Parution en anglais aux éditions Rizzoli de cet ouvrage consacré à Marella Agnelli et intitulé « The last swan » (le dernier cygne). La princesse Marella Caracciolo di Castagneto âgée aujourd’hui de 87 ans, épousa l’industriel italien Giovanni Agnelli en 1953. Marella Agnelli a toujours été une référence de raffinement et élégance, décorant avec un gout exquis ses résidences et palais de Turin, Saint Moritz, Marrakech, Rome, Milan et New York.
« Marella Agneli. The last swan », editions Rizzoli, 2014, 304 p.
marielouise
31 octobre 2014 @ 07:23
La vraie élégance à l’italienne…que j’aime tant!
racyma
31 octobre 2014 @ 07:53
ce livre doit etre un regal
Palatine
31 octobre 2014 @ 09:14
Susanna, la soeur de Gianni Agnelli raconte leur enfance dans le livre « Nous portions des costumes marins ». C’est très intéressant. Le grand-père Agnelli, qui fonda la dynastie refusa de se faire anoblir par le roi d’Italie. Mais tous ses descendants mâles, son fils, son petit-fils, son arrière-arrière petit-fils épousèrent qui des princesses qui des nobles. Il y a finalement plus de sang noble chez le dernier enfant Agnelli que chez le prochain chez les Grimaldi. Je me demande si c’était une politique dans cette famille de s’allier avec la noblesse italienne. Le grand-père fondateur n’était pas commode, il mena une vie dure à sa bru veuve, une princesse romaine,quand elle eut une liaison avec Malaparte. Je crois qu’il arriva à la faire rompre. Pourtant, elle avait fait son devoir : elle avait donné 6 ou 7 enfants à son époux Agnelli, et, veuve, avait le droit de vivre sa vie. Malaparte fait une belle dédie à cette veuve Agnelli, sans dire son nom, son magnifique livre « Donna come me », « Une femme comme moi » qui a été traduit aux édtions du Rocher. C’était la belle-mère de Marella Agnelli. Je crois qu’elle ne l’a jamais connue.
marie.françois
31 octobre 2014 @ 20:44
Virginia Borbon del Monte dei principi di San Faustino est morte en 1945.
Marella Agnelli ne l’a pas connu puisqu’elle est entrée dans cette famille plus tard mais peut etre avant.
Les Agnelli ont toujours été d’une grande élégance, tant les hommes que les femmes . C’est peut etre ce qui a fait que leur reputation continue à perdurer aidée en cela par la récurrence de leur réussite industrielle et financiere.
Il y a un clan Agnelli comme il y a un clan Rothschild . Ils se sont d’ailleurs alliés puisqu’un neveu de Gianni Agnelli a épousé la fille de Beatrice de Rothschild.
Corsica
31 octobre 2014 @ 20:49
Merci pour ces anecdotes intéressantes .
Laure-Marie Sabre
1 novembre 2014 @ 00:50
L’alliance entre le sang bleu désargenté et l’industrie, un grand classique. Le vieux Giovanni Agnelli avait des sentiments très ambivalents à l’égard de sa bru et il ne faut pas oublier que nous étions en plein fascisme, ère où, en public, la femme ne pouvait être qu’épouse ou mère mais certainement pas libre de mœurs, particulièrement quand elle était responsable de l’éducation du plus riche héritier du pays. Les démêlées entre elle et son beau-père furent sanglantes, Virginia avait une personnalité flamboyante et rebelle mais ses enfants lui ont toujours été très attachés, prenant systématiquement son parti face à leur grand-père. Elle est décédée en 1945 dans un accident de voiture, Gianni et Marella ne se sont mariés qu’en 1953.
Palatine
31 octobre 2014 @ 09:16
pardon « une belle dédicace »
Severina
31 octobre 2014 @ 09:24
Marella Caracciolo di Castagneto Agnelli était la femme de Gianni Agnelli, chef de la famille que, pour les italiens de la République, était une espèce de famille royale: richesse, charme, élégance, amour pour l’art, liens avec le grand monde international. Les héritiers ne son pas a la hauteur. Dommage.
Laure-Marie Sabre
1 novembre 2014 @ 00:41
L’élégance morale des Agnelli a toujours beaucoup laissé à désirer. Un exemple parmi tant d’autres : lorsque Gianni Agnelli se lassait d’une maîtresse, celle-ci trouvait ses valises faites, déposées dans l’entrée. La grande classe en effet.
