Le journaliste espagnol Jaime Penafiel publie « Reinas y princesas sufridoras » et revient sur le destin de 23 reines et princesses qui ont vécu des moments difficiles dans leur vie comme Béatrix des Pays-Bas et Victoria de Suède qui luttèrent pour imposer le choix de leur coeur contre l’avis initial de leurs parents, Silvia de Suède et Sonja de Norvège deux roturières qui intégrèrent le Gotha à une époque où les codes étaient encore bien différents, les deuils et drames personnels de la princesse Caroline de Monaco, la vie privée malheureuse de la reine Sophie d’Espagne pour qui l’auteur a une très grande admiration ou encore l’impératrice Farah d’Iran avec qui il maintient des contacts réguliers et qui est pour Penafiel une très grande dame.
« Reinas y princesas sufridoras », Jaime Penafiel, Grijalbo, 2015, 320 p.
aggie
20 avril 2015 @ 06:42
dommage c’est en espagnol ; je l’aurais bien lu
chantal
20 avril 2015 @ 07:34
je crois qu’il n’y a pas que l’auteur qui a une très grande admiration pour le reine Sophie, il n’y a qu’a voir les foules qu’elle déplace les commentaires élogieux que l’on peut lire encore sur elle
DEB
20 avril 2015 @ 07:42
Un livre pour faire pleurer dans les chaumières ?
Que peut-on encore apprendre sur les malheurs des unes et des autres et en quoi cela peut-il être interessant ?
Gustave de Montréal
20 avril 2015 @ 16:27
En rien dutout. Strictement destiné aux têtes bleues.
Albane
22 avril 2015 @ 15:16
Pour bien rappeler que la vie de princesse ou de souveraine n’est pas de tout repos et pas à envier forcément.
Valérie hoplà
20 avril 2015 @ 08:14
La duchesse de Cambridge a vécu quoi de difficile?
Régine
20 avril 2015 @ 11:27
La pression médiatique avant et après son mariage
Valérie Yopla
20 avril 2015 @ 11:52
Merci Répine. Après c’est vrai que perdre un enfant, un époux ou se faire tromper sur la face publique….
je crois que Kate fait vendre d’où sa photo sur la couverture du livre…cqfd
Valérie Yopla
20 avril 2015 @ 11:53
Mince désolée pour la faute de frappe Régine.
liseluc
20 avril 2015 @ 13:38
oh, petite…….
isa c
20 avril 2015 @ 17:14
pression pas aussi forte que pour feue sa belle-mère… Pas très cher payé pour une vie somme toute très agréable… amour, bébés, physique enviable et fins de mois aussi !
Albane
22 avril 2015 @ 15:01
J’avoue, toute cette pression, ça ne devait pas être drôle.
Baia
20 avril 2015 @ 14:26
On peu imaginer : Toutes les vacheries qui ont été dites, et qui continuent à être dites, sur son mode de vie, ses tenues, son mari, ses parents, sa sœur et son frère !
Stella
20 avril 2015 @ 15:23
On peut supposer que l’ouvrage relate la longue attente de Kate avant que William se décide à demander sa main ainsi que leur courte rupture.
Kate avait reçu le sobriquet de « Katy qui attend » et beaucoup se réjouissaient déjà de ce que William puisse la quitter.
racyma
20 avril 2015 @ 08:18
kate en couverture du livre je ne vois ou est son probleme
Jean Pierre
20 avril 2015 @ 18:00
Et si Racyma, le vrai problème c’était Kate elle même !
Mais comme vous je ne comprends pas trop ce qu’elle fait dans la liste….Bouh que je suis malheureuse…bois un verre de gin darling et ça ira mieux !
Milena K
20 avril 2015 @ 09:58
Ce livre ne peut etre intéressant que s’il apporte un éclairage inédit sur les personnes concernées…ce dont je doute fort.
Anne-Cécile
20 avril 2015 @ 10:33
Et pour Catherine de Cambridge? quelles peuvent bien être les épreuves que cette jeune femme, aimée et fortunée, ayant vécu une enfance privilégiée, a du affronter? elle a fini par épouser son amour d’université sans que les Windsor ne semblent avoir batailler contre le projet du couple?
Cosmo
20 avril 2015 @ 12:08
Le brossage quotidien de ses cheveux…
Chrislylou
21 avril 2015 @ 17:27
AH j’adore ! lol !
Albane
22 avril 2015 @ 15:14
Anne-Cécile, c’est beaucoup moins voyant pour la duchesse de Cambridge, mais quand on pense qu’elle a enduré tout ce qui a été dit sur elle, sur sa famille. En plus, un nombre inimaginable d’articles on été publiés pendant sa première grossesse puis après et en ce moment encore pour l’arrivée du deuxième bébé. Elle n’est pas toujours tranquille. En début de mariage, tout le monde voulait qu’elle tombe enceinte sans tarder, ce qui était normal. Mais on lui a mis une telle pression qu’il paraît qu’elle a craqué à un moment et qu’elle a du se réfugier chez ses parents pour échapper aux paparazzis. Quand on est harcelé comme cela, on n’a plus de vie et ça devient infernal.
Anne-Cécile
23 avril 2015 @ 04:52
La pression médiatique anglaise et internationale c’est pas drôle c’est certain. En tant que Windsor elle en aura bien plus que les autres princesse européennes.
Mais de là à comparer ses misères avec d’autres………………….
