Parution en septembre 2020 aux éditions Rizzoli de l’ouvrage « One upon a diamond » par le prince Dimitri de Yougoslavie, créateur de bijoux établi à New York.
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ciboulette
29 juin 2020 @ 07:29
Vous nous mettez l’eau à la bouche , Dame Régine , mais j’aimerais en voir un peu plus !
Vasco2
29 juin 2020 @ 08:11
Aujourd’hui, à qui appartient le diadème, sur la photo.
Menthe
29 juin 2020 @ 09:39
Je crois reconnaître la reine Hélène de Roumanie sur la couverture, ai-je raison ?
Laurent F
30 juin 2020 @ 07:43
Olga de Grèce, la grand-mère paternelle du prince
Iankal21
30 juin 2020 @ 09:09
Bonjour Menthe, c’est la Princesse Olga de Yougoslavie, née de Grèce et le diadème est herité de sa mère Helene Vladimirovna, Princesse de Grèce.
Dominique Boscher
30 juin 2020 @ 09:46
Non, il s’agit d’Olga de Yougoslavie, née princesse de Grèce et de Danemark.
Cecicela
30 juin 2020 @ 14:01
C’est vraisemblablement sa cousine germaine, Olga de Grèce, épouse du régent Paul de Yougoslavie et grand-mère paternelle du prince Dimitri.
Menthe
1 juillet 2020 @ 14:01
Merci pour vos réponses ! Il s’agit donc de la cousine germaine de la reine Hélène de Roumanie puisque leurs pères respectifs étaient frères.
Aubert, au lieu de railler, dites nous donc de qui il s’agit 😏
aubert
1 juillet 2020 @ 10:05
Même si je les ai beaucoup fréquentées toutes les deux j’ai peine à reconnaître Hélène de Roumanie ou Marie-José d’Italie.
ciboulette
2 juillet 2020 @ 18:02
Don Juan , sors de ce corps !!
chicarde
29 juin 2020 @ 10:58
Magnifique couverture, magnifique Princesse/Reine superbement bijoutée ! C’est bien la belle et si élégante grand-mère (la Reine Marie José) de l’illustre auteur du livre ?
Laurent F
30 juin 2020 @ 07:43
Non c’est Olga de Grece
Dominique Boscher
30 juin 2020 @ 09:45
Non, il s’agit de sa grand-mère paternelle, Olga de Grèce, épouse du Prince Paul de Yougoslavie, (parents du prince Alexandre qui épousa Maria-Pia d’Italie). La princesse Olga était la fille du prince Nicolas de Grèce et de la grande-duchesse Hélène Vladimirovna, et elle était la soeur de la duchesse Marina de Kent et d’Elisabeth de Toerring-Jettenbach.
ciboulette
1 juillet 2020 @ 16:29
Merci pour ces précisions , Dominique Boscher.
chicarde
1 juillet 2020 @ 19:41
Merci, Laurent F et Dominique Boscher !
Françoise2
29 juin 2020 @ 11:10
J’espère qu’il paraîtra en français, ne lisant t ne parlant pas l’anglais.
beji
29 juin 2020 @ 13:43
Texte en anglais ,je ne l’achèterai pas.
Albane
29 juin 2020 @ 17:32
Ce prince est bien placé au cœur du Gotha avec tous ses liens de famille ! Ces bijoux proviennent de familles qui ne sont plus régnantes – à part celle de Belgique. Je me demande par conséquent si le prince a dû multiplier ses recherches pour trouver ces bijoux qui ne sont peut-être pas restés dans les pays d’origine.
Maria
29 juin 2020 @ 18:17
Merci ad Alberto.Ci saranno tante foto!
Manon M.
30 juin 2020 @ 01:29
La tiare est sublime! Les femmes étaient tellement féminine au début du 20 ième siècle.
Baboula
30 juin 2020 @ 07:34
Surtout celles qui travaillaient à trier le charbon. :-))
Laurent
30 juin 2020 @ 09:21
L’éternelle rengaine
Tout le monde sait que les femmes qui travaillaient dans certains secteurs et les plus pauvres n’avaient pas ke temps ni les moyens d’entre féminines
Ce site n’est pas un site pour nous faire du Zola en permanence
Si cela vous dérange tant allez sur le site de la France Insoumise
Il vous parlera des pauvres travailleurs des sales bourgeois capitalistes
Vous devriez être satisfaite
Baboula
1 juillet 2020 @ 13:04
Laurent , apparemment je n’y irais pas seule .
