L’Association des Amis du Musée Louis-Philippe du Château d’Eu vient de publier un livre présentant la visite de la Reine Victoria au Roi Louis-Philippe au château d’Eu en septembre 1843.
Cette publication reprend les articles tirés du numéro spécial des Illustrated London News, le premier magazine illustré d’informations publié en Angleterre qui a dépêché pour l’événement plusieurs journalistes et quatre dessinateurs afin de publier dès la semaine suivant la visite royale un long compte rendu accompagné 26 gravures. On y trouve de nombreuses d’anecdotes sur la vie des princes et on constate la très grande affection qui liait la souveraine britannique et la famille d’Orléans. C’est lors de cette visite, premier déplacement d’un souverain britannique en France depuis Henri VIII et François I au Camp du Drap d’Or, qu’est née l’Entente Cordiale entre la France et la Grande-Bretagne.
Ce texte et ces gravures sont ainsi présentés pour la première fois en France dans le cadre d’un livre de 76 pages, préfacé par M. l’ambassadeur Laurent Stéfanini, chef du protocole au Quai d’Orsay et Introducteur des ambassadeurs. Cet ouvrage est disponible sur envoi d’une carte de visite et d’un chèque de 10€ franco de port à l’Association des Amis du Musée Louis-Philippe, Château d’Eu, 76260 Eu.
Pour rappel L’Association des Amis du Musée Louis-Philippe du Château d’Eu a été fondée par Madame la comtesse de Paris en 1985 ; son petit-fils, le Prince Jean d’Orléans, duc de Vendôme, en est administrateur et le Prince Gabriel de Broglie est son Président d’honneur.
18 novembre 2013 @ 07:22
Il est très bien de faire connaître ces rapports étroits entre l’Angleterre et Louis Philippe d’Orléans.
L’Angleterre, depuis le XVIIIème siècle avait réussi à devenir la première puissance du monde. Le gouvernement de Louis Philippe d’Orléans n’y mit pas de frein.
Elle dominait les mers, particulièrement la Mer Méditerranée et ne voulait pas d’obstacles à son commerce dans les ports, escales et passages stratégiques (Portugal, Gibraltar, Malte…) constance depuis le Moyen Age.
L’oncle Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha avait été placé sur le trône d’un nouveau Royaume, faisant tampon entre la France et les Pays-Bas. On l’avait marié à la fille de Louis Philippe d’Orléans, pour qu’il y trouve son compte.
Grâce à leurs cousins et cousines Saxe-Cobourg-Gotha catholiques (enfants du Prince Ferdinand), l’Angleterre avait pu installer sur le trône de Portugal la famille de Victoria&Albert : Ferdinand de Saxe-Cobourg avait épousé Marie II. Exit Michel.
Louis Philippe d’Orléans s’unit avec eux jusque dans l’intimité : le Duc de Nemours épousa Victoire de Saxe-Cobourg-Gotha et Mademoiselle de Beaujolais se maria avec Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha soeur et frère du Roi-Consort de Portugal. Exit Charles X.
L’Espagne était suffisamment déstabilisée pour laisser tranquille l’Angleterre. Marie Christine contre Charles V. Et pour plaire à l’allié de la Monarchie de Juillet (France) le Duc de Montpensier fut ajoutée, ce qui ne manqua pas encore de « pimenter » les affaires intérieures espagnoles :D. Pratique.
là on peut commencer à dire, comme une certaine princesse, que Cobourg devenait un « haras » pour les trônes d’Europe.
Le Brésil aurait été une prise de choix. Mais finalement l’héritière Isabelle préféra Gaston d’Orléans à Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha (cousins). Bon, ça revenait au même. Tant que le prince était politiquement libéral ! :D
Partout la même idéologie politique au pouvoir, du libéralisme national, soutenu par ces princes.
L’Autriche perdait un à un ses alliés dans l’Europe occidentale et méditerranéenne.
L’Angleterre a pensé à son intérêt et a eu bien raison.
