Ce sera l’un des beaux-livres de la rentrée. Vendu 35 euros, il s’agit d’une co-édition Château de Versailles/Editions du Chêne. Un album luxueux sur celle qui incarne pour toujours le triomphe de l’élégance et du luxe. Car adulée ou détesté, Marie Antoinette continue de fasciner. De la cour d’Autriche à l’échafaud, ce livre retrace en images son destin romanesque.
Michel
20 août 2013 @ 12:56
Ah Marie-Antoinette et Versailles…quelle merveille ce château, j’y suis allé ces 16 et 17 août. J’ai pu admirer les Trianons, le hameau de la Reine et sa ferme. Le samedi au château j’ai pu visiter les appartements de Mesdames, fille de Louis XV qui avaient finalement assez bon goût, j’ai notamment vu les vases de Madame Victoire racheté il y a peu par le château et qui ont fait l’objet d’un article dans noblesses et Royautés. Après ma visite libre, j’ai eu une visite « conférence » ou j’ai pu accéder dans des appartements généralement inaccessibles au public et particulièrement les appartements privés de Louis XV et admiré son cabinet de travail avec le superbe bureau à cylindre, l’horloge astronomique, la chambre ou il mourut, il y avait aussi une jatte à punch confectionnée par la manufacture de Sèvre et qui faisait partie d’un service de plus de 1700 pièces (racheté il y a peu pour plus de 1.600.000 euro!) la bibliothèque de Louis XVI et cerise sur le gâteau le théâtre du château.
flabemont8
20 août 2013 @ 13:22
Marie-Antoinette m’impressionne toujours : jeune archiduchesse d’Autriche élevée dans une cour protectrice, puis femme un peu évaporée vivant dans le luxe et le rêve, et enfin , face à son destin , montrant un courage et une dignité extraordinaires…Tout lui a été donné, tout lui a été repris, et elle s’est élevée là où on ne l’aurait pas cru capable d’aller…A méditer …
MoniqueDN
20 août 2013 @ 23:04
Nous partageons le même avis Flabemont 8. Cette jeune reine écervelée et qui trouvait malgré tout le temps de s’occuper de ses enfants, une chose impensable à l’époque, ne méritait certes pas la fin tragique qu’elle connut. « La Révolution sera cruelle » lui prédisait sa mère l’impératrice Marie-Thérese qui mourut neuf ans les événements de 1789. Comme elle avait raison cette mère et combien elle connaissait son enfant qu’elle appelait avec affection et inquiétude « la tête à vent. » Et durant tous ses longs mois passés au Temple puis à la Conciergerie, Marie Antoinette fit preuve d’un courage et d’une dignité que sa mère n’eut certes pas reniés. Elle mourut en véritable souveraine. Certains sont des héros dès leur naissance, d’autres d’apparence frivole et faible le deviennent d’un coup lors des aléas de la vie. Marie Antoinette appartient à jamais à ceux-ci.
Francine du Canada
21 août 2013 @ 00:39
Bonjour Flabemont, je partage votre commentaire; je ne sais pas si j’achèterai ce livre mais… son histoire me passionne. On l’a accusé de tous les maux; on l’a même accusée d’inceste… Elle est morte dans la dignité et en se réclamant de sa foi profonde. Tous les 16 octobre, je pense à elle. Bonne journée mon amie, FdC
flabemont8
21 août 2013 @ 13:26
Bonne journée à vous, ma Mie Francine, ainsi quà MoniqueDN !
Antinéa
20 août 2013 @ 13:54
Ah Michel j’ai fait les mêmes visites que vous et d’autres aussi car j’ai la chance de vivre en région parisienne et j’ai pris une carte d’abonnement 1 an à Versailles ce qui permet d’avoir accès à des visites commentées en petits groupes à des tarifs très intéressants. J’avais il y a quelques semaines demandé dans un post à Régine de me contacter à mon adresse e mail : car j’ai fait plein de photos que j’aurais bien voulu partager avec les internautes de Noblesse et Royautés…. Mais Régine ne m’a pas répondu….
Versailles est un lieu magique et magnifique, hors du temps qui recèle des splendeurs. Même les personnes qui y travaillent au quotidien n’en sont pas blasées et disent découvrir de nouvelles choses tous les jours.
En ce qui concerne ce nouveau livre sur Marie Antoinette, je me demande en quoi il sort du lot, il a tant été écrit sur cette Reine! J’aime beaucoup Marie Antoinette mais il faudrait que l’achat de ce livre en vaille la peine…
Michel
21 août 2013 @ 07:45
Ah Antinéa, quelle chance est la votre de vivre en région parisiene et de visiter Versailles quand bon vous semble! Ah Antinéa vous savez quoi? Vous m’invitez quand vous voulez moi le p’tit belge, j’apporte l’apéro! C’est vrai que tant de chose ont été écrites sur Marie-Antoinette et que ce livre doit absolument sortir du lot, surtout vu son prix! Bien à vous.
Antinéa
21 août 2013 @ 17:21
Vous m’avez l’air bien sympathique Michel! surtout si vous vous occupez de l’apéro… oui vivre en région parisienne comporte beaucoup de contraintes mais il y a heureusement certains avantages comme celui de pouvoir visiter régulièrement Versailles qui est une mine pour les personnes comme nous qui aimons l’Histoire… A Bientôt j’espère :-)
Michel
23 août 2013 @ 07:17
Mais je le suis Antinéa, absolument! Néanmoins, je cultive l’humour second degré, jamais méchant mais parfois piquant, tout le monde n’aime pas! A bientôt j’espère aussi!
Philippe
20 août 2013 @ 17:01
N’oublions pas que, en ligne masculine, Marie-Antoinette était une princesse de Lorraine !
Le fondateur de la lignée des Ducs de lorraine s’appelait Gérard d’Alsace, et vécut au tout début du XI°s.
Et ce Gérard était le fils d’un comte de Metz, répondant au doux patronyme, bien peu germanique, de Gérard de Bouzonville …
ce qui fait de notre héroïne une Marie-Antoinette de Bouzonville !!!
Idem, bien sûr, pour tous ses neveux et nièces contemporains …
Evidemment, Karl de Bouzonville, Duc de Lorraine et de Bar,
prince impérial et archiduc d’Autriche, prince Royal de Hongrie et de Bohême etc etc … ça le ferait beaucoup moins !!! … si on veut bien me pardonner cet écart de langage …
Vivent, donc, les Habsbourg-Lorraine !
HRC
20 août 2013 @ 22:08
nom de son fief propre, sans plus
et « gérard » est d’origine germanique
désolée…
Philippe
21 août 2013 @ 14:03
Exact, HRC, mais je ne parlais pas du
prénom !
lorraine 1
21 août 2013 @ 01:10
Il faut rappeler que ‘lorsqu’on considère ses quartiers, Marie-Antoinette avait plus de sang français que Louis XVI;