Voici un charmant petit album,( vendu 12,9 €), consacré au style de la reine Marie-Antoinette. Ses ministres étaient modistes, ébénistes, perruquiers, bronziers ou peintres. Aux raffinements d’un style français porté à son meilleur, elle ajouta sa touche personnelle à grands renforts de fleurs et de perles. C’est une invitation au château de Versailles, en compagnie de Rose Bertin ou de Léonard. Futiles certes, mais exquis.
« Marie-Antoinette. reine de la mode et du goût », Françoise Ravelle, Editions Parigramme, 2017, 128 p.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 juin 2017 @ 08:43
C’était bien la peine de lui couper le cou pour lui faire des courbettes posthumes,plus de deux siècles après sa mort…absurdité des engouements humains…on ne sait même pas si c’est franc….une sincérité d’éditeur l’est rarement^^.
Naucratis
5 juin 2017 @ 10:57
Mais, Muscate, vous oubliez que ceux qui ont guillotiné la reine il y a deux cents ans et ceux qui s’intéressent à elle aujourd’hui ne sont pas les mêmes, par définition. Aucune contradiction donc, d’autant moins que si on s’intéresse tant à elle, c’est peut-être aussi parce qu’elle a été guillotinée…
Baboula
5 juin 2017 @ 14:44
Ah,bon Il faut tuer les gens et les regarder ensuite .Une forme d’amour vache !
Muscate-Valeska de Lisabé
5 juin 2017 @ 19:03
Mais la pérennité de la haine dont elle a été l’objet,ô combien..qu’on constate pour de nombreux personnages historiques, ne s’est pas transmise au travers des âges,pire, il s’est changé en une adoration aussi incompréhensible que suspecte. ..j’appelle ça une totale contradiction de la mémoire collective, Naucratis.Quelle valeur lui donner?
Robespierre
6 juin 2017 @ 16:04
Je suis obligé de vous contredire chère Muscate. Robert Hossein monta un spectacle sur le procès de Marie Antoinette à Paris debut des années 90 et à la fin de ce spectacle on demandait si on guillotinerait encore la reine. Le pourcentage de ceux qui ont voté pour la mort dépassait celui de l’acquittement. Enfin c’est ce que m’a raconté un ami. Si quelqu’un peut confirmer ces dires…
Muscate-Valeska de Lisabé
7 juin 2017 @ 13:26
Parce qu’il avait ressuscité l’Histoire,cher Robespierre,et pas créé un mythe.^^
Ghislaine-Perrynn
5 juin 2017 @ 10:45
???????
Muscate-Valeska de Lisabé
5 juin 2017 @ 19:04
! ! ! ! ! ! ! ! ! !
JAusten
7 juin 2017 @ 17:49
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Francois
5 juin 2017 @ 13:14
Etre Reine de la mode la perdit un peu !!
Mais lui reconnaître son influence reste important
Car le style Louis XVI est surtout Marie Antoinette
Le bon goût atteint
Cosmo
5 juin 2017 @ 20:49
Si Marie-Antoinette s’était contentée de sa vie futile au lieu de se mêler de politique, avant comme pendant la Révolution, elle n’aurait peut-être pas perdu la vie de façon si dramatique, et la France serait peut-être en monarchie constitutionnelle. Mais avec des si…
Baboula
6 juin 2017 @ 17:55
Sa vie futile et dispendieuse font partie intégrante de la pré – révolution .On ne refera pas l’histoire Et on ne recollera pas les morceaux ! ( j’ai honte) .Cher et si cultivé Cosmo son époux et elle n’ont pas sû écouter les vrais bruits de la rue .peut être se sont-ils crus protégés par le sacre en Reims .Ils étaient incapables de comprendre assis sur des dynasties séculaires.Le mot amovible n’avait pas été inventé.
Cosmo
8 juin 2017 @ 12:37
Baboula,
Vous avez raison mais la vie futile et dispendieuse ne fut-elle pas aussi celle de Louis XIV, Louis XV et de toutes leurs maîtresses ?
Marie-Antoinette a voulu aussi se mêler de politique mais elle n’était pas Madame de Pompadour et elle allait à contre-courant. Il est certain que si le couple royal avait eu un peu de bon sens, il aurait sur regarder autour de lui. Quand on sait ce que les Polignac, et d’autres, ont coûté à la France, la Révolution ne semble plus surprenante. Même si le vrai problème des finances publiques fut le financement de la Guerre d’Indépendance d’Amérique.
En effet amovible ne devait pas signifier grand chose à leurs yeux.
Amicalement
Cosmo
Guy Coquille
15 juin 2017 @ 13:11
Comme elle était belle, notre dernière reine de France ! Et quelle majesté! Je comprends les historiens qui en sont tombés amoureux. Et je ne supporte pas les historiennes qui écrivent sur elle, quelle que soit leur valeur (comme Evelyne Lever). Parce qu’elles ne peuvent partager ce sentiment.