Dommage que les Bourbons n’aient pas fait preuve d’autant d’unité que les Saxe-Cobourg-Gotha…la France aurait pu être plus forte si elle avait davantage regardé vers l’Espagne, les Deux-Siciles et surtout l’Autriche comme c’était le cas sous Louis XV, Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.
18 novembre 2013 @ 13:41
Voilà un commentaire qui ne manque pas de piquant. ;-)
Je trouve pour ma part que c’est un peu cavalier de prétendre (encore ce verbe ! ^^) que l’Entente Cordiale serait née à Eu (bien qu’en bon français on doit dire « chez eux » lol) en 1843, alors qu’elle fut surtout l’oeuvre d’Édouard VII qui, par ailleurs, avait aussi une « grande affection » pour l’empereur Napoléon III (sans parler de la France en général et des petites femmes de Paris en particulier).
;-)
19 novembre 2013 @ 07:12
Bonjour Actarus
;)
Ouiii vous avez tout à fait raison au sujet de Napoléon III
19 novembre 2013 @ 11:46
Cher Actarus,
Ah les petites femmes de Paris….véritables ambassadrices de la France…
Mesdames de Province, ne m’en veuillez pas mais on dit rarement les Petites Femmes de Marseille ou de Toulouse…même si elles peuvent être des beautés.
Edward VII semble avoir eu le coeur large, le cigare conquérant et le portefeuille ouvert.
Amicalement
Cosmo
18 novembre 2013 @ 13:41
Votre commentaire est tout simplement brillant Jul !
19 novembre 2013 @ 07:16
Bonjour Damien B.
Je vous remercie pour votre message, car votre avis est très important pour moi.
Je crois que « brillant » est exagéré.
Je ne fais que résumerce qui me semble être la politique matrimoniale de la famille régnante d’une grande puissance en fonction de ses intérêts stratégiques, ce qui est assez classique.
18 novembre 2013 @ 14:36
j’adore ce coming out contre le libéralisme politique, cher jul, continuez, recommencez !
et la force de la Grande-Bretagne venait de la révolution idustrielle, commencée bien plus tôt avec les chantiers navals et le textile, accélérée par le chemin de fer et la sidérurgie, c’est du niveau lycée de savoir cela
traitez moi d’institutrice si vous voulez !!!
18 novembre 2013 @ 14:37
industrielle
19 novembre 2013 @ 07:19
HRC il s’agit surtout du libéralisme économique lol !
Vous avez parfaitement raison pour votre deuxième paragraphe.
C’est pourquoi l’Angleterre avait besoin d’augmenter les débouchés de ces productions, par tous les moyens…
19 novembre 2013 @ 14:41
difficile à séparer au départ, les 2 libéralismes.
amusez-vous avec les articles de l’encyclopédie de Diderot-d’Alembert.
et depuis, le libéralisme économique s’est bien diversifié, le concept seul est bien insuffisant, disons depuis près d’un siècle. C’est un autre débat.
les états que vous auriez conseillé comme alliés à Louis-Philippe étaient des états alors en déclin
19 novembre 2013 @ 04:19
Jul, merci beaucoup de ce commentaire, très instructif sur tous les liens entre les familles du gotha européen de l’époque. Il n’y a que l’isolement de l’Espagne que je ne suis pas certaine de comprendre. Amitiés, FdC
19 novembre 2013 @ 13:51
De rien Francine :)
L’Espagne n’était pas isolée, mais surtout en proie à la division :
d’un côté les partisans de Marie Christine, Régente au nom de sa fille Isabelle (fille de Ferdinand VII), soutenues par les libéraux pour lesquels c’était l’occasion d’avoir le pouvoir.
de l’autre côté les partisans de Charles V (Don Carlos frère de Ferdinand VII) défenseurs de l’unité de la Maison de Bourbon et du Pacte de Famille avec la France et les Deux-Siciles contre le nationalisme et le libéralisme.
18 novembre 2013 @ 07:35
Merci pour cette information.
L’envoi d’une carte de visite (non cornée) pour obtenir l’ouvrage est délicieusement rétro.
On peut supposer que certains blancs d’Espagne vont nous faire une petite crise d’urticaire à l’évocation de cette visite de la reine Victoria à Louis-Philippe.
