours plus menaçante jusqu’au dénouement paradoxal, pirouette finale, on serait tenté d’appeler cela un tour de force sauf que pour Proust, ce feu d’artifice est naturel et presque continu. Proust nous apprend à voir plus que n’importe quel autre écrivain, son écriture nous force à voir autrement, à transfigurer, à faire de notre vie un double, un triple, comme la perspective sur le clocher de Saint-Hilaire. Je dis ‘voir’ ici dans son sens le plus concret, par exemple je considère Proust comme un excellent maître de la prise de vue photographique. Merci, Nini Plume, cela fait longtemps que je n’ai pas lu Proust, vous m’en redonnez le goût.
Menthe
26 janvier 2022 @ 22:39
Léo, je vous tiens la main face aux haters sur ce coup.
Caroline
26 janvier 2022 @ 23:57
Aaah ! La madeleine de Proust !
On aime répéter chez nous cette expression si on déguste autre chose en évoquant nos bons souvenirs de jeunesse !
Antoine
27 janvier 2022 @ 14:38
Je pense que le succès de la madeleine provient essentiellement du fait qu’elle apparaît dans les premières pages de l’oeuvre. Pour les autres morceaux de bravoure, il fallait avoir lu la suite…
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 16:26
La madeleine qui était je crois me souvenir une biscotte… que son grand-père lui donnait à manger après l’avoir trempée dans son thé.
Comment la biscotte est-elle devenue madeleine, telle la citrouille devenue carrosse ? là réside tout le mystère de la mémoire. Proust a fait un rapproché entre la madeleine avec une tasse de thé chaud que lui apporta sa mère un jour où il avait pris froid et dont quelques miettes tombèrent dans sa cuiller, avec Tante Léonie trempant un morceau de gâteau dans son thé, et lui en donnant à manger, on arrive au grand-père…
Mais aller rechercher dans les tiroirs de la mémoire, une biscotte ! quand on est Marcel Proust, écrivain de la nostalgie romanesque ! et puis vous vous voyez vous attendrir devant « la biscotte de Proust ? »
Et puis franchement,
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 16:28
Le « et puis franchement » s’est fourvoyé, à la rigueur il peut se glisser après le dernier point d’exclamation.
miloumilou
27 janvier 2022 @ 08:07
Même si j’aime et j’ai aimé lire Proust… votre commentaire Leonor est excellentissime!
J’ai beaucoup rit tant c’est une certaine réalité!
👏 et continuez à être cash, j’adore! ( peut-être pas à chaque fois) mais vous m’amusez beaucoup comme ce matin!
Elisabeth-Louise
27 janvier 2022 @ 10:01
Chère Leonor, j’ai mis des années à « entrer » dans Proust, que je tenais pour un emm*rdeur de première, inlassable pourvoyeur de dictées machiavéliques, suivies d’analyses syntaxiques épouvantables….Et puis, un jour, j’ai ouvert l’oeuvre au tome II Du côté de Guermantes, qui débute par la mort de la grand mère du « narrateur »; et du coup, touchée ( un proche de ma famille venait de décéder ainsi) j’ai tout dévoré à rebrousse-poil…..Depuis, Proust me sert d’antibiotique quand je suis malade, de tranquillisant quand je suis stressée, et de remonte moral quand je déprime, car bien des passages sont d’un comique irrésistible;
Je ne chercherai pas à vous convaincre ! mais débarrassez le des agrégats de critiques snobs et vous allez voir !!
( Si vous voulez ?! )
Pour ceux qui veulent du « vécu » ( oui, oui, Proust a été vivant !!!) voici un petit film où on le voit descendre l’escalier de la Madeleine au mariage de la Comtesse de Greffhule https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/un-film-montrant-des-images-inedites-de-marcel-proust-exhume-par-un-chercheur_3295441.html
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 14:59
Il me semble qu’il s’agit plutôt du mariage de la fille de la comtesse Greffhule, Elaine qui épousa le duc de Guiche, futur duc de Gramont dont elle eut quatre garçons et une fille Corisande, qui épousa le comte Jean-Louis de Maigret, dont elle eut un fils unique Armand-Ghislain de Maigret qui lui-même épousa Thérèse de Clermont-Tonnerre parente de Hermine et Adélaïde entre autres.
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 10:37
Leonor, je suis à vos côtés, Proust m’a toujours profondément barbée, je l’ai lu par disons obligation, jamais « relu » sauf à chercher de ci de là, une citation pour coller à un sujet.