Ghislaine-Perry
5 juillet 2020 @ 09:31
sans aller jusqu’au pire le quotidien de beaucoup de femmes dans ces années dites folles était difficile et terne .
Ma mère jeune mariée , attendant son premier enfant , était fleuriste . Elle rentrait tous les midis à pieds chez elle , devait allumer la cuisinière qui suivant les jours à cause du vent fumait et ne « tirait » pas . Préparer le déjeuner tant bien que mal.
Repartir à pieds travailler et rentrer toujours à pieds le soir tardivement .
Il n’y avait aucun amusement, pas de radio , pas de téléphone . De plus , ayant perdu son frère âgé de 23 ans des suites de la guerre de 14-18 , puis sa jeune soeur de 20 ans peu après , sa belle-mère qui suivit et le beau père qui termina la période noire . Elle fut contrainte de porter le deuil entier , puis le demi-deuil 6 mois après et enfin la couleur arriva , grise au demeurant .
Alors quand étourdiment je lui disais , quelle chance tu as eue de connaître les années folles . Elle me reprenait en m’expliquant ce que je viens d’écrire ci-dessus .
ciboulette
30 juin 2020 @ 09:22
C’est un peu ce que j’allais dire !
Cosmo
30 juin 2020 @ 13:52
Ou à ramasser des betteraves…
l'Alsacienne
30 juin 2020 @ 18:18
Bien dit, Baboula. Les femmes ordinaires avaient d’autres soucis que d’essayer des bijoux.
Ghislaine-Perry
30 juin 2020 @ 08:40
Baboula il fallait le dire , grâce à vous c’est fait .
Ghislaine-Perry
30 juin 2020 @ 08:43
J’ai vu une photo du mariage de mes parents , j’ai trouvé maman affreuse (et pourtant dieu sait si elle était jolie et féminine) dans cette robe sans forme , genre sac , avec un voile de tulle plat enserré bas sur le front par un bandeau
Baboula
1 juillet 2020 @ 15:37
La mode Charleston était en effet assez peu féminine, mais on avait envoyé les corsets par dessus les moulins .
ciboulette
30 juin 2020 @ 09:23
C’est un peu ce que j’allais dire !
framboiz07
30 juin 2020 @ 09:32
Il y a peut-être trouvé sa vocation …
Est-ce une broche cette chose rose et jaune ?
Antoine
30 juin 2020 @ 09:44
On les appelait ces femmes travailleuses les « clapeuses ». Elles étaient effectivement beaucoup plus nombreuses que les porteuses de tiares. Dans « la cage aux folles » (2 ou 3) la tenue de Michel Serrault réfugié en Italie dans la famille de Renato donne une idée très embellie de leur féminité…
Hervé J. VOLTO
30 juin 2020 @ 18:54
Je ne savais pas que ce frère ainé de Serge de Yougoslavie avait été élevé à Versailles.
Je croyais qu’il avait toujours vécu à New York. Ayant travaillé pour une agence de Security Investigation, et ayant eu à faire à des voleurs de bijoux à Milan, je le connaissai comme expert au sein du département des bijoux de Sotheby’s.
Le prince Dimitri est également cousin germain d’Emmanuel Philibert, prince de Venise, fils et héritier du prétendant au trône d’Italie, et également cousin germain de l’actrice Catherine Oxenberg . Par ses parents, le prince Dimitri est lié à toutes les familles Royales d’Europe : Oui, le Prince est bien placé au cœur du Gotha par tous ses liens de famille !
La Reine d’Angleterre possède même des émissaires chargés de chercher et de retrouver tout bijoux ayant appartenu à des Famillles Royales et mis en vente, ce dans le but d’en acquérir et d’en consituer une collection.
Hervé J. VOLTO
30 juin 2020 @ 19:15
Selon épouse, qui est italienne, est formel : la Princesse en couverture n’est pas la Reine Marie-Josée.
chicarde
2 juillet 2020 @ 14:14
Pour un magnifique ‘portrait’ d’Olga de Grèce voir http://www.noblesseetroyautes.com/portrait-olga-de-grece-princesse-de-yougoslavie/ !
Baboula
6 juillet 2020 @ 21:56
Deux sœurs à Kensington .
http://www.noblesseetroyautes.com/archives-marina-de-kent-et-olga-de-yougoslavie/