J’en profite pour faire un peu de publicité au site du ministère (français) des affaires étrangères que je trouve très bien fait.
Il consacre un long développement sur le travail du service du protocole après en avoir fait l’historique.
On y apprend, par exemple, qu’il fut créé sous Henri III. (J’espère que nos amis aficionados de Louis 20 n’y trouveront rien à redire ; c’était un Valois.)
19 novembre 2013 @ 01:12
Les blancs d’Eu seront battus de toute façon et finiront en meringue. ^^
20 novembre 2013 @ 16:13
Et les Blancs d’Espagne finiront par lustrer l’argenterie !
Amitiés
Cosmo
18 novembre 2013 @ 09:46
les deux familles ont-elles toujours des relations? en effet, et sauf erreur les Orléans ne sont jamais invités par les Windsor lors de leurs fêtes familliales
18 novembre 2013 @ 14:04
Les Windsor invitent de moins en moins les princes étrangers. Dans les très grandes manifestations ne sont guère conviés que les représentants des maisons régnantes ou ayant régné récemment, en pratique les anciens souverains de Grèce, de Roumanie, de Bulgarie ainsi que parfois les princes de Yougoslavie, on sait que le prince Alexandre II est filleul de la reine. Quelques parents allemands du duc d’Édimbourg sont parfois invités tels que les Bade. Les relations étaient beaucoup plus proches du temps où le premier comte de Paris naturellement vivait en Angleterre et où il avait noué avec le roi Édouard VII des relations de grande amitié. Le défunt comte de Paris et la comtesse avaient été invités à l’occasion des visites de la reine Élisabeth II à l’Élysée. Sa famille et lui avait également accueilli la princesse Alexandra de Kent à l’occasion de ses études au Cœur Volant où elle avait passé un certain temps.
L’ouvrage dont il est fait état est très agréable à lire et à regarder pour un prix très modique et il témoigne du dynamisme de cette Association des Amis du Musée Louis-Philippe que la comtesse de Paris avait créée, dont elle a été la présidente d’honneur avant le prince Gabriel de Broglie, chancelier de l’Institut de France, dont le président est Michel Mabire toujours très efficace, et dont le duc de Vendôme est en effet administrateur. L’association récolte de nombreux dons et legs qui enrichissent le patrimoine de ce château très bien géré par ses conservateurs successifs et passionnés et remarquablement restauré depuis plusieurs années.
18 novembre 2013 @ 15:07
Je suis tombé dans un vieux PdV de vers 1964 et la princesse Alexandra de Kent rendai visite avec son mari aux comtes de Paris.
La princesse avait déjà passé un long séjour chez eux aux années 1950.
Il me semble qu´il y a eu une mesentente entre Alexandra et la fille aînée des comtes de Paris ensuite, la c Schonborn, aux débuts des années 1980, à cause du protocole. C´est ce que la presse brésilienne en a parlé.
Comme l´écrivan Dominique Paoli dit: jusqu´aux années 1920 quand il y avait des Orléans qui habitaient en Angleterres ils avaient de contacts frequents avec la famille royale d´Angleterre, après, c´est fini.
18 novembre 2013 @ 16:35
La dernière relation fut le projet de mariage, tué dans l’oeuf, entre le duc de Clarence (alors 2ème en ligne de succession au trône) et l’une des filles du comte de Paris de l’époque (j’ai oublié son prénom), celle qui devint plus tard duchesse d’Aoste.
Depuis, plus rien. Pas un seul mariage. Cela me rend triste. Allez savoir pourquoi.
18 novembre 2013 @ 22:13
Il était hors de question pour l’époque qu’une catholique et qui plus est une descendante des Bourbon, ces rois très catholiques épouse une protestant même si celui-ci était destiné à régner son pays. La seul exception fut Louis d’Orléans qui fut forcé d’épouser Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, l’oncle de la Reine Victoria de Grande-Bretagne après qu’un accord fut conclu qui força le nouveau souverain luthérien convaincu d’éduquer ses enfants dans la religion cathlique. Blanche d’Orléans eu droit au même sort et préféra rester toute sa vie célibataire parce que son père lui refusa de lui permettre d’épouser le lord anglais dont elle était amoureuse.
