Inès de la Fressange avait connu un grand succès avec son ouvrage « La Parisienne » agrémenté des bonnes adresses de la capitale, des subtilités de la mode, du savoir-vivre. Voici une deuxième édition qui vous entraînera cette fois-ci dans des capitales et villes étrangères.
« La Parisienne. Agenda 2017 », Inès de la Fressange, Flammarion, 2016
marielouise
5 novembre 2016 @ 05:46
Excellente idée Inès!
Des adresses agréables et quelques découvertes surprises indispensables !
La bible du bon goût…ou presque !
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
5 novembre 2016 @ 12:00
Oui,ma Mie,en effet…PRESQUE…voire…pas du tout!
;-))
Korobaze
5 novembre 2016 @ 13:54
J’avais offert le premier à ma mère et une amie, je vais acheter celui ci pour compléter les cadeaux de Noel !
Valerie
5 novembre 2016 @ 08:53
Je ne risquerai pas d acheter son agenda
Elle a fait la une pour des faits peu glorieux concernant sa femme de ménage
Juste pitoyable
JACKES
5 novembre 2016 @ 17:48
Valerie,
Pour une fois je suis d’accord avec vous.
Leonor
6 novembre 2016 @ 11:13
Ah ? Elle a fait quoi à sa femme de ménage ?
Je n’apprécie guère Inès de la Fressange, qui est pour moi un archétype de vacuité et de snobisme .
Eos
7 novembre 2016 @ 18:46
Leonor, je ne sais pas ce qu’elle a fait à sa femme de ménage, mais en tout cas, concernant sa résidence du sud de la France, ce n’était pas glorieux non plus : construction sans permis dans un site classé, refus de se présenter devant les juges. Je crois que Mme de La Fressange a quelque peu les chevilles enflées.
Claudia
5 novembre 2016 @ 09:34
Les bonnes adresses, pour qui ? Pour son petit cercle parisien qui doit se limiter au triangle Saint Germain des Prés-Invalides-Tour Eiffel ?
Baia
5 novembre 2016 @ 10:07
C’est tout à fait ça Claudia. Le genre de livre totalement inutile et sans intérêt :
Muscate-Valeska de Lisabé
5 novembre 2016 @ 11:59
Je partage,Claudia..je n’aime pas cette superficielle snobinarde et sophistiquée.
Jean Pierre
5 novembre 2016 @ 12:16
Entièrement d’accord avec vous qui habite encore Rive Gauche ?
marielouise
6 novembre 2016 @ 09:38
Je ne vous y rencontrerai donc pas, Jean Pierre?
;-)))
ml
marielouise
6 novembre 2016 @ 09:42
Pour les adresses parisiennes ce fut, parfois de jolies découvertes…Une toute petite boutique de bijoux, une toute aussi sympathique, d’habits…Merci Ines…
Cela m’intéresse de voir ce qu’elle a déniché dans les autres capitales!!!
ml
Jean Pierre
6 novembre 2016 @ 13:08
Ça dépend de quel fleuve !
bianca
5 novembre 2016 @ 13:44
Je pense que nous sommes assez grandes pour faire nos découvertes nous-mêmes !
valerie
5 novembre 2016 @ 15:31
exactement
Annmaule
5 novembre 2016 @ 11:08
J ai eu l occasion de visiter son blog l annee derniere…je m en suis lassee tres vite et aussitot desinscrite…
Pour retrouver la meme chose dans son bouquin….sans moi…
l'Alsacienne
5 novembre 2016 @ 13:24
Et les autres alors ? Celles qui habitent la province…
Au fait, a-t-on besoin de connaître les adresses pour V.I.P. ?
« Je vais là où mon porte-monnaie peut me suivre » disait une des anciennes collègues.
Auberi
5 novembre 2016 @ 15:36
Franchement, pour l’avoir consulté, cet agenda n’a vraiment pas grand intérêt à part pour ceux qu’IDLF promotionne et je suppose qu’elle en retire une contrepartie trébuchante. Tant que son aura rayonne, elle a raison d’en profiter. Business is business
Utile peut être à la limite pour la jetset étrangère et encore… car ses (ou ces) endroits branchés se périment très vite si vous achetez cet agenda quelques mois après sa sortie (env 15€). Les bonnes adresses de ce milieu artificiel sont comme un banc de poisson capricieux
l'Alsacienne
5 novembre 2016 @ 17:27
Veuillez lire : une de mes anciennes collègues. Merci.
ciboulette
5 novembre 2016 @ 18:02
Au risque de déplaire à beaucoup , je vais dire que je n’apprécie pas tellement Inès .Comme le dit si justement Claudia , ces informations ne concernent qu’un petit cercle de gens aisés . Je n’y vois aucun intérêt .