Quant à Elisabeth de Gramont , on peut apprécier si on aime le style journal intime, nombriliste. C’est un témoignage d’un mode de vie dans lequel on se complait,pour pouvoir mieux le combattre… sans s’en éloigner complètement
Pierre-Yves
26 janvier 2022 @ 11:35
A propos de Proust, je ne peu pa dire que je me sois régalé à l’expo de Carnavalet qui commémore le centenaire de sa mort. Elle est un peu fouillis, on dirait qu’on a ressorti tout ce qu’on avait sous la main, et on n’y apprend quasiment rien. Et pour ne rien arranger, les salles sont assez exiguës et la crirculation peu fluide.
Roxane
26 janvier 2022 @ 12:57
Je suis justement occupée à relire Du côté de chez Swann. J’adore Proust 😊
Aubergine
26 janvier 2022 @ 13:09
Pour être precis, c’ est le centenaire de la MORT de Proust.
Lunaforever
26 janvier 2022 @ 13:44
Marcel, Marcel,
Quand je l’appelle,
Moi je l’appelle Marcel. ..
Signé :Bobby Lapointe
Pour ceux qui veulent savoir la suite,la chanson s’appelle » comprend qui peut »…chastes oreilles s’abstenir
😉
Ciboulette
26 janvier 2022 @ 15:33
Très intéressant , certainement . Lire Proust est toujours un marathon . . .Qu’est Adéläide de Clermont-Tonnerre par rapport à la duchesse ?
Beque
26 janvier 2022 @ 20:41
Ciboulette, la parenté m’a semblé très lointaine mais Ludovina a peut-être des idées sur la question.
JAusten
26 janvier 2022 @ 20:45
comme je ne suis pas sportive … ça en dit long sur ma relation à Proust.
Ghislaine
27 janvier 2022 @ 09:30
Il y a des années je suis allée à Illiers-Combray à la recherche de Proust , que de temps perdu , le centre ville défoncé , une pluie battante , je me suis embourbée et barbée , je le laisse aux exégètes mais j’ai un brin de sympathie pour ce jeune homme souffreteux qui était allergique au dernier degré et avait demandé à ses amis de lui trouver un logement à Paris hors du quartier de la Madeleine car trop bruyant mais surtout dans une rue sans arbres . Ils réussirent à dénicher l’oiseau rare et en entrant dans la chambre le pauvre Marcel fut pris d’éternuements inextinguibles , le papier peint était constitué de roses et de glycines !
Beque
27 janvier 2022 @ 20:57
Pour les fans de Marcel, je viens de consulter la carte du « Grand Hôtel » de Cabourg où il séjournait jusqu’en 1914.
Cocktail champagne : « Whit Swann Liqueur St Germain » : citron et champagne. Le cocktail incontournable des clients habitués…
Cocktail signatures : « Le Jardin de Marcel ». Un mariage de rhubarbe acidulée et de jus de poire avec une pointe de verveine au service du calvados Dupont.
Carte du Petit Marcel : jusqu’à 12 ans. Velouté de légumes bio ou gaspacho de saison saumon mariné par nos soins et toasts.
Benoite
28 janvier 2022 @ 10:58
si Régine m’y autorise, dans cette rubrique je cite la parution d’un Paris Match, hors série, « spécial Elysée 2022″ sur les 8 derniers présidents Français (Mr Pompidou en fait l’ouverture », on relate aussi les Premières Dames, les côtés privés des hommes à la tête de l’Etat, leurs passions (animaux , jardins, loisirs) 100 photos, ce ne doit pas être dépourvu d’intérêt photos inédites sûrement. En vente depuis le 12 janvier dernier. Merci Régine, je suis hors contexte, mais cela peut intéresser ici .. N° hors série..
Benoite
28 janvier 2022 @ 14:02
HORS-SÉRIE «ÉLYSÉE, L’ALBUM PRIVÉ DES PRÉSIDENTS»
Passions et jardins secrets des présidents
Découvrez un extrait de notre hors-série « Élysée, l’album privé des présidents », 100 pages de… (à découvrir)
Pascal avec un champignon
29 janvier 2022 @ 10:47
Si l’on y parle des lévriers du président Pompidou , de ses chevaux (mais ils étaient à Cajars ) et des canards de Madame Chirac je vais essayer de le trouver.
Pour Jugurtha et la cohorte des Labradors présidentiels ça ira.
Les Coty avaient un chat je crois.
Benoite
29 janvier 2022 @ 07:33
je rejoins ce matin, les non lectrices de Proust. Je n’ai jamais ressenti l’envie de lire cet auteur… pourquoi ? remarquez il n’est pas solitaire de ce choix. Ils sont nombreux ceux qui ont écrit, et dont je n’ai pas le besoin d’ouvrir leurs ouvrages.
La lecture : ce curieux besoin de culture … qui fait faire bien des choix arbitraires !