Francine du Canada
24 avril 2015 @ 20:52
Et les photos de nues publiées sur le web? Celle-là je ne l’aurais pas appréciée! Je pense qu’elle a dû beaucoup en souffrir. FdC
j21
20 avril 2015 @ 12:04
Caroline a souffert mais elle a également fait souffrir. Quant à Catherine de Cambridge sa souffrance est toute relative, il ne faut pas exagérer.Celle pour qui j’ai le plus de compassion est l’impératrice Farah d’Iran. Elle, elle a vraiment souffert.
Jacqueline
20 avril 2015 @ 12:33
Les 23 personnes choisies ont vécu des choses très différentes qu’il me semble assez maladroit de niveler. Toutes n’ont d’ailleurs pas le même âge et je trouve un peu déplacé de mettre sur le même plan quelqu’un comme l’impératrice Farah et la jeune duchesse de Cambridge. Par ailleurs, 320 pages en tout, cela fait une moyenne de 14 pages par personne, pas de quoi fouiller le sujet.
Nania
20 avril 2015 @ 16:47
Jaime Peñafiel, qui avant était l’un des journalistes le plus réputés en Espagne pour ses chroniques de la Royauté, a perdu à mon avis, toute l’objectivité. Il dit admirer la reine Sofía, mais il a écrit sur sa rubrique du journal El Mundo des articles humiliants envers elle. Quant à la reine Letizia, directement il la déteste par des raisons sans importance (lire par exemple « Los tacones de Letizia »…. C’est une espèce de vengeance parce qu’il a perdu ça fait longtemps ( plus de 15 ans que je sache) le faveur royal….
Dommage, parce qu’il était magnifique dans ses chroniques dans la revue HOLA quand il était redacteur en chef pendant les années 70-80 !!!
patricio
21 avril 2015 @ 17:29
Entièrement d’accord avec vous Nania
Amities
patricio
Kalistéa
20 avril 2015 @ 20:03
Si c’est un malheur difficile à surmonter que de « lutter pour faire accepter son mariage »,alors toutes nos princesses actuelles et même reines , ont passé de très durs moments à cause de leur roture ou une indignité due à : précédent mariage civil , adultère, amants passés plutôt mal famés, maternité avant mariage ,avortement,détournement d’homme marié, divorces à répétition, appartenance à une famille décriée parce qu’ayant été mêlée au nazisme ou à un gouvernement dictatorial … Il y a très peu d’exceptions à part la reine Mathilde et la princesse héritière de Luxembourg. De quoi faire un gros gros livre.MDR.
Anne-Cécile
21 avril 2015 @ 04:26
Euh pour la Reine Mathilde, les débuts n’ont pas été faciles… et sa famille d’origine n’y est pour rien, comme ses indifférents futurs beaux-parents…………
Caroline
20 avril 2015 @ 22:36
Si Kate a plus ou moins souffert de la pression médiatique,elle a finalement gagné avec tous les avantages de sa vie de princesse,son mariage heureux et bientot ses deux beaux enfants!
Par contre,on peut plaindre la reine Sofia d’Espagne à cause de ses nombreux soucis comme vous le savez bien!C’est de meme pour la vie personnelle de Caroline de Monaco!
Francine du Canada
24 avril 2015 @ 21:39
Je pense qu’il faudrait en revenir avec Caroline de Monaco; elle a eu plus d’avantages que d’inconvénients dans sa vie. Et elle n’est pas la seule veuve; ma mère était veuve à 29 ans et avec 3 enfants en bas âge et enceinte de 3 mois… alors ce n’est pas moi qui pleurerai sur Caroline de Monaco. Amicalement Caroline et passez une bonne journée, FdC
marie louise 2
21 avril 2015 @ 02:02
Sortez les violons! Il y a des femmes bien plus malheureuse et on n’ecrit pas des livres sur elles. Les reines et princesses ont un titre au moins et pas de soucis materiels! Si la reine sofia d’espagne etait si malheureuse avec son royal epoux elle n’avait qu’a divorcer
Milena K
21 avril 2015 @ 03:34
Tout à fait d’accord avec vous mais on vous objectera,par exemple ,que la reine Sofia,femme bafouée, souffre en silence et reste « digne »…
Laurent F
21 avril 2015 @ 14:21
Une reine d’Espagne ne reçoit pas de fleurs d’un étranger quand le roi est à la chasse !! dixit Dona Juana dans La folie des grandeurs !!!
Anne-Cécile
21 avril 2015 @ 04:30
Bon elles savaient ou ont rapidement su ce qu’elles avaient à perdre et à affronter.
Elles sont tout de même toutes d’une époque où les femmes pouvaient faire des choix.
La reine d’Espagne aussi savait en gros ce qui l’attendait. Elle n’était ni bête ni naïve comme pouvait l’être la fille à peine majeure et ignorante de la vie du Comte Spencer.
Marie de Bourgogne
25 avril 2015 @ 19:01
La fille du comte Spencer n’avait donc pas de parents pour la renseigner « sur la vie » ?
limaya
21 avril 2015 @ 05:55
En effet Marielouise, les violons vont grincer, miauler , gémir ,pleurer pour quelques mal loties du gotha , tant il est vrai que ces dames ,leurs sentiments , leur cœur ,leur sensibilité sont différentes » des autres « , que de grain à moudre, par contre également que de bons mots en perspective pour nous amuser
Pierre-Yves
21 avril 2015 @ 09:24
En même temps, une vie sans moments difficiles, moi je ne connais pas.
Mais il y a difficile et difficile. Quoi de commun entre ce qu’a enduré l’impératrice Farah et ce que vit la duchesse de Cambridge ?