19 novembre 2013 @ 01:14
Louis d’Orléans a épousé Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha ??? MDR ! Mais alors le mariage pour tous existait déjà au XIXe siècle ? ^^
On nous cache tout, on nous dit rien… ;-)
19 novembre 2013 @ 16:09
Lol je devais être bien fatigué. je pense que tout le monde a compris que je parlais de Louise et non de son frère Louis.
20 novembre 2013 @ 03:24
Louis épouse Léopold, comme Félix et Dmitri quoi.
19 novembre 2013 @ 07:20
C’est vraiment trop triste pour Blanche d’Orléans
Je ne savais pas
Merci Vincent
20 novembre 2013 @ 00:59
Cependant, l’héritier des Orléans épousait une protestante…
18 novembre 2013 @ 10:10
Je suis allé visiter Clarence House en 2010. dans le bureau du Prince de Galles trône un immense tableau représentant la famille d’Orléans. On y voit le comte de Paris, Philippe VII, enfant avec a mère la duchesse d’Orléans, née Mecklembourg, ses oncles, Aumale, Nemours et Joinville.. C’est assez amusant.
18 novembre 2013 @ 13:50
Michael,peut-on visiter Clarence House?C’est touchant qu’on puisse admirer les tableaux des princes d’Orléans!
C’est heureusement bien terminé avec l’hostilite éternelle entre la France et l’Angleterre depuis longtemps!
La reine Victoria nous a montré son amitié en venant faire une visite officielle au chateau d’Eu en 1843!Est-elle venue avec son mari?
18 novembre 2013 @ 11:46
Commandé à l’instant même, je pense que cet ouvrage doit permettre l’accès à des documents rares.
18 novembre 2013 @ 12:54
bonjour à tous
Nous avons pu acheter ce livre lors de la dernière assemblée générale des amis du musée Louis Philippe à EU et nous pouvons recommander l’achat de ce livre très instructif sur l’entente cordiale que Louis Philippe et la reine Victoria ont mis en place lors de cette visite.
Nous avons aussi pu assister à la conférence de Monsieur l’ambassadeur Laurent Stéfanini sur le protocole en France qui ainsi que le traducteur nous ont dédicacé le livre.
amitiés du sud ouest sous un ciel gris
18 novembre 2013 @ 13:43
Bonjour B & C,
j’espère que vous avez vos provisions de confitures et de foie gras pour l’hiver.
Amitiés d’un sud-est sous un ciel non seulement gris mais également pluvieux. ;-)
20 novembre 2013 @ 18:54
bonjour à tous
bonjour Actarus
les confitures et le foie gras sont terminé, nous sommes dans les pâtés de lapin et de lièvre ainsi que les confis.
Mais il va falloir interrompre car bientôt nous montons sur Paris pour l’Assemblée générale de « gens de France » , il nous semble que, vues vos idées, nous ne nous verrons pas, dommage. Nous verrons certainement Charles et d’autres membres du site, ce sera un moment convivial.
cordialement Actarus
amitiés du sud ouest ou nous avons eu un beau soleil
21 novembre 2013 @ 13:30
Je vous verrai avec beaucoup de plaisir ce 6 décembre à Paris.
Amicalement
Charles
18 novembre 2013 @ 15:01
Je vous crois bien que le livre soit très intéressant…
Mais comment se faire pour le procurer si on n´habite pas en France?
J´ai une compte à la Banque de la Poste mais pas de talon de cheques.
On ne répond jamais au château d´Eu.
Alors je ne pourais pas faire un depôt online.
Le seul moyen est de demander à une amie qui fait souvent ces genres de choses pour moi. Mais je n´aimerais pas abuser.
18 novembre 2013 @ 23:04
Cher Alberto
Envoyez un petit message électronique à l’Association des Amis du Musée Louis-Philippe qui pourra vous indiquer comment faire.