Carole 007
5 novembre 2016 @ 21:40
« La Parisienne » qu’elle pouvait peut-être incarner dans les années 80 pour les étrangers, ne veut plus rien dire à notre époque.
Ines de la Fressange à fait une très belle carrière, et a réussi à refaire surface après de nombreuses années en retrait, tant mieux, je dirais que c’est une bonne femme d’affaires, mais pas « La Parisienne » de cette époque.
limaya
6 novembre 2016 @ 07:09
Avez vous besoins d’augmenter vos fins de mois ? ? ? tout est bon à prendre n’est ce pas .
Leonor
6 novembre 2016 @ 11:24
Tiens, vais éditer mon carnet d’adresses !
– les Emmaüs partout où je passe
– les charity shops où, partout, me mène un sixième sens très exercé en la matière ; je tombe dessus comme par magie
– la Coopérative Agricole de mon coin ( formidables vêtements d’extérieur en plus des outils nécessaires et des granulés pour Biquette)
– les bibliothèques ou bouquinistes n’importe où et dans toutes les langues. Pareil, je tombe dessus , ça doit être au flair (même mes chiens s’arrêtent devant chez les libraires, ils doivent sentir l’odeur du papier et de l’encre, ou alors les effluves d’une sympathie qui émane de ces boutiques)
– les brocanteurs
– les quincailleries : des vraies cavernes d’Ali Baba
– les épiceries de derrière les fagots. Mais les vraies, hein, pas les trucs à snobs où vous payez le poireau dix fois son prix ou où vous ne trouvez même pas de poireau, un comble !
Pas besoin de carnet d’adresses : ça va tout seul.
Je dois avoir un magnétisme dans le ciboulot, comme les oiseaux migrateurs, un machin aimanté axé sur ce genre de choses !
Marie1
6 novembre 2016 @ 12:25
Bravo pour votre commentaire, le bon sens même.
l'Alsacienne
6 novembre 2016 @ 20:28
Bravo Leonor, Félicitations pour votre bon sens.
Leonor
7 novembre 2016 @ 15:12
Merci, les amies, et vive la vraie vie !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 novembre 2016 @ 19:15
Je veux voir Inès de la Fressange acheter du granulé pour Biquette!!…;-))
Ghislaine
6 novembre 2016 @ 17:54
Sur ce post nous sommes au harpie’s bazar
Ines de la Fressange n’a pas que des zônes d’ombre , pour moi elle reste celle qui
soutient l’action de l’association Orphelinats d’Afrique. Elle est également marraine de l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque. Association qui permet à des enfants de pays défavorisés de se faire opérer du cœur en France.
Leonor
7 novembre 2016 @ 15:15
Mais Ghislaine, c’est très bien tout ça .
On aimerait juste savoir quelle partie de ses royalties la très snob Inès reverse à ces oeuvres. Histoire de pouvoir jauger si cela ne lui sert pas que de faire-valoir .
Leonor, qui, harpie ou non, n’aime pas la poudre aux yeux.
Mais libre à chacun de se laisser aveugler.
Lili.M
8 novembre 2016 @ 04:50
Elle a été également été obligée par jugement de tribunal de faire raser l’annexe de sa piscine 100 m2 construite sans permis de construire sur un terrain classé dans le Lubéron. Pas la piscine: le bâtiment évidemment.
Ghislaine
7 novembre 2016 @ 18:05
Leonor , il n’y a pas que ces oeuvres là dont elle s’occupe , c’est quand même bien elle qui a eu l’idée d’une aide pour les bébés qui souffrent eux aussi du manque d’argent de leurs géniteurs .
Bon , je change de style , je prends le musical pour accorder nos violons , vous n’êtes pas une harpie , je retire mon jeu de mots en fausse note , vous êtes une charmante harpiste qui savez jouer finement sur les cordes sensibles .
cordialement