Francine du Canada
1 novembre 2014 @ 18:23
Merci Severina et Laure-Marie Sabre également pour ces compléments d’information. FdC
Zeugma
31 octobre 2014 @ 09:50
La femme de feu Giovanni Agnelli, le flamboyant patron de FIAT, brillait de mille feux à une époque où les femmes étaient très élégantes.
1315jeann
31 octobre 2014 @ 10:01
Enfin une personne raffinée et élégantissime (à l’italienne) et qui n’a jamais fait ou été la cible de scandales. La classe à l’état pur. Malheureusement, cette classe innée disparaît chaque jour un peu plus. L’on ne peut que le regretter.
Patricia C
31 octobre 2014 @ 10:35
En effet, il ressort de cette photo une extrême élégance.
bianca
31 octobre 2014 @ 12:05
Voici l’exemple d’une femme qui a donné à l’élégance et la beauté le sens suprême de ces mots, comme d’autres femmes célèbres qui restent en mon souvenir.
Un livre à lire !
elena1
31 octobre 2014 @ 12:50
bonjour
existe-t-il en italien ??
Domitilla
31 octobre 2014 @ 17:24
Bonsoir Elena 1,oui, » Ho coltivato il mio giardino »,Adelphî éditions ,très belles images de tous les maison de Madame Agnelli,ce de Saint Moritz,une entre le plus aimée ….,Elle a écrit ce livre avec son nièce Marella C Chia ,amitiés
Severina
31 octobre 2014 @ 18:25
Oui, bien sur, je l’ai acheté ce matin, mon cadeau a moi même pour la fête demain!
misa
31 octobre 2014 @ 20:58
si!
petillante
31 octobre 2014 @ 18:30
moi je n’aime pas ;elle est froide,a un cou d’une longueur effrayante,n’a pas elevé ses enfants;
aucun merite
Cosmo
31 octobre 2014 @ 22:11
Elle a du en voir de belles et avaler quelques couleuvres.
Esquiline
31 octobre 2014 @ 22:59
Cygne pour la longueur de son cou.
Elle est la tante d’Elisabetta, archiduchesse d’Autriche-Este, qui lui ressemble d’ailleurs.
Palatine
1 novembre 2014 @ 09:04
Nadine de Rotschild dit dans « La baronne rentre à cinq heurse » qu’à un certain niveau de fortune du mari, une femme trompée doit faire semblant de rien et regarder de l’autre côt, j’espère que dame Marella n’a pas eu un torticolis.
Severina
1 novembre 2014 @ 15:08
Gianni Agnelli disait que l’amour c’était pou les femmes de chambre!
Cosmo
1 novembre 2014 @ 17:09
Excellent, Chère Palatine !
Francine du Canada
1 novembre 2014 @ 18:28
Je crois pouvoir dire sans me tromper que « ma » reine a dû risquer, elle aussi, quelques torticolis hihihi! FdC
marie
1 novembre 2014 @ 11:30
Pourrons nous le trouver en français car il m’interreserait. Merci
Anne-Cécile
1 novembre 2014 @ 18:16
Cette gracile dame a su parfaitement avaler toutes les couleuvres possibles puisqu’elle avait réussi à épouser un homme richissime qui lui a offert une vie qu’elle estimait mériter.
Entre deux mondanités, elle aurait pu mieux se soucier de ses enfants. Son aîné, brillantissime, trop sensible et point aimé et entouré correctement, s’est perdu.
Ses petits-enfants issus du premier mariage de sa fille ont eux choisi l’élégance du ………portefeuille.
Bref une belle et éduquée femme, munie de moyens considérables, avec une grâce rare donnée par la naure, mais certainement pas quelqu’un avec des idéaux nobles.
elena1
3 novembre 2014 @ 12:42
bonjour,
il me semble que tous ces juges oublient la manière de vivre à l’époque !!!! vous faites les mêmes reproches aux parents des enfants royaux nés entre 1950 et 1965…
n’oubliez pas, avant de juger, de vous plonger dans les livres et journaux de l’époque, qui reprennent les modes de « vie » des personnes à qui vous faites un procès d’intention
au fait, connaissez-vous la famille dont est issue l’épouse d’Agnelli…. C’est lui qui a « doré » son blason en l’épousant et non le contraire