Voici l’adresse électronique :
amis.louis.philippe@gmail.com
Pour information, vous trouverez aussi des informations complémentaires sur la page Facebook de l’Association : Amis du Musée Louis-Philippe à Eu.
Cordialement
19 novembre 2013 @ 13:41
Merci beaucoup, Sinople!
18 novembre 2013 @ 15:23
Ravie de vous lire ! Vous vous faites trop rares. Gris aussi le ciel du sud-est… :)
20 novembre 2013 @ 18:56
bonjour à tous
bonjour Lisa L
nous ne voulons plus trop intervenir sur le site, sauf si un sujet le mérite, mais nous ne changeons pas !!!
amitiés à vous Lisa L
amitiés du sud ouest aujourd’hui sous le soleil
18 novembre 2013 @ 13:38
Lors de son séjour au château d´ Eu en 1843
La Reine Victoria au roi des Belges
Château d’Eu, 4 septembre 1843.
Mon très cher oncle,
Je vous écris de cette chère demeure, où nous vivons
au milieu d’une admirable et vraiment aimable famille,
où nous nous sentons tout à fait chez nous et comme parmi
les nôtres. L’accueil du cher Roi et de la Reine a été plein
de bonté, et celui de la foule vraiment flatteur 1.. Tout ici
est très différent de l’Angleterre, le peuple en particulier.
Louise vous a raconté tous nos faits et gestes, par consé-
quent je ne vous dis rien, si ce n’est que je suis très inté-
ressée et que je m’amuse beaucoup. La petite Chica
(Mme Hadjy) est une charmante créature, vive, enjouée,
avec d’immenses yeux bruns. Nous partirons après-demain
pour Brighton, où sont les enfants. Ils vont extrêmement
bien d’après ce qu’on m’écrit. Mille remerciements, très
cher oncle, pour votre bonne lettre du 29 : elle m’apprend
que le pauvre prince de Lœwenstein est venu vous voir.
C’est le vieil ami de maman. Comme je suis très pressée,
et que j’espère, si Dieu le veut, vous voir bientôt, il faut
que je termine à la hâte et je remets toutes mes réflexions
à plus tard,
Victoria R.
1. La Reine fut reçue au Tréport avec enthousiasme. Le 2, il y eut une
grande réception dans la salle des fêtes du Château d’Eu et le 4, une fête champêtre sur le mont d’Orléans dans la forêt. Le 5, il y eut une revue et le 7, la Reine retourna en Angleterre.
La reine victoria : d´après sa correspondance inédite (1907)
Michèle
18 novembre 2013 @ 13:45
Si j’achète tous ces beaux livres qui figurent ici je vais passer un Noël dans l’indigence totale.
19 novembre 2013 @ 16:23
moi aussi ! mais il faut en profiter, ce n’est pas tous les jours Noël mdr !
19 novembre 2013 @ 20:05
Il faut aller faire un tour chez Holt Renfrew pour diversifier vos achats. Je peux vous recommander un ami. ;-)
18 novembre 2013 @ 14:50
L’émission DES RACINES ET DES AILES sur FR3 mercredi 20 parlera de la reine Victoria.
18 novembre 2013 @ 19:39
Merci pour l’information, et son complément par Brigitte et Christian !
18 novembre 2013 @ 20:11
Il me semble qu’il y a quelque temps, Stéphane Bern, dans son émission « Secrets d’Histoire » consacré à la Reine Victoria, avait longuement raconté la visite de cette dernière au roi Louis-Philippe , et la bonne entente entre les deux souverains.
19 novembre 2013 @ 15:58
Sa Majesté La Reine Victoria de Grande-Bretagne et d’Irlande, Impératrice des d’Inde Orientales a dû apprécier sa Visite au Château d’Eau. Comme Sa Masjesté a dû être Heureuse.
21 novembre 2013 @ 15:05
Vous voulez dire cher Tonton que la reine Victoria a pris les eaux à Eu ? J’ignorais que c’était une ville thermale.
22 novembre 2013 @ 14:43
En tout cas, je doute qu’elle les ait perdues, cher